Un soir, un vieil indien Cherokee raconte à son petit-fils l’histoire de la bataille intérieure qui existe chez les gens et lui dit :
«Mon fils, il y a une bataille entre deux loups à l’intérieur de nous tous.
L’un est le Mal – C’est la colère, l’envie, la jalousie, la tristesse, le regret, l’avidité, l’arrogance, la honte, le rejet, l’infériorité, le mensonge, la fierté, la supériorité, et l’égo.
L’autre est le Bien – C’est la joie, la paix, l’amour, l’espoir, la sérénité, l’humilité, la gentillesse, la bienveillance, l’empathie, la générosité, la vérité, la compassion et la foi. »
Le petit fils songea à cette histoire pendant un instant et demanda à son grand-père :
« Lequel des deux loups gagne ? »
Le vieux Cherokee répondit simplement : « Celui que tu nourris ».
un cadeau d'Olivier
.
Proposition de reflexion possible en complément:
RépondreSupprimer"Celui que tu nourris",
...ou bien
"celui que nous réprimons",
et qui nous revient en boomrang à la première occasion , sans que nous ayons le temps d'être prévenu !
... d'où le bien fondé de la démarche thérapeutique ...
car ,
peut-on dire que le 1er loup est là en nous pour nous indiquer qu'il n'a pas été visité , rencontré , compris , accueilli avec sa souffrance ?
Ceci n'est qu'un point d'observation parmi tant d'autres ...
TRES BONNE REFLEXION
RépondreSupprimerOUI A TROP SIMPLIFIER ON PEUT TOMBER DANS DES ECUEILS
MERCI MARIE
Merci beaucoup pour cette belle histoire et ce complément très pertinent. A un moment, les deux loups se réunissent en un seul qui se métamorphose alors : c'est l'aigle royal du Soi...à la vision acérée...et au grand coeur...
RépondreSupprimerMerci pour l'histoire. Les nourritures d'impression sont aussi importantes que les nourritures terrestres.
RépondreSupprimerLa photo de ces deux loups me ravit!
Bienvenue dans la meute...Aou ou ou .
RépondreSupprimerMagnifique ! merci à tous Olivier, ipapy, Marie & Marie, JérÔme, Anne, Grandloup, les petits loups ....
RépondreSupprimerMp
Jolie histoire.
RépondreSupprimerMais moins je nourris le loup plus il devient famélique, dangereux, imprévisible ...
La solution ne consiste pas a priori à mettre une dose de cyanure dans sa nourriture, alors ?
gjm
A gjm,
RépondreSupprimerPas de cyanure, de l'amour pour toi, et le poison devient médicament,
j'ai le souvenir d'une parole de Swami Vijayânanda qui disait approximativement, "le premier loup, la souffrance, était là pour nous rappeler au deuxième loup, le premier nous servirait à connaître le second, à goûter au second" ... "le premier existe parce que le second existe".
Bibises, Mp
Cette petite histoire me fait penser aux superbes contes de Alexandro Jodorovsky que j'ai pu découvrir la semaine dernière grâce à une grande et belle bibliothèque.
RépondreSupprimerFabrice
Donc attention à ne pas écraser ce loup au coin du bois avec mon ... Cherokee. Les Yankees ont tout pris aux Indiens, même leur âme.
RépondreSupprimerChacun est / a son kaléidoscope, dans le mien il y a une meute de loups, dont l'un est particulièrement coriace, je l'ai hérité de ma mère.
gjm
gjm, le cyanure ... Imaginons vraiment que je me fasse couler le cyanure dans mon sang ...
RépondreSupprimermp
merci Olivier,
RépondreSupprimerje le montre ce soir à mon fils.
guy bxl
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerC'est un couple de loups, non ? A les voir je dirais mâle à gauche et femelle à droite...
RépondreSupprimersympa ta nouvelle coupe) bisous Julie
RépondreSupprimerJ'aime les loups... C'est marrant, je suis en train de composer un petit thème au piano qui s'intitule
RépondreSupprimer"la réponse des loups"
Très intéressant Julie et je suis d'accord avec toi.
RépondreSupprimerFabrice