vendredi 31 juillet 2020

L'eau


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Allez, un effort !

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jeudi 30 juillet 2020

L'homme de Kaboul / Cédric Bannel

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Pour les amateurs de polar pur et dur...
Cédric Bannel a créé le personnage du qomaandaan Oussama Kandar, chef de la brigade criminelle de Kaboul. Un policier hors pair, à la fois tenace et très humain,  ancien snipper de Massoud, profondément croyant et qui aime son pays. Dans les trois enquêtes parue jusqu'ici, L'homme de Kaboul, Baad et Kaboul Express, il est amené à collaborer avec des occidentaux, Nick qui travaille pour les services secrets en Suisse pour la première enquête, la commissaire Nicole Laguna,chef de la Brigade nationale de recherche des fugitifs pour les deux autres.
Des  intrigues bien ficelées servies par un  montage nerveux qui alterne les séquences dans les différents pays. Violence, corruption, trafics en tout genre, l'aspect sombre du monde est très présent mais évoqué sans complaisance.  Dans des situations difficiles on trouve pourtant des personnages nuancés, pas des anges certes, mais qui essaient de garder leur dignité et dans le relatif, de faire au mieux... Et puis, il y a l'Afghanistan, le chaos de Kaboul, la rudesse et la beauté des paysages. Cédric Bannel réussit à faire de ce pays un portrait sans concession mais que l'on sent débordant d'amour !

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mardi 28 juillet 2020

Bouts du monde : déserts

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Une bien belle revue.... et un sujet que j'adore !

Merci Jean-Baptiste ...

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lundi 27 juillet 2020

La citation du lundi


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" Pour prendre une décision, il faut être un nombre impair de personnes, et trois c'est déjà trop."

Georges Clemenceau

dimanche 26 juillet 2020

Metamorphosis II / Philip Glass


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Merci Laurence.

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samedi 25 juillet 2020

mercredi 22 juillet 2020

Le grand Coeur / Jean-Christophe Rufin


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Une biographie du marchand, banquier, armateur Jacques Coeur
nommé par Charles VII grand argentier de France en 1439. 
Le portrait passionnant d'une époque, d'un roi 
et d'un homme étonnant, précurseur de la Renaissance. 

Et voici un extrait : après un début de vie adulte dans sa ville de Bourges où il est marié, père de famille et a une position sociale reconnue, Jacques Coeur passe quelques temps en prison pour fraude. À sa sortie, il décide de réaliser son rêve et part en Orient. Il traverse la France avec son valet ...

" Je n'avais jamais connu que des gens de ma ville, hormis Ravand et quelques rares négociants. Je connaissais leur origine, leur famille, leurs positions et pouvais deviner leurs pensées. Avant mon départ, j'aurais dit que ces références étaient nécessaires pour les échanges humains. Pourtant, voyageur anonyme, sans aucune marque de fortune ni d'origine, j'abordais sans crainte et avec une immense curiosité des personnes que le hasard mettait sur ma route sans rien connaître d'elles. Cet échange d'inconnu à inconnu se révélait infiniment plus riche que l'habituel commerce entre gens qui savaient déjà tout les uns des autres.
J'avais toujours dormi à l'abri de murs épais et d'huis clos ; la ville m'avait été une carapace sous laquelle j'étais né et qui paraissait nécessaire à ma survie. Or, dans les chaudes régions où nous cheminions et quoique les nuits fussent encore fraîches, nous prîmes l'habitude de coucher dehors. Je découvris le ciel. Les étoiles, chez nous, étaient la plupart du temps voilées par les nuages. Il m'était arrivé de les contempler un moment après souper pendant les nuits d'été, avant de regagner le couvert d'une maison. En voyage, j'étais livré à la nuit. Quand le feu du repas mourait en braises, la terre, entièrement obscure, laissait éclater au dessus de nous le cri des étoiles que l'obscurité du ciel dégagé de nuées faisait briller jusqu'à les rendre aveuglantes. J'avais le sentiment d'avoir brisé ma coquille. Je n'étais peut-être que le dernier de ces astres, le plus insignifiant et le plus éphémère mais, comme eux, je flottais dans une immensité sans limites ni murs. Quand nous entrâmes dans Montpellier, j'étais devenu un autre homme : moi-même."

Jean-Christophe Rufin
Le grand Coeur
Folio p 94-95

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lundi 20 juillet 2020

La citation du lundi


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Synagogue de la Ghriba Djerba , Tunisie.

" " Un pauvre vieil homme prie avec ferveur. Le rabbin à sa grande surprise s'aperçoit en s'approchant qu'il récite l'alphabet. Il s'adresse au bonhomme : "Que récites-tu là ?" Et l'autre : " Tu sais, Rabbi, je suis un pauvre homme sans grande instruction, sans grande intelligence et j'ai peur de déplaire à mon créateur. Alors je lui offre toutes les lettres de l'alphabet pour qu'il se serve lui-même et se compose la prière qu'il aimerait entendre.""


Histoire racontée par Christiane Singer dans Du bon usage des crises,
À la source de la parole
Ed Terre du ciel P 87

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dimanche 19 juillet 2020

From Paris with love / Melody Gardot


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From St Laurent with love !

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samedi 18 juillet 2020

The secret / Yamma ensemble


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Musique sacrée hébreu

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vendredi 17 juillet 2020

Histoire des croyances et des idées religieuses / Mircea Éliade


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Ce sont trois livres de référence... que je me suis offert  dernièrement !
À lire, consulter, relire...etc

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jeudi 16 juillet 2020

Terra incognita


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Ouf, il existe encore des zones non explorées et des pays qui protègent leurs sites !

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mercredi 15 juillet 2020

mardi 14 juillet 2020

Take the long way home / Supertramp


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Merci Mathilde !

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lundi 13 juillet 2020

La citation du lundi


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"L'unique trésor ce n'est pas la vie dont je rêve, c'est la vie qui m'arrive : Dieu s'y tient."


Marie-Laure Choplin

Un coeur sans rempart
in La vie telle qu'elle est 
Ed Labor et fides p 50

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dimanche 12 juillet 2020

Il était une fois dans l'Ouest / Ennio Morricone / Desire Capaldo


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Pour honorer la mémoire d'un grand compositeur... et des grands western de ma jeunesse !


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samedi 11 juillet 2020

Angel of Mercy / Piers Faccini

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Piers Faccini animera un atelier  avec  Emmanuelle Martin 

"Voix, écoute et improvisation" 
au Roche d'Ajoux  du 27 au 30 juillet 2020

Pour en savoir plus et peut-être vous inscrire...c'est ici 



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vendredi 10 juillet 2020

jeudi 9 juillet 2020

mercredi 8 juillet 2020

Passagère du silence / Fabienne Verdier


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Je viens de relire ce récit passionnant des 10 ans d'initiation de Fabienne Verdier partie en 1983 à 22 ans   étudier la calligraphie et la peinture traditionnelle chinoise à l'Institut des Beaux-Arts de Chongqing dans le Sichuan .
Vers la fin de son séjour, elle est attachée culturelle à l'ambassade à Pékin et a l'occasion de rencontrer et d'aider parfois les plus grands maîtres de calligraphie, de peinture ou de musique qui ont survécu à la révolution culturelle :

" Ils avaient été à deux doigts de sombrer dans la folie, usés par une agression quotidienne absurde, souvent incompris de leurs proches, regardés avec honte par leurs propres enfants, critiqués avec acharnement pendant des années ; leurs biens, rouleaux anciens, bibliothèques savantes, brûlés ; eux-mêmes battus et torturés, et pourquoi ? Parce qu'ils peignaient ? Parce qu'ils étaient poètes ? Parce qu'ils osaient parler de l'insaisissable et, par la voie des arts, se libérer des entraves ? Aujourd'hui, dans la grande "Chine ouverte", ils restaient des laissés pour compte, des bannis de la terre pour n'avoir cessé d'aimer la peinture, les pensées poétiques et philosophiques, la contemplation inlassable des merveilles de la nature. Quand j'arrivais, je trouvais toujours le vieux Lu Yanshao seul, perdu dans ses pensées, ultime ilot de survie dans un environnement qui l'avait oublié.
Comment exprimer le profond désarroi ressenti à rencontrer ces derniers maillons de la chaîne de l'histoire de la peinture, ces passeurs d'éternité, ces héritiers du patrimoine de l'humanité ? Comment expliquer qu'à ce degré de connaissance, de détachement absolu presque imposé par le régime totalitaire, ils avaient atteint une universalité puissante , En leur compagnie, j'oubliai complètement qu'ils étaient chinois alors que je me trouvais au coeur même de la spécificité chinoise. Avec eux, d'emblée, les barrière culturelles tombaient, celles-là mêmes auxquelles je m'étais douloureusement heurtée. "

Passagère du Silence 
Ed de Poche p 265

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mardi 7 juillet 2020

La communication animale / Laila Del Monte

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À la fois incroyable et tellement évident quand on a vécu avec un animal...

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lundi 6 juillet 2020

La citation du lundi


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" Entre tous les moyens qui concourent à la libération c'est à la dévotion que revient la place d'honneur. L'effort auquel se livre le pratiquant pour réaliser sa propre et véritable nature, nous lui donnons le nom de dévotion. Celle-ci apparaît ainsi autant comme une pratique d'effort et d'élan qui nous permette d'avancer que comme l'émergence du sentiment, le fruit de l'ascèse ou le parfum qu'exhale une fleur qui s'ouvre."

Shankarâchârya in Le plus beau fleuron de la discrimination
Cité par Éric Edelmann Dîtes-leur de viser haut, chapitre La voie du coeur P 199


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samedi 4 juillet 2020

Hare Sherenam / Swami Prem Vivekananda


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Hare Sherenam : je prend refuge en Dieu.
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vendredi 3 juillet 2020

Hein...?


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jeudi 2 juillet 2020

Nous sommes l'humanité / Alexandre Dereims


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Ces femmes et ces hommes sont exploités par le tourisme ...

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mercredi 1 juillet 2020

L'Inde tribale / Eric Pringarbe


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Régulièrement, je feuillette les livres de photos...
Une manière de se rappeler que d'autres mondes existent...

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