samedi 29 février 2020

vendredi 28 février 2020

jeudi 27 février 2020

mercredi 26 février 2020

Dîtes-leur de viser haut / Sophie et Éric Edelmann


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À l'heure où je publie, nous n'avons pas encore lu le livre mais nous connaissons la consécration d'Éric et Sophie, la pertinence et la complémentarité de leurs réponses....
Et nous nous réjouissons de lire leur livre !

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lundi 24 février 2020

La citation du lundi


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Pour l'homme ordinaire, le monde est un champ de bataille,
Pour le pratiquant, le monde est une école,
Pour le sage, le monde est un terrain de jeu.

Shrî Chandra Swami Udasin

Cité en exergue du livre de Sophie et Eric Edelmann


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dimanche 23 février 2020

samedi 22 février 2020

vendredi 21 février 2020

jeudi 20 février 2020

Vivre / Emmanuel Desjardins


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Un éclairage inspirant sur Swami Prajnanpad et un exposé clair, motivant et inspirant lui aussi des différents aspects de la voie proposée par Swamiji et Arnaud par un vrai pratiquant.


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mercredi 19 février 2020

Zimbabwe


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Marielle qui y a passé quelque temps en mission nous envoie cette photo...

Merci Marielle.

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lundi 17 février 2020

La citation du lundi

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Et quand vous vous êtes oublié
que vous ne vous accrochez plus à rien de ce que vous connaissez
restez simplement là

Vous êtes à la maison
vous êtes la maison
vous êtes vous-même.

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dimanche 16 février 2020

samedi 15 février 2020

vendredi 14 février 2020

jeudi 13 février 2020

Le cloître de Moissac


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C'est un merveilleux endroit que nous avons visité il y a peu.
Un lieu de paix et de beauté.





Dans une salle qui donne sur le cloître une petite statue intitulée Vierge de Solitude...
Tant de grâce et de simplicité !

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mercredi 12 février 2020

Statues indiennes


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Pour les amoureux de l'art indien, nous signalons la nouvelle activité de Bertrand Belaize
 qui a ouvert un site Ganesh Art India, dédié à la vente de statues indiennes, 
art tribal mais aussi art sacré.

Allez voir, il y a de très belles pièces...



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mardi 11 février 2020

Au nom du père ( Ride upon the storm)


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Ride upon the storm est le titre original de cette série danoise du réalisateur Adam Price - 20 épisodes de 52' répartis en 2 saisons- qui devient en français Au nom du père.
Les deux titres sont parlants. Les trois personnages principaux, le père et ses deux fils chevauchent  la tempête chacun à leur façon, une crise majeure dont  l'enjeu est bien de vivre enfin une existence autonome dans une famille marquée par la reproduction : une lignée, pasteurs de père en fils depuis 250 ans. Le scénario est subtil, la mise en scène sobre et très belle, l'interprétation exceptionnelle. L'évolution des personnages est passionnante. Autant d'intelligence et de profondeur, c'est rare.

lundi 10 février 2020

La citation du lundi


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 Celui qui se dresse sur la pointe des pieds
n'est pas stable.
Celui qui se précipite en avant
ne va pas loin.
Celui qui essaie de briller
ternit sa propre lumière.
Celui qui se définit
ne peut savoir qui il est réellement.
Celui qui exerce son pouvoir sur les autres
se prive de son véritable pouvoir.
Celui qui s'attache à son oeuvre
ne crée rien de durable.

Si tu veux être en accord avec le Tao,
fais simplement ton travail, puis lâche prise.

Tao Te King
Traduction Stephen Mitchell
Synchronique Editions page 24

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dimanche 9 février 2020

samedi 8 février 2020

vendredi 7 février 2020

jeudi 6 février 2020

Chroniques sahariennes / Jean-Luc Manaud


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C'est un très beau livre. 
Mauritanie, Niger, Mali, Algérie, Tchad, Sahara occidental...
Des photos du désert, mais aussi la vie des hommes et des femmes...


Je l'ouvre de temps en temps.
De temps en temps j'ai aussi des nouvelles de Tamanrasset : un coup de téléphone d'Abdelwahab qui attend patiemment la reprise de l'activité de trek dans la région, la rencontre chez un voisin et ami d'Hautussac de sa soeur qui vit la moitié de l'année à Tam...Une soirée de juillet à évoquer les lieux, les connaissances communes, l'Assekrem et les frères qui vivent là haut...
Le désert n'est jamais loin...

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mercredi 5 février 2020

Transcendance

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''Je m’apercevais que depuis des années je visais quelque chose qui se situait hors du monde, qui était transcendant du monde : ce qu’on appelle l’être ou le Soi, la réalité, quelque chose d’immuable que la peur ne peut atteindre. Je commençais à pressentir qu’en réalité je cherchais une « planque » ultime, et que tous les enseignements que j’avais reçus ne l’avaient été que dans la mesure où ils cautionnaient la peur que j’avais du monde et justifiaient cet élan vers une réalisation, une expérience ultime. Je cherchais constamment " au-delà " : au-delà du corps, au-delà des émotions, au-delà de la pensée, au-delà du changement, au-delà de la dualité. De fait, cet au-delà était toujours une façon de ne pas m’engager dans ce qui était la.
Ainsi, a un moment donné, j’ai vu le mensonge, et j’ai vu que, viscéralement, cela ne me correspondait pas, que je ne pouvais pas continuer à vivre dans une telle histoire. J’avais en outre l’intuition, et ce depuis des années, qu’il existait pour chacun une façon d’agir dans le monde qui lui correspondait en propre ; si je cherchais à savoir ce que j’avais à faire et si je faisais ce qui m’était juste, je devais logiquement me trouver dans l’axe de l’être, tout simplement. C’est alors que j’ai réalisé qu’il pouvait y avoir deux voies, que la réalisation, l’éveil, l’illumination n’étaient pas seulement de l’ordre de la transcendance, hors du monde.
J’avais vécu sous l’emprise d’un malentendu, ce qu’on pourrait appeler " le privilège exclusif de la transcendance". Comme si la transcendance avait le privilège exclusif du réel et qu’en fait, au sein du monde, il n’y avait d’autre possibilité que de vivre d’abord le réel transcendant, pour revenir ensuite dans le monde. Au fond de moi, j’avais le sentiment qu‘il devait exister une voie au sein du monde : une voie de l’immanence où il était possible de vivre le réel. A cet instant, j’ai senti que je prenais un risque : le risque de quitter le chemin de la transcendance.(...)
Et j’ai pris le risque de la vie, le risque de ne plus chercher au-delà. Cela c’est passé en trois jours...j’ai senti la vie. Je suis allé vers ce qui était là et j’ai senti la vie qui entrait en moi. J’ai senti que cette vie m’aimait, comme j’étais, tel que j’étais. C’était comme si elle m’attendait. J’ai alors compris pourquoi les grands mystiques parlent de la Mère Divine: parce que ce sentiment d’amour de la vie envers nous, on l’éprouve dans l’amour absolu d’une mère ; on est dans les bras de la Mère Divine. Aucune vision, aucune hallucination, c’était quelque chose de très simple, de concret et d’immédiat, qui me prenait à l’intérieur et que je reconnaissais.
Je sentais que cette vie m’aimait. Au fur et à mesure que c’était ressenti, éprouvé, montait en moi une confiance impérieuse. Autant je me sentais auparavant en conflit, séparé, avec une peur constante, autant j‘éprouvais alors une confiance absolue dans ce qui était, dans la vie. Ce qui est apparu immédiatement, c’est que cette confiance était ma nature : à la fois cette confiance et son objet. Cela n’a fait que grandir pendant ces trois jours, jusqu’au moment où s’imposa une confiance absolue dans tout ce qui était sans que ce soit un objet. Alors tout disparut : La Mère Divine, Yvan Amar... Il n’y avait que Cela : une réalité absolue où n’existaient plus ni division ni conflits, où seule existait l’évidence l‘être. Tout ce dont j’avais entendu parler, c’était l’évidence, c’était ce que j‘étais.
Indubitablement, ce dont avait parlé Ramakrishna, mon maitre, les grands textes que j’avais lus, c’était cela. J’avais toujours été Cela et tout était Cela. « Tout en vérité est Brahman. « « Tout en vérité est le Réel. « C’était l’évidence, chaque être était Cela. Dire « je suis Cela « ou « tu es Cela » ne faisait aucune différence.
La grande surprise de cet éveil, c’est que Cela était précisément ce que j’avais essayé de dépasser pour le réaliser ailleurs, dans l‘immuable, dans le transcendant. J‘avais soudain la révélation que cette vie qui s’écoulait d’instant en instant, ce changement permanent, ce grand processus, c’était cela le Réel, et que la peur que j’en avais m’avait fait rechercher une réalité immuable au-delà du changement. Ce changement était la réalité, et être la réalité c’était être ce changement, sans décalage. C’était être un avec le mouvement de la vie. Pendant des années, j’avais cherché une connaissance immuable qui abolirait toute ignorance, sans pour autant entrer dans aucune connaissance.
La mouvance est par nature mystère et être la mouvance de vie, c’était être le mystère. La question n’était donc pas d’être le mystère où d’un seul coup quelque chose était connu, mais de connaitre le mystère parce qu’on est le mystère. Quand on m’a demandé, à l’époque, si je pouvais dire à quoi correspondait cet éveil, cette illumination, j’ai dit : " C’est tout simple, je suis passé d’une incompréhension triste à une incompréhension joyeuse" . De fait s’était complètement effacé de moi l’idée d’une connaissance acquise, et cette ignorance, cette incompréhension joyeuse, apparaissait bien plus intelligente que tous les savoirs que j’avais pu accumuler.''

YVAN AMAR
Publié par Nadège Amar sur son compte Facebook.
Merci Nadège.

mardi 4 février 2020

Le temps des forêts

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Merci Yannick !

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dimanche 2 février 2020

Jhini / Berklee Indian Ensemble ft Indian Ocean

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Un beau mariage Orient Occident !

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