Saint Valentin...un peu en retard !

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Beauté du monde

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Troupeau de zèbres s'éloignant des rives peuplées de crocodiles du fleuve Mara

Photo de Kaï Chuin Sim

National Geographic 2018

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Entre deux mondes / Olivier Norek

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Dans la jungle de Calais... C'est un roman policier mais le plus bouleversant est la réalité du camp de migrants de Calais qu'il décrit : "ça renverse le coeur" m'a dit Alain et il a ajouté " il faut que tu le lises !"

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Retraite à la Source Bleue du 22 au 27 avril 2025

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C'est un moment que j'attends dans l'année. Comme les séjours dans le désert, c'est un temps de "vacance", de retrait, de silence. C'est à Sadhana Kendra Ashram en Inde que j'ai découvert la puissance de la simple assise silencieuse pratiquée plusieurs  heures par jour. Il s'agit d'un retournement de situation : juste ne rien faire, simplement être. Cesser de se tourner  vers l'extérieur. Cesser d'attendre de l'action, de la relation la sensation d'exister. L'attention se tourne alors naturellement vers le monde intérieur qui nous habite. Les temps de méditation sont au début un parfait poste d'observation de ce monde intérieur plein de bruit et de fureur ! Cependant, lorsqu'il n'est pas alimenté par les conversations habituelles, ce monde de pensées et d'émotions s'allège vite, se fait parfois même transparent. Nous découvrons alors une zone plus calme où les réponses à toutes les questions que nous avons posées ont fait leur chemin. Une retraite est un temps de compréhension. Pas la compréhension discursive qui vient de la réflexion. Une compréhension organique qui fait qu'un élément de l'enseignement n'est plus une idée mais une certitude, une évidence. Et plus cet élément est simple, basique, plus l'ouverture est grande. Enfin, plus profondément encore, le silence fait accéder au niveau spirituel, à l'expérience absolue d'être vivant. Et dans cette expérience toute simple se trouve la communion vivante, intime avec le maître, une nourriture essentielle sur le chemin.

J'animerai la retraite d'avril seule. Le traitement d'Alain  donne d'excellents résultats mais le fatigue beaucoup. Si vous souhaitez des informations plus précises sur cette retraite vous pouvez me contacter par mail :

corinne.bayod@gmail.com

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La citation du lundi

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" Et puis il y a une seconde forme d'égoïsme ou d'infantilisme, c'est le besoin du groupe. (...) l'égoïsme du nous. c'est un peu moins égoïste que le moi, mais c'est encore un égoïsme. Êtes-vous capable de dépasser l'égoïsme du nous ? Si c'est "nous les disciples du Bost", quelle attitude infantile !"

Arnaud Desjardins

Au delà du moi

Ed Pocket p 130

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Schumann Arabesque - 2022 /Eliso Virsaladze

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Le Grand Choral 2023 / S.O.S d'un terrien en détresse /STARMANIA

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Métaphysique

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"Que devient le trou quand le gruyère est fini ?"

Bertold Brecht

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Exposition Steve McCurry

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À l'Hôtel de Caumont à Aix en Provence

Jusqu'au 23 mars.

Tous les jours de 10h à 18h

Une merveille !

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L'expérience du dehors

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Le dernier séjour dans le désert est encore très présent. Le temps très doux nous a permis de dormir toutes les nuits dehors, veillés par la lune, pleine dès le troisième soir. 

J'ai pu goûter l'expérience assez rare finalement de vivre dehors, sans toit ni murs, sans rien qui arrête le regard jusqu'à l'horizon... et dans le désert de dunes l'horizon est loin, à 360 degrés, il est une zone nette ou floue aux confins du sable et du ciel. Pas une limite, juste une escale du regard.

J'ai d'abord relié l'impression d'expansion à la joie d'être dans ces paysages vaste que j'aime tant. Mais la sensation de vastitude n'a fait que grandir et  tout à coup c'était évident : elle était intimement liée à l'absence de murs et de toit, à l'absence de contenant. Sans même s'en rendre compte, le moi vit le corps comme un contenant, "un petit sac de peau" dirait Douglas, et les murs de nos maisons sont comme une enveloppe un peu plus extérieure; Le contenant suivant, comme dans les poupées russes. Et voilà que tout à coup, il n'y a plus de maison ou de tente pour envelopper le corps. Et je ne le vis pas comme une absence de protection mais comme une ouverture, une porosité au vent et à l'espace, une invitation à vivre vaste, une liberté nouvelle.

Les paysages de reg, plats et ouverts à l'infini des deux derniers jours ont été comme une apothéose.

Marcher le jour dans le rien, le corps délié par les efforts des jours précédents, le coeur simple, vêtus de vent et de lumière, immobiles et lancés vers une ligne incertaine entre un sol  abstrait et le ciel en fuite. Dormir la nuit, sous la clarté sourde de la lune, couvés par son oeil sombre. Chaque réveil est un rappel silencieux de l'autre moitié du monde dont elle reflète la lumière. Elle s'éloigne, s'amenuise, écho du mouvement des planètes devenu perceptible : instinctivement mon oeil la retrouve.

Vivre dehors, c'est vivre hors limites et à sa juste place, dans la rotation de la terre, l'alternance du jour et de la nuit. C'est se souvenir enfin que nous sommes pris dans le mouvement du monde. Ni grands, ni petits dans le vaste univers. Simplement UN avec Lui.

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"Abd El-Kader, l'Arabe des Lumières" le nouveau roman de Karima Berger •...

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La citation du lundi

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" Un enfant est un amour devenu visible"

Novalis 

Le brouillon général

 Ed Allia, 2000

À Brigitte qui a quitté son corps samedi 15 février et qui dans sa pratique de l'haptonomie a accompagné tant d'enfants et de parents, guidée par cet amour dont parle Novalis.

Envole-toi mon amie !

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Vissi d'arte /Puccini: Tosca / Maria Callas – Paris, 1958

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J'ai vu le film Maria de Pablo Larrain. Je l'ai trouvé  pompeux, Angelina Jolie est très crédible bien qu'un peu figée... Mais quel régal d'entendre la voix de la Callas ! 

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Summer Samba /Patricia Barber

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Ah, le Chat !

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Le temps passe...

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60 ans : j'ai ma carte sénior toute neuve dans mon sac et lorsque je prends mes places au cinéma le Pathé à Valence la gentille dame - oui, à cette époque, il y avait encore des caisses avec une personne pour acheter ses billets ! - me demande une pièce d'identité pour justifier de mon âge...

Quelque part entre 62 et 67 ans : je demande la réduction...et plus personne ne réclame un justificatif quelconque...

Presque 68 ans : Je vais au cinéma Le Navire à Valence . C'est un cinéma d'Art et Essai, à l'ancienne, avec une caisse à l'accueil. Et là, oh surprise, j'annonce le titre du film et le charmant jeune homme me donne d'office le ticket à tarif réduit !

"Le temps passe " dit Alain. J'ajoute : "Et ça finit par se voir !"

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En Fanfare de Emmanuel Courcol avec Benjamin Lavernhe et Pierre Lottin

Un film qui l'air de rien parle des thèmes essentiels auxquels confronte la maladie : la mort et surtout l'amour !

Préparez vos mouchoirs, dit Alain ...

【2001 | Douglas Edison Harding】 Four Stages of Life

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La citation du lundi

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"Il y a plus d'intelligence dans deux coeurs qui essayent de se rapprocher que dans deux intelligences qui essayent d'avoir raison."

Thomas D'Ansembourg

La Vie n°4144 p59

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Dor an enez / Fred Guichen(Jacques Pellen, Sylvaine Guichen)

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Pour JFL

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Un homme heureux /Julien Doré, Francis Cabrel

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Kaddish- Chants Juifs /Sonia Wieder Atherton

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Sarah Marquis : se reconnecter

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Vérifier l'humain en nous

 

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L'éditorial de la Vie de cette semaine signé de son directeur de rédaction Aymeric Christensen s'intitule : "Êtes-vous humains ?". Sur Internet, les  tests Captcha servent à vérifier que nous ne sommes pas un robot...À l'inverse, l'auteur nous invite à vérifier que nous sommes humains. Derrières les chiffres dont nous sommes abreuvés - les déplacés partout dans le monde, les migrants morts en mer, les morts des guerres à Gaza, en Ukraine, au Soudan, au Congo, en Éthiopie,  les otages de tous bords, les victimes du narco trafic, des violences conjugales, etc... - percevons nous encore qu'il y a des hommes, des femmes, des enfants ? 

Et de terminer sur cette interrogation : " Peut-être devrait-on moins s'inquiéter des progrès de la machine pour nous ressembler que des régressions de notre intelligence émotionnelle, qui nous rapprochent dangereusement d'elle ? " C'est une question à se poser.

conférence audio de Yvan Amar et Douglas Harding

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La citation du lundi

 

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" Dans la logique paradoxale du Soi, la traversée des épreuves n'est pas là pour nous détruire, mais pour nous permettre d'accéder à autre chose, d'un tout autre ordre, le sacrifice permet le passage transcendant d'un monde à un autre, d'une vision à une autre, du trivial à l'inspiré."

Lily Jattiot

Apocalypse, passage d'un monde à l'autre

Ed Accarias l'Originel p 142

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Abbey Lincoln - Nice Jazz Festival - LIVE 1995

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Soul / Michel Jonasz

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