mercredi 24 juin 2009

Gurdjieff

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JFL
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6 commentaires:

Anonyme a dit…

Merci Jean François
Quelle musique !
Karl
PS : je n'ai pas encore écouté les CDs de Hartmann ...

Stéphane a dit…

C'est une musique composée par Gurdjieff, c'est ça ? (ou alors la photo du papillons a étée prise par Gurdjieff? :-)

Anonyme a dit…

Et la censure alors ? Le commentaire est libre donc rien à voir avec la spiritualité. Gurdjieff s'est réincarné en papillon ? Allusion à la chrysalide ?
Arglllllll, vive la censure finalement, ça évite à mon neurone de chauffer.

Clo a dit…

j'écoute souvent "les chants religieux"de Gurdjieff. Alain Kremki,piano.
J'aime beaucoup.
merci JFL

Anonyme a dit…

Merci pour ce morceau, si besoin d informations sur cette musique...
Qui fait partie de l'enseignement de G, si souvent transformé..ne croyez pas ce que l'on vous dit, vérifiez le par vous même.

Anonyme a dit…

« La musique que l'on joue durant les exercices change en nous le cours de ce mouvement inné qui, dans la vie, est la principale source d'interférence. La musique, à elle seule, ne peut pas agir sur la totalité de notre automatisme inconscient, mais elle peut apporter une aide. La musique ne peut pas nous libérer entièrement de toute notre mécanicité, mais pour le moment, en l'absence d'autres moyens, nous ne nous servirons que de la musique. »


« Une chose est importante : pendant que vous exécutez tous les exercices extérieurs, vous devez apprendre, dès le début, à ne pas prêter attention à la musique, mais à l'écouter automatiquement. D'abord, l'attention ira s'égarer de temps en temps vers la musique ; mais plus tard, il sera possible d'écouter la musique, et tout le reste, avec une attention tout à fait automatique, dont la nature est différente de l'attention purement mécanique. »


« Il importe d'apprendre à distinguer ces deux sortes d'attention. Tant qu'elles ne sont pas séparées l'une de l'autre, elles apparaissent si semblables qu'une personne non avertie est incapable de les différencier. Une attention pleine, profonde, fortement concentrée, permet de séparer l'une de l'autre. Apprenez à connaître par leur goût la différence entre ces deux sortes d'attention, pour distinguer, parmi les pensées qui nous arrivent, d'une part ce qui est information, et d'autre part ce qui est appréciation différenciée. »



(Le Prieuré, 20 janvier 1923.)