vendredi 31 janvier 2014

Félicitations Christophe

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L'émotion se lisait sur son visage. Mais c'est avec un mélange de joie et de grande simplicité que Christophe Massin a reçu le Prix Psychologies-Fnac 2014 pour son ouvrageSouffrir ou aimer. Un ouvrage dans lequel il nous redessine la carte de nos émotions, à l'aune de la spiritualité. « Souffrir ou aimer, souffrir d'aimer, aimer et souffrir, les deux vont de pair, a souligné le psychiatre féru de spiritualité indienne. Aimer n'est pas posséder, aimer ne veut pas dire : je veux être aimé de toi. Aimer, c'est aimer l'autre pour ce qu'il est. C'est ainsi que l'on peut dire : aimer ou souffrir. Et non pas aimer et souffrir. » Petit frisson dans l'assistance, éditeurs, journalistes, auteurs, lecteurs, nous étions nombreux à l'écouter avec grande attention...


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6 commentaires:

Anonyme a dit…

Ah, Christophe, cher frère de cœur,
cette nouvelle me réjouit grandement !
Ce prix est totalement mérité, car ton livre
est un vrai trésor pour nous aider à accueillir
nos plus profondes blessures en toute bienveillance
et lucidité, et à traverser nos épreuves pour
parvenir à… l'Amour inconditionnel…

En toute gratitude.
Chaleureusement,

Alain-René

philippe a dit…

Oui,bon travail.Bravo.

Anonyme a dit…

Très content et reconnaissant pour Christophe, car nous vérifions (mon épouse et moi), son efficacité aimante dans les groupes qu'il anime.
Amitié.
Myriam et J-P gepetto

gjmtenba a dit…


Je suis un peu " par force ", conduit à écouter des personnes en grande souffrance.
Ecouter la personne sans souffrir soi-même, voilà un sacré défi, c'était ma réflexion ces jours-ci.

gjm

Anonyme a dit…

Je viens tout juste de finir le dernier livre de C. Massin qui nous a offert là un merveilleux cadeau pour nous aider à cheminer spirituellement.

Il est remarquable qu'un tel livre, avec toutes les références à Swamiji et Arnaud qu'il contient, ait reçu ce prix. C'est une légitimation par la société de la voie "swamijo-desjardinienne".

N.

gjmtenba a dit…

Crie ton chagrin puis console ton coeur
car le chagrin mène à la mort.

Ben Sira 38,17