Et, oui, c'est l'heure de la méditation.
La bougie, un bâtonnet d'encens, le réveil en bonne place, notre fidèle coussin, et c'est parti pour 30' de bonheur.
Comme un enfant.
Asseyez-vous comme un enfant: tranquillement, sans prétention, à l'aise, cool, confortable. N'en rajoutez pas. Ne jouez pas à ressembler à Deshimaru ou à qui que ce soit, soyez physiquement naturel, enfantin.Pas de modèle, ne vous asseyez pas avec votre tête. N'en faites pas des tonnes.Soyez SIMPLE.
Nous ne devons pas faire l'erreur de considérer le relâchement comme une pratique mineure, bien au contraire. Assis comme un enfant, c'est aller par la détente retrouver le corps du petit que nous avons été, le corps d'avant. Avant la déception, avant la peur , avant peut-être la trahison ou l'abandon.
Retrouver notre corps de confiance, retrouver notre joyeuse vulnérabilité. Peut être que cela demande un brin d'audace, oui, dans doute. Comme un enfant, observez le souffle, comme un enfant, sans vous poser de questions. Pas de question sur comment ou sur pourquoi. Non, ça respire et je célèbre ce "ça respire" je le goûte joyeusement , c'est une évidence sacrée. Et ce souffle me parle du Grand mystère, de la Vie, de la Mère.
Assis comme un enfant, c'est être détendu et parfaitement en éveil. Un éveil gourmand, curieux et joyeux. Comme un petit qui voit la mer ou la neige pour la première fois. Soyez ravi, émerveillé de Ce qui est ici, juste maintenant. Libérez l'enfant glorieux en vous. Nous tenons beaucoup compte de l'enfant perdu, mais n'oublions jamais que l'autre est toujours là pour peu que nous osions suffisamment lâcher prise pour le laisser s'exprimer. Goûtez la joie de l'enfant, la joie qui est simple expression de l'être.
La Joie absolument simple et toujours disponible.
La Joie de JE SUIS.....................
La bougie, un bâtonnet d'encens, le réveil en bonne place, notre fidèle coussin, et c'est parti pour 30' de bonheur.
Comme un enfant.
Asseyez-vous comme un enfant: tranquillement, sans prétention, à l'aise, cool, confortable. N'en rajoutez pas. Ne jouez pas à ressembler à Deshimaru ou à qui que ce soit, soyez physiquement naturel, enfantin.Pas de modèle, ne vous asseyez pas avec votre tête. N'en faites pas des tonnes.Soyez SIMPLE.
Nous ne devons pas faire l'erreur de considérer le relâchement comme une pratique mineure, bien au contraire. Assis comme un enfant, c'est aller par la détente retrouver le corps du petit que nous avons été, le corps d'avant. Avant la déception, avant la peur , avant peut-être la trahison ou l'abandon.
Retrouver notre corps de confiance, retrouver notre joyeuse vulnérabilité. Peut être que cela demande un brin d'audace, oui, dans doute. Comme un enfant, observez le souffle, comme un enfant, sans vous poser de questions. Pas de question sur comment ou sur pourquoi. Non, ça respire et je célèbre ce "ça respire" je le goûte joyeusement , c'est une évidence sacrée. Et ce souffle me parle du Grand mystère, de la Vie, de la Mère.
Assis comme un enfant, c'est être détendu et parfaitement en éveil. Un éveil gourmand, curieux et joyeux. Comme un petit qui voit la mer ou la neige pour la première fois. Soyez ravi, émerveillé de Ce qui est ici, juste maintenant. Libérez l'enfant glorieux en vous. Nous tenons beaucoup compte de l'enfant perdu, mais n'oublions jamais que l'autre est toujours là pour peu que nous osions suffisamment lâcher prise pour le laisser s'exprimer. Goûtez la joie de l'enfant, la joie qui est simple expression de l'être.
La Joie absolument simple et toujours disponible.
La Joie de JE SUIS.....................
6 commentaires:
Merci pour cette méditation lumineuse, joyeuse, simple et profonde. Bonne journée, ipapy !
ah ! C'est bon.
Hier, l'enfant abandonné criait et c'est vrai que l'enfant joyeux est si vite oublié... J'ai connu l'enfant en détente totale. Je sais qu'il existe ! Mes enfants m'appellent...
Cela me demanderait énormément
d'imagination ! Autant me demander
de gravir l'Annapurna !
L'enfant en moi peut avoir divers qualificatifs, plutôt dévalorisants d'ailleurs, mais pas celui d'heureux.
mais si, mais si, c'est possible... là, tiens, tout de suite...
et merci, ami Alain!
eh! quel beau collier de vie, Joseph! bonjour Valérie!
Aho!
merci Sandrine ;-)
Depuis Joseph a lui aussi son propre colleir de vie !!!
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