La glorieuse réputation du lait de vache comme boisson fortifiante et reminéralisante est en train de chuter de son piédestal ancestral. De nombreuses recherches ont d'abord conduit médecins, hygiénistes et chercheurs à soupçonner sa nocivité pour aujourd'hui, l'affirmer et considérer le lait de vache comme un aliment non spécifique à l'homme. Cette idée heurte nos croyances. Et pourtant...
Pourquoi dire "non" au lait de vache ?
Code génétique inadapté
De plus, avec tous les procédés de pasteurisation, d'homogénéisation et de stérilisation UHT, le lait de vache perd ce qui, à la rigueur, pourrait nous aider à nous débarrasser assez vite de cette molécule toxique, c'est-à-dire ses enzymes.
* Le docteur Nicolas Le Berre, dans son livre "Le lait, une sacrée vacherie", critique cet aliment comme étant un facteur important de pathologie ORL, cholestérol, hémorroïdes, allergies, tumeurs, kystes et douleurs articulaires.
* Dans son livre "Le lait qui menace les femmes", éditions du Rocher, le Dr Raphaël, aprés une enquête épidémiologique d'étude de cas sur des malades, relève l'action toxique du lait de vache et son impact possible dans l'apparition du cancer du sein, des maladies nerveuses, spasmophilie ainsi que problémes de peau.
A lire également : "Lait de vache : blancheur trompeuse" de Anne Laroche-Walter
et "Le lait, mensonges et propagandes" de Thierry Souccar.
Code génétique inadapté
Les hormones contenues dans le lait de vache sont des véhicules d'informations qui vont transmettre à l'hypophyse du veau des messages adaptés à cette espèce animale particulière. Imaginez une information de croissance spécifique au veau, par exemple, peser 200 kg à 6 mois, reçues dans l'hypophyse d'un nourrisson qui, lui, dans le même laps de temps, ne doit peser que 7 à 8 kg !
Du calcium inacessible
Les protéines spécifiques contenues dans le lait animal ont pour fonction de transmettre l'information nécessaire à l'élaboration de l'osséine (filet sur cartilage pour retenir les minéraux) ; elles ne sont pas adaptées à notre espèce, mais au veau. C'est pourquoi l'être humain aura trés peu d'osséine et, de ce fait, retiendra trés mal les minéraux (le magnésium sera rendu quasi inopérant), d'où une déminéralisation progressive.
Des graisses saturées
Dans le lait maternel, les graisses sont constituées essentiellement d'acides gras poly-insaturées. Le lait de vache, lui, contient essentiellement des acides gras saturés à grosses molécules lipidiques que le foie humain a du mal à digérer. Il est important de savoir que le lait de vache a la propriété de fixer les toxines déjà présentes dans le corps. C'est pourquoi, lors d'une maladie aiguë ou chronique (grippe, angine, infection), il est indispensable de supprimer tous les produits laitiers afin de faciliter la guérison.
Les facteurs toxiques
Dans les cahiers de la nutrition "Médecine officielle", il est noté que des chercheurs ont découvert dans le lait de vache une molécule hautement toxique pour l'homme. Au lieu d'en retirer tout simplement la vente, des recherches ont été exécutées afin d'extraire cette molécule !Du calcium inacessible
Les protéines spécifiques contenues dans le lait animal ont pour fonction de transmettre l'information nécessaire à l'élaboration de l'osséine (filet sur cartilage pour retenir les minéraux) ; elles ne sont pas adaptées à notre espèce, mais au veau. C'est pourquoi l'être humain aura trés peu d'osséine et, de ce fait, retiendra trés mal les minéraux (le magnésium sera rendu quasi inopérant), d'où une déminéralisation progressive.
Des graisses saturées
Dans le lait maternel, les graisses sont constituées essentiellement d'acides gras poly-insaturées. Le lait de vache, lui, contient essentiellement des acides gras saturés à grosses molécules lipidiques que le foie humain a du mal à digérer. Il est important de savoir que le lait de vache a la propriété de fixer les toxines déjà présentes dans le corps. C'est pourquoi, lors d'une maladie aiguë ou chronique (grippe, angine, infection), il est indispensable de supprimer tous les produits laitiers afin de faciliter la guérison.
Les facteurs toxiques
De plus, avec tous les procédés de pasteurisation, d'homogénéisation et de stérilisation UHT, le lait de vache perd ce qui, à la rigueur, pourrait nous aider à nous débarrasser assez vite de cette molécule toxique, c'est-à-dire ses enzymes.
* Le docteur Nicolas Le Berre, dans son livre "Le lait, une sacrée vacherie", critique cet aliment comme étant un facteur important de pathologie ORL, cholestérol, hémorroïdes, allergies, tumeurs, kystes et douleurs articulaires.
* Dans son livre "Le lait qui menace les femmes", éditions du Rocher, le Dr Raphaël, aprés une enquête épidémiologique d'étude de cas sur des malades, relève l'action toxique du lait de vache et son impact possible dans l'apparition du cancer du sein, des maladies nerveuses, spasmophilie ainsi que problémes de peau.
A lire également : "Lait de vache : blancheur trompeuse" de Anne Laroche-Walter
et "Le lait, mensonges et propagandes" de Thierry Souccar.
Nous verrons la semaine prochaine quelles solutions existent pour remplacer le lait...
8 commentaires:
Les réponses simples et claires m'interessent...
Dis-moi Stéphane, as-tu trouvé assez clair alors ??
http://www.bio-dynamie.org/livres-agriculture-jardinage-alimentation-rythmes/biodynamis/presentation-biodynamis.htm
... je souhaite juste rajouter si tu permets Valou que bien que je sois complètement d'accord avec tout ça... et que j'en parle souvent dans mes cours... la revue biodynamis a publié un article l'année dernière je crois qui prouve scientifiquement que le lait d'une vache qui vient d'avoir un veau, qui est dans le pré, une vache sereine, que l'on "exploite" pas... ce lait est un aliment de grande qualité même pour l'homme...s'il n'est pas stérilisé, pasteurisé ou je ne sais quoi... bien sûr nous avons oublié ce qu'est le lait cru d'une vache des près ou des alpages... et que sa consommation ne se fait qu'à certains moments de l'année et en quantité raisonnable... à mon avis attention aux extrêmes... dans un sens comme dans l'autre !
Bonsoir,
Il faut sans doute de la bonne mesure.Je suis d'accord pour dire que j'ai consommé trop de lait de ferme quand j'étais plus jeune et qui a provoqué bcq d'affectons ORL.A l'époque je n'étais informé de cela.il n'est jamais trop tard pour en parlé .
Oui, c'est clair et j'attends les solutions de remplacement avec interêt !
Moi, j'aime le lait.
Je comprends Marion mais je t'assure qu'il existe des laits végétaux trés sympas dont on ne soupçonne pas la saveur...
J'ai lâché le lait (de vache) pour tester; j'avais beaucoup d'allergies, diverses, et en passant au lait de riz, cela a considérablement diminué !
Cela m'a demandé un court temps d'adaptation, mais très vite j'ai beaucoup apprécié la saveur du lait de riz et maintenant, le lait de vache m'est vraiment indigeste.
Je m'aperçois qu'on s'habitue vraiment à tout, beaucoup plus facilement qu'on ne l'imagine au départ !
Enregistrer un commentaire