Laissons l’expir nous montrer le chemin.
L’expiration qui nous mêne vers la détente et la douceur.
La méditation c’est un moment de détente et de douceur.
Détente physique, relâchement de toutes les tensions inutiles : observez, sentez, très peu de tension est nécessaire à la posture.
Relâchons le ventre.
Dans l’expir, c’est-à-dire dans la confiance.
Relâchons le ventre et appuyons nous sur la Terre, sur la Terre notre mère à tous comme le dit souvent Daniel.
Cette détente physique, ce relâchement des tensions inutiles induit instantanément une qualité de présence. Simplement parce que nous sommes là où est le corps, sur Terre, dans notre si précieuse incarnation.
Dans l’expir, manifestons notre gratitude à ce corps.
Mais la violence que nous nous infligeons – parce que nous sommes des spécialistes de la violence, de la tension – n’est pas seulement une violence physique. C’est aussi une violence mentale.
La violence du mental qui nous malmène, qui nous mène à la cravache.
La méditation de ce point de vue aussi est un moment de douceur, de repos.
Cessons de nous exiler de l’Être et du moment présent par le vagabondage des pensées. Vous connaissez la comptine : marabout, bout de ficelle, selle de ceval, cheval de course….
La violence du mental s’exerce aussi dans le jugement permanent sur nous-même et sur les autres, dans la comparaison incessante entre moi et les autres, entre moi tel que je suis et moi tel que je voudrais ou devrais être.
Violence enfin dans les attentes perpétuelles : à quand la grande et belle méditation, la méditation parfaite, est-ce que je vais enfin la vivre aujourd’hui ??
La seule perfection possible est celle de l’instant.
Dans la détente, dans la douceur. Osons le mot, dans l’Amour.
L’Amour de soi-même.
L’Amour de l’instant présent.
Laissons l’Être respirer.
L’expiration qui nous mêne vers la détente et la douceur.
La méditation c’est un moment de détente et de douceur.
Détente physique, relâchement de toutes les tensions inutiles : observez, sentez, très peu de tension est nécessaire à la posture.
Relâchons le ventre.
Dans l’expir, c’est-à-dire dans la confiance.
Relâchons le ventre et appuyons nous sur la Terre, sur la Terre notre mère à tous comme le dit souvent Daniel.
Cette détente physique, ce relâchement des tensions inutiles induit instantanément une qualité de présence. Simplement parce que nous sommes là où est le corps, sur Terre, dans notre si précieuse incarnation.
Dans l’expir, manifestons notre gratitude à ce corps.
Mais la violence que nous nous infligeons – parce que nous sommes des spécialistes de la violence, de la tension – n’est pas seulement une violence physique. C’est aussi une violence mentale.
La violence du mental qui nous malmène, qui nous mène à la cravache.
La méditation de ce point de vue aussi est un moment de douceur, de repos.
Cessons de nous exiler de l’Être et du moment présent par le vagabondage des pensées. Vous connaissez la comptine : marabout, bout de ficelle, selle de ceval, cheval de course….
La violence du mental s’exerce aussi dans le jugement permanent sur nous-même et sur les autres, dans la comparaison incessante entre moi et les autres, entre moi tel que je suis et moi tel que je voudrais ou devrais être.
Violence enfin dans les attentes perpétuelles : à quand la grande et belle méditation, la méditation parfaite, est-ce que je vais enfin la vivre aujourd’hui ??
La seule perfection possible est celle de l’instant.
Dans la détente, dans la douceur. Osons le mot, dans l’Amour.
L’Amour de soi-même.
L’Amour de l’instant présent.
Laissons l’Être respirer.
7 commentaires:
Merci Alain pour cette belle méditation du dimanche matin, invitation à la douceur.
Karl
Merci de tout mon coeur, ipapy, pour cette méditation... Je me réjouis de pouvoir, très bientôt, en entendre en direct...Bon dimanche à toi et Corinne, bon dimanche à tous !
En écho ,Arnaud dit:le mal vient non pas de ce que vous vous aimez trop,mais de ce que vous ne vous aimez pas.
Bon Dimanche à tous.
C'est étonnant de voir le bienfait que produit l'arrêt, un instant, du mental ; la douceur de l'instant peut alors apparaître.
Oui bon dimanche (est-ce le premier jour ou le dernier jour de la semaine ?) Chut, plus de question...
Mon dieu, oui, quel tyran, ce mental!
mais qqchose d'autre est possible... tout de suite.
Bisous*
Linda, je me réjouis pour toi.
qui suis-je?
celui que je suis
mais est-il ce que je suis? ou ce que je ne suis pas? ce que je voudrais ou ne voudrais pas être? ce que je devrais ou ne devrais pas être? ce que les autres voudraient que je sois?
ce n'est pas de la violence (torture) mentale ça?
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