mercredi 5 décembre 2007


20 commentaires:

Anonyme a dit…

Merci Corinne, pour ce texte. Il vient à point nommé pour ce que je vis en ce moment...

Anonyme a dit…

Super, ça m'aide également beaucoup ce texte. Je suis sur la bonne voie !

Anonyme a dit…

C'est très utile aujourd'hui.
Merci
Nicolas B.

Anonyme a dit…

Je préfère : Travail avec soi.

Travail sur soi cela fait usinage, taraudage, polissage de la tuile dont a parlé Alain.

gjm

Anonyme a dit…

bonjour corinne,
je peux reprendre à mon compte ce que tu exprimes en résumant :
" je suis agressive quand je ne suis pas vraiment VRAIMENT réconciliée avec toutes les facettes qui cohabitent en moi ".
mais , à ce rythme là , on n'est pas prêts d'oublier le " moi" !!!
hihihi !!!

Corinne a dit…

La phrase sur la dame agressive est d'Arnaud, je n'exprime rien, Ghanda. Par ailleurs je ne crois pas qu'on puisse la retourner.C'est lui faire dire autre chose que ce qu'elle veut dire.

Anonyme a dit…

A rapprocher peut être de la phrase:
"en nous cohabitent le meilleur du meilleur et le pire du pire". Réconciliée avec ce qui est, avec le personnage présent ici et maintenant, loin de l'image idéale fabriquée et entrenue par le Mental, l'Humanité en moi peut enfin se déployer.

Anonyme a dit…

L'honnêteté est tranchante. Et comme elle ne ment pas, elle démantèle le mental !
Être honnête avec moi-même, aujourd'hui, c'est pourtant avouer que je manque parfois d'honnêteté.
Isabelle

Anonyme a dit…

Merci beaucoup, Corinne, car cela me permet de comprendre des choses - et merci à Stéphane au passage, qui a mis sur son blog une citation de Swâmiji qui rejoint complètement cette réflexion : ""Be faithful to yourself as you are situated here and now". soit : "Soyez fidèle à vous-même tel que vous êtes situé ici et maintenant.".
J'étais en train de m'éloigner du "fil du rasoir" que vous évoquiez hier, mais pour moi, rester fidèle à ce que l'on est, c'est le fil du rasoir !
Merci encore !

fishfish a dit…

Merci de partager avec nous, de retour de Mangala, certaines paroles d'Arnaud encore toutes chaudes.

fishfish a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Anonyme a dit…

no problem , corinne !
qd j'emets un commentaire , c'est souvent une manière de m'approprier le message du post , et la reflexion perso. qui va avec !
loin de moi l'idée de faire des commentaires sur une phrase d'arnaud !

Corinne a dit…

Coucou Fish-Fish,
En fait ces paroles d'Arnaud sont dans le livre d'Éric Edelmann...

fishfish a dit…

Coucou. Oui je ressens l'intensité de la présence d'Arnaud dans tes posts et aussi dans la transmission de certaines paroles brûlantes comme "le contraire de l'amour, c'est la peur".
Cela donne l'ampleur de la gravité de la situation et donne une motivation dans la possibilité de transformation

akidbelle a dit…

Merci Corinne.
Ca me rappelle une question d'Alain qui m'a percuté lors d'une séance de médit: Qu'est ce que c'est?
A partir du moment où je me demande "qui je suis", c'est déjà un a priori (qu'il y a quelqu'un en tant qu'objet plus ou moins solide, plus ou moins permanent).
Si je me demande ce que c'est, je ne peux que voir ou alors me heurter a des entraves intérieures: ces entraves sont fertiles si je vois alors ce qu'elles sont.
La seconde question "pourquoi" (qui est celle qui vient notamment a propos des entraves) me renvoie dans le passé (pour quelles causes) ET dans le futur (dans quel objectif). Donc "pourquoi" ça n'existe plus, ET pas encore, donc ça n'existe pas. Si je cherche le pourquoi, je suis dans un rêve! Si par contre je me demande "comment ça marche", je regarde une réalité: le présent.
Apres ça, quelqu’un va me dire que la réalité, vue sous cet angle, ça ressemble a une mécanique infernale, genre boite de vitesses. Et c’est le cas, c’est même très mécanique.
A mon humble avis, la situation n'a rien de grave, elle est juste sans espoir.

Mais si je peux voir, alors, d’où vient la Lumière ?

Amitiés
Jacques

Anonyme a dit…

A Akidbelle
Le " mental " est d'une complexité sans rapport avec l'apparente complication d'une boïte à vitesses. NB pourtant je ne suis pas mécanicien.

Clin d'oeil à Alain, futur motard : a-t-il compris la différence entre couple et puissance d'un moteur ?

gjm

cela recommence, l'anglais se pointe sur le blog !

Corinne a dit…

Salut l'anglais !! ou plutôt : hye !!

Anonyme a dit…

Très fort ce passage, éclairant également, ça booste de recevoir les paroles du maître.
De plus ce jour je me suis disputé avec ma tante d'une façon plus "agressive" que jamais, cela a fusé, comme si le masque de "gentil garçon" se fissurait d'un coup, donc cette extrait me touche.
J-P niaque-petto

akidbelle a dit…

Gjm: oui, bien sur! L'exemple est simpliste, en particulier parcequ'une boite de vitesses ca s'arrete, on peut la voir au repos.
A+
Jacques

Anonyme a dit…

Waow! quelle déferlente de commentaires...
Alors j'y vais de ma goutte, juste pour re-re-re...-dire pranam aux paroles qui guident, et aussi à ceux qui nous les transmettent...

Tout à fait moi-même = fin de l'agressivité, ça me parle grave, évidemment, et sentir d'où et où se niche le lien "causal", le contacter dans mon corps d'expérience d'hier et donc d'aujourd'hui aussi, parce qu'hier, c'était inconscient et une défense de survie -ce qui est obsolète aujourd'hui- eh bien, ça le fait aussi, non pas dans une mentale recherche de pourquoi, mais dans une rencontre pleinement ressentie -et donc une réunion libératrice- bref, ça décolle de la mélasse...

Mais ça prend son temps, et parfois ce démasquage nous rend-enfin!- à l'expression ressentie des douleurs d'hier, et hier abandonnées, rejetées parce qu'interdites par l'entourage, et soigneusement recouvertes d'un superbe masque, celui de la battante: "moi? ça va, heureuse"...

Et alors, c'est la "grise mine", qui n'est pas très socialement admise ("ben alors, t'éxagères, t'as tout pour être heureuse!"); et le "temps qu'il faut", c'est pas MOI qui décide, même si l'objectif est clair, RECONCILIEE.

Bon, tout ça pour dire que j'y travaille ardemment, que la lumière réside aussi dans la rencontre sincère et pleine de l'ombre, et que même si ça fait un peu une "grise mine" de l'extérieur, je me sens ok à l'intérieur avec ce qui se passe, et non, pas malheureuse, merci...

Bonnes rencontres à tous, en ces temps de Noël*

ps: pourquoi les indications sont-elles en anglais, Corinne?