lundi 26 février 2007

Prépa 2

Voici le nouveau petit oratoire consacré à Charles de Foucault (sobriété et dénuement évidemment) et que nous venons de découvrir en ces deux jours de prépa-Désert à Notre Dame des Neiges. Le temps me manque ce matin pour parler vraiment de ce WE. Mais quoi en dire? si ce n'est, fraternité, chaleur, communion d'intention, et communion aussi avec la belle et bonne énergie spirituelle de ce lieu consacré à l'Unique Nécessaire. Un groupe est né et le bébé se porte très bien. De belles et intéressantes photos vont me parvenir d'Anne-Marie, de Guillaume et de Roger. Elles seront sur le Blog dans la semaine. Juste pour ce matin une phrase de Charles de Foucault qui me touche particulièrement:

" On sait qu'on voudrait aimer et vouloir aimer, c'est aimer"

5 commentaires:

fishfish a dit…

perdre l'illusion d'aimer
decouvrir le desir d etre aimer
et enfin la volonté d apprendre à aimer
cette phrase que tu nous donnes me touche ; cela est si simple.

greglo a dit…

et qu'est-ce que je trouve sur le site de ND des Neiges, concerant l'hymne à CdeFoucauld?

Que l'hymne a été écris par Fr.. David, petit neveu de Charles de F., moine de l'abbaye..... d'En Calcat... elle est pas belle la vie????

Bonne journée,

Laurent

www.notredamedesneiges.com/

Anonyme a dit…

Bon, merci pour la phrase, ça me rassure vraiment, comme une tape amicale sur l'épaule, parce que cette sensation permanente juste derrière, juste qd je viens de lui dire "je t'aime", ou qu'il vient de me le dire, qui me taraude et mine l'instant, parce que je sens bien que "c'est pas ça"...OUI, je suis tournée entière vers ça ,apprendre à aimer; ok pour la route... mais cette phrase fait du bien, comme une étape pour reprendre mon souffle, me reposer ds...Ce qui est, isn'it?

Anonyme a dit…

Bonjour à tous,
Très bien que le groupe des 12 commence un bon départ,je suis content pour vous.

Anonyme a dit…

Coïncidence?... Un oncle est mort il y a peu et sur son lit d'agonisant, il a dit à ceux qui était là, dont je ne faisais pas partie (je le connaissais assez peu) qu'il fallait que je me rende ainsi qu'un cousin à l'ermitage du Père de Foucauld. Cet oncle avait été zouave et instituteur à Tamanrasset. Ce que nous avions pris pour un délire d'agonisant change un peu de perspective aujourdhui car mon employeur m'a proposé l'idée de me rendre à Tamnarasset... et puis je tombe sur votre blog cher Alain, je m'innocule de son doux venin et je vois que vos pas vous mène au même endroit. C'est au moins curieux, troublant un peu...
amitiés jean-marc