Qu'est-ce qui m'est nécessaire, juste maintenant, pour Être?
RIEN
Rien qui ne soit donné par la Vie.
Les fonctions vitales du corps sont données. Je n'ai à m'occuper ni de la respiration ni des battements du coeur.
La conscience est donnée .
Ai-je besoin d'autre chose ?
Les pensées qui m'assaillent, qui génèrent émotions positives ou négatives sont-elles nécessaires? Elles brouillent la conscience d'être, nous coupent de cet unique nécessaire ÊTRE.
L'Unique Nécessaire.
(Corinne-fiche de médit-hier soir)
RIEN
Rien qui ne soit donné par la Vie.
Les fonctions vitales du corps sont données. Je n'ai à m'occuper ni de la respiration ni des battements du coeur.
La conscience est donnée .
Ai-je besoin d'autre chose ?
Les pensées qui m'assaillent, qui génèrent émotions positives ou négatives sont-elles nécessaires? Elles brouillent la conscience d'être, nous coupent de cet unique nécessaire ÊTRE.
L'Unique Nécessaire.
(Corinne-fiche de médit-hier soir)
6 commentaires:
Que le superflu est pesant quand on voit à quel point il recouvre l'Unique Nécessaire...Et qu'il est dur à déraciner!
Qu'il est beau le syrphe et que sa larve dévore bien les pucerons !
Merci pour cette courte mais forte méditation. C'est plus que nécessaire de se rappeler ce qui nous permet d'Etre. Et siles pensées qui surviennent pour nous assaillir ne sont pas nécessaires, néanmois, il me semble qu'à un certain stade, elles font partie de ce qui EST aussi ? Mais alors,les laisser partir est nécessaire.
Linda, ton texte complète pour moi ce que je resentais à la fin de celui de Corinne.
Comme quoi, l'étanchéité peut se fissurer quand le voir apparaît...
Je t'embrasse.
J-P Gepetto.
Je ressens bien, avec le temps, que la Vie nous est « donnée » c’est un axiome incontournable. Je suis moins sûr que la conscience le soit autant, vu le comportement irresponsable de certains contre qui nous grognons de temps en temps. J’ai l’impression que j'ai tout à gagner en me laissant guider par Elle (la Vie) et en la respectant (activement passif ?).
Mais n'y a-t-il pas un devoir d’humanité – comme dirait D.M., qui m'oblige à nourrir, exercer et développer ma conscience, (passivement actif ?). Gurdjieff appelait ça la "conscience morale", qui n’a aucun rapport avec un dogme. Un petit (!) effort est nécessaire quand même, la Nature ne peut pas tout faire ... à ma place.
Enfin, il me semble…
Bises
Merci Corinne pour ce rappel fondamental, il tombe à pic (et il tombera toujours à pic).
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