« Une majorité de femmes souffrent – souvent sans le savoir – de ne pas avoir la vie sexuelle qu’elles souhaitent : être à l’aise avec les sensations, pouvoir les ajuster à celles du partenaire, bénéficier ainsi des vertus reconstituantes du partage amoureux.
Au croisement de la gynécologie, de la médecine chinoise, de la psychanalyse et de l’approche transgénérationnelle, le docteur Flaumenbaum, gynécologue et acupunctrice, s’appuie sur plus de trente ans d’expérience pour expliquer comment les femmes d’aujourd’hui construisent leur sexualité, la place qu’y tient la mère, pourquoi le plaisir ou même le désir sont si peu souvent au rendez-vous, et comment y remédier.
Un livre qui devrair revigorer les hommes et dynamiser les femmes. »
Allez, quelques titres de chapitres pour vous donner envie de lire ce livre vraiment éclairant :
"Nous aimons les hommes comme nous aimons nos mères"
"Le sexe vivant : une anatomie dynamique"
"Les arbres gynécologiques"...
8 commentaires:
un homme qui a une sexualité épanouïe est " viril " et une femme qui s'autorise à a vivre une sexualité épanouïe est ... :
de ce que j'entends du manque dans la sexualité des femmes , c'est AUSSI ... une dualité entre la peur d'être considérée comme une " salope" (qui enferme encore la sexualité dans une repression ...),
et le désir de se respecter ;
à quand la parité homme/femme dans la sexualité ... ils avaient bien commencé en mai 68 , et depuis les bonnes vieilles habitudes de considérer les femmes libérées comme des "..."
s'est remise très vite en place ...
où est la place juste , le juste milieu ... sans être dans la chaîne sans fin d'action/réaction ?
merci Corinne. J'aime beaucoup les posts que tu fais concernant des questions qui touchent les femmes, comme celui-ci ou celui que tu avais fait sur les lunes.
Ce que j'ai apprécié dans ce livre c'est justement que la question n'était pas posée sur le terrain de la guerre des sexes.Il n'y est pas question de parité mais de complémentarité. Il y est question de ce que les mères transmettent à leurs filles ou de ce qu'elle ne peuvent transmettre faute de l'avoir reçu.Et ce n'est pas un constat d'échec : ce que les filles ont a recevoir c'est avant tout une autorisation. "Permettre"c'est ce que fait l'amour. Il est aussi beaucoup question d'amour dans ce livre.
Bon, ben voilà...
En effet, si j'aime Jean-Baptiste comme j'aime ma mère, c'est pas tout à fait gagné...
Et ça me parle très direct, question sexualité, mais tu le sais déjà, soeur de lune...
Merci Corinne, je cours à la Fnac!
Bisous*
Merci beaucoup Corinne pour ce post. Oui, comment appréhender la sexualité sans peur, en confiance, alors que la peur la plus intime est celle de ne pas etre aimée par ma mère, et donc par l'homme. C'est bien cristallisé tout cela, et renforcé par des situations qui se répètent en boucle... Merci de ton accompagnement, et de ta présence de femme. Cela me nourrie beaucoup
Je ressens aussi que l'accès au plaisir est fondamental pour l'épanouissement de l'être en chacun.
Je commence à réaliser cette importance vitale du centre sexuel, qui lorsque je me réconcilie avec lui, redonne de la joie pour soi et le ou la partenaire.
Il manifeste l'énergie créatrice, le jeu, l'inconnu, l'ouverture, l'abandon, la jouissance naturelle...
Biensûr les habitudes de pensées se réveillent et freinent ce plaisir, cependant ça vaut vraiment la peine de tenter et retenter, puisque c'est se réconcilier, se réunifier, se faire du bien, se rendre heureux.
C'est une aventure, le risque de la rencontre, de l'audace, de l'invention, de la fête...
Le plaisir est sagesse.
J-P sexo-petto
Oui. J'aime avec le meilleur de moi, je suis fasciné avec le pire de moi."AD
Le coup du "nous aimons les hommes comme nous aimons nos mères" c'est trés trés fort... j'ai pu constater des corrélations à plusieurs reprises dans mon expérience... mais j'aurais pas pensé faire un tel racourci... et pourtant je trouve que c'est éloquent ! J'aimerais bien lire ce livre...garde le au chaud dans la biblio j'arrive bientôt ;-))
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