jeudi 31 mai 2012

Vigilance, vigilance.........

.


Des images en noir et blanc montrent le motocycliste capable de déjouer les pièges des automobilistes inattentifs ouverture de portière, priorité grillée. Puis des images couleur montrent une route déserte sillonnant à travers champs ; le motard met les gaz et disparaît derrière un bosquet dans un grand fracas, tandis que s'affiche la phrase : "La majorité des accidents de moto ont lieu par beau temps en rase campagne." Sur les 772 motocyclistes morts en 2011, 474 ont été tués dans ces conditions et 257 étaient seuls sur leur véhicule ; ils ont probablement été victimes d'un défaut de vigilance ayant provoqué un dérapage ou une sortie de route dans un virage




signalé par Christian


.

mercredi 30 mai 2012

Flûte de bambou

.




Karl

.

Merveilles


.

Allez voir le site de Dominique, il fait des photos magnifiques...


.

mardi 29 mai 2012

L'Inde éternelle


.

À chaque groupe qui part en Inde, je propose une bibliographie qui s'étoffe d'année en année. Voici un livre que Jean-Baptiste m'a fait connaître. Si vous désirez  en savoir plus sans entrer dans des discussions de spécialistes  sur les grands textes  de l'Inde, Vedas, Upanishads, Mahâbhârata...etc, vous repérer dans le panthéon des dieux de l'hindouisme entre les avatars de Vishnu, les différentes représentations de Shiva et leurs  parèdres respectives, avoir quelques éclairages sur les Sikhs ou les Jaïns, les pujas, les pèlerinages,  la musique et la danse, l'astrologie indienne...
Ce livre est une mine, les textes sont simples et éclairants, les photos et illustrations très belles, bref, c'est une de mes bibles !


Zoom arrière



.


Univers

"Il y a cent milliards de galaxie dans l'univers et chacune d'entre elles compte des milliards d'étoiles. Et il y a des gens qui continuent à se rendre malades du recul de la francophonie dans les territoires de l'ancien empire français."

Sylvain Tesson
Bloc-notes du n° 3675 du magazine Grands Reportages mai 2012


.

lundi 28 mai 2012

Pour Emilie

.



Cette sélection de Monique  pour notre très chère Émilie
qui nous a quitté ce matin
À Dieu Émilie
Je t'aime


.


vendredi 25 mai 2012

La grâce


.


 
Nous sommes à l'abbaye de Wavreumont en Belgique.
Nous vous laissons avec Mozart...
Bon week-end à tous.

.
 



jeudi 24 mai 2012

Lars Danielsson

.


Vu en concert hier soir ...  magnifique ! 
Allez y si l’occasion vous en est donnée !
Karl

.

Catherine Harding.

.


Une récente interview de notre très chère amie Catherine
par l'infatigable et  talentueux Richard Lang
Merci les amis et merci à Olivier

.

mercredi 23 mai 2012

Dzogchen


.



Jigmé Lingpa (1729-1798)

Parmi la foule croissent la haine et l'attachement,
Tandis que dans la solitude les qualités s'épanouissent.
Habite donc les montagnes solitaires
Et observe le spectacle de ton esprit !

Désormais mû par le vent du renoncement,
Allume le feu de la vacuité et de la compassion,
Attise ses flammes avec l'éventail de l'attention
Et consume les broussailles de l'esprit ordinaire et de ses pensées !

in  Matthieu Ricard
Chemins spirituels
Petite anthologie des plus beaux textes tibétains
Ed Nil p 243

.

mardi 22 mai 2012

Merci Jean-François

.



Jean-François a été le tout premier il y a quatre ans
 a nous ravir sur le iPapy avec ses trouvailles musicales.
Le voici au clavier.   Merci l'ami


.

lundi 21 mai 2012

Simplement, voir

.


Nous sommes heureux de vous présenter le livre de notre ami Christian. Je sais que Douglas aurait lui aussi grandement apprécié ce livre. Merci Christian Merci.


Dans cet essai, les connaissances mystiques sur la nature de l’esprit sont mises à contribution pour analyser quelques problèmes de la poésie contemporaine : sujet, lyrisme, présence, habitation, inspiration, rythme, etc.
La mystique est fondée sur l’expérience du contact direct et de l’union à une conscience non-individuelle. Dégagée de son habituel contexte religieux, elle acquiert alors le statut de connaissance expérimentale de l’être. Elle étudie les modalités sensibles de cette expérience unitive et les moyens de la réaliser.
La poésie s’avère être ainsi l’un des moyens d’expression de cette conscience et la recherche de formes linguistiques aptes à orienter le lecteur vers le réel.
Cette approche critique révèle la dimension spirituelle inconnue des oeuvres poétiques et leurs confluences profondes avec celles des mystiques « sauvages », « athées », ou bien situées au-delà des traditions.

« En ce qui concerne la poésie contemporaine je n’ai pas mon mot à dire mais j’ai lu la totalité de votre thèse et je me sens tout à fait en accord avec ce que vous avez écrit. Du point de vue des idées (ou des vérités) que nous devons à Swâmijî, votre compréhension et la manière dont vous exprimez celle-ci sont sans erreur. » Arnaud DESJARDINS (Extrait d’une correspondance personnelle, 25 janvier 2011).

Christian LE DIMNA, docteur en littérature française générale et comparée (Université de Nantes) réside au Japon depuis près de 25 ans. Il a enseigné dans les universités nationales de Tsukuba et de Hiroshima et il est actuellement professeur de littérature et de langue françaises à l’Université de la Ville de Hiroshima (Hiroshima City University).

http://www.eme-editions.be/product.php?id_product=47297

.

Vilges Suola

.


Pour démarrer la semaine comme des guerrières 
et des guerriers (pacifiques, évidemment)
Ce titre de l'impressionnante Mari Boine 
dans l'album non moins impressionnant 
intitulé "Gula Gula" (Ecouter la voix des grand-mères )
Allez-y et montez le son
J'adore




.

vendredi 18 mai 2012

Font d'Urle, 17 mai...



 .






Sans commentaire...


.

jeudi 17 mai 2012

Histoire de Sadhûs...suite





Pas facile effectivement de ne pas « réagir » en lisant cette histoire. Et notre réaction est de chercher à comprendre à partir de notre paradigme culturel, religieux, philosophique, spirituel...occidental. Ce paradigme est constitué d'un certain nombre d'idées sur le corps, sur la naissance et la mort, la liberté, il est constitué de croyances sur ce qui est bien ou mal. Dans cette vision occidentale du monde même s'il y a des variantes la mort est au pire une fin terrible, au mieux un passage douloureux et de toute façon une perte. Entrer dans le Gange volontairement s'appelle un suicide et provient d'un désir ou d'un choix de mort que l'on a du mal à envisager autrement que morbide.
Je n'ai pas la clé. Juste quelques éclairages. En Inde, chez les Yogis et les Sadhus prendre le « mahasamadhi » dans le Gange est une pratique traditionnelle reconnue. Une réalisation pleine peut amener à sentir que l'incarnation dans cette existence et dans ce corps est arrivée à son terme. Cela ne procède pas d'un choix ou d'un désir mais d'une évidence en général annoncée aux disciples. C'est incompréhensible dans notre vision occidentale. Une connaissance de la philosophie de l'Inde, des Upanishads et de l'Advaîta Vedanta est nécessaire.
Même si on n'a pas cette connaissance, une telle histoire est précieuse. J'en ai entendu plusieurs de ce genre en Inde et racontées par des personnes vraiment dignes de confiance pour qui il était évident qu'il ne s 'agissait pas d'un « suicide » au sens où nous l'entendons chez nous.
Entendre une telle « histoire » et ,même si on ne la comprend pas, percevoir qu'elle a un sens, nécessite de voir notre « vérité » sur ce que sont l'incarnation, la vie, la mort, comme un paradigme.
Visiblement, il en existe d'autres. Nous sommes là devant un mystère.  

Starling Murmuration.

.


Comment ne pas être émerveillé(e) par cette Danse parfaitement fluide 
et divinement orchestrée de la Nature ?!
(NB. "Starlings", ce sont des étourneaux…
 "Murmuration" pourrait se traduire par "envolée époustouflante"…)


Alain-René


.


mercredi 16 mai 2012

mardi 15 mai 2012

The PianoGuys

.


Karl

.

Instructions to the cook.

.


Désolé, uniquement disponible en anglais

.

Histoire de Sadhûs





Sadhûs, photo de Karl.


"À Buria, un autre renonçant avait lui aussi décidé de quitter son corps.
 Il méditait au bord du Gange, là où le lit du fleuve est étroit et profond, et son cours tumultueux. Être ou ne pas être ? Il avait choisi. Il allait sauter.
 Sadhûs et pèlerins venaient honorer d'encens, de guirlandes de fleurs et de pranam ce darshan ultime, et nous nous joignîmes à eux pour nous courber devant l'homme qui avait résolu de mourir. Il avait peut-être cinquante ans, maigre, un peu usé, les yeux ouverts. Décidé, serein, concentré. Libéré.


Soudain, il se leva, courut jusqu'à la berge et sauta dans les flots rugissants où il disparut en un instant.


La suite de l'histoire se passe pour lui dans la cataracte où, dans un environnement asphyxiant, son corps est secoué, cogné, brisé, désarticulé, écrasé. Il respire l'eau glacée puis perd conscience dans un ultime tourbillon. Fin. Sur l'écran de la conscience, une lumière sans image. Ou le noir. Lui le sait. On ne sait rien.
- Qu'as-tu vu, Connor (1)?
- Rien de spécial. Un homme qui m'a regardé le saluer. Il était indifférent.
- Il sacrifie le monde en sacrifiant son corps. Cette mort sans peur lui garantit qu'il ne renaîtra pas, assura Anandababa (2).
- Babaji (3), vous avez dit que nous ne sommes pas ce corps, que nous ne sommes pas nés ! intervins-je. Quoi qu'il arrive il ne renaîtra pas !
- Tu fais rire Babaji. Cela, tu ne l'as pas vu.
- Prassad (4) fait rire Prassad, Babaji, avouai-je.
- Qu'as-tu vu ? 
- J'ai vu un homme qui a préféré ne pas être me regarder dans les yeux calmement. Le darshan de l'adieu. Par son choix, il m'a dit : "Tu n'es qu'une illusion." Mais n'est-ce pas prendre la philosophie trop au sérieux que de la conduire à cet extrème du mépris de la vie ?
- N'est-ce pas prendre la vie trop au sérieux que de ne pas l'y conduire ? me répondit Anandababa, hilare.


Dans l'Astâvakra Samhitâ :
 Celui qui se considère libre est libre en vérité
 Et celui qui se considère limité est limité en fait.
 Tu deviens ce que tu penses. (I,11)
Que faut-il en penser ?...
 Nous quittâmes Buria."

(1) Connor est un jeune australien qui suit aussi Anandababa 
(2) Anandababa, le sadhû guru du narrateur
(3) Babaji, diminutif empreint de respect de Anandababa
(4) Prassad, le nom de disciple que Anandababa a donné au narrateur
Patrick Levy
Sadhûs
Ed Pocket p 416-417


lundi 14 mai 2012

Creepy Mojo - Reality Game


.


Voici le premier clip officiel et en exclusivité mondiale (légèrement différée) d'un morceau qui s'appelle REALITY GAME par le groupe CREEPY MOJO !!!
De tout coeur avec vous deux Guyom et Alex dans vos projets musicaux.
Nous attendons la suite avec impatience...

Le clip a été réalisé par Guyom  en vision première personne. La chanson parle de la différence, de l'acceptation et  du regard.
Voici le texte du refrain :

"The man on your line is not allowed
A face is a trap in a crowd
A stranger in your bones
You're alone"




.

La citation du lundi

.







La plus belle chose que nous puissions éprouver, c'est le côté mystérieux de la vie. C'est le sentiment profond qui se trouve au berceau de l'art et de la science véritables. Celui qui ne peut plus éprouver ni étonnement ni surprise est pour ainsi dire mort ; ses yeux sont éteints. L'impression du mystérieux, même mêlée de crainte, a créé aussi la religion. Savoir qu'il existe quelque chose qui nous est impénétrable, connaître les manifestations de l'entendement le plus profond et de la beauté la plus éclatante, qui ne sont accessibles à notre raison que dans leurs formes les plus primitives, cette connaissance et ce sentiment, voilà ce qui constitue la vraie dévotion, en ce sens, et seulement en ce sens, je compte parmi les hommes les plus profondément religieux.
 Albert Einstein


proposé par Karl


.

dimanche 13 mai 2012

The Highest Pass

.


 En Royal Enfield  sur les plus hautes routes du monde.


.

Come back

.


Une belle découverte de Jean-François
Bon dimanche le Blog

.

samedi 12 mai 2012

mercredi 9 mai 2012

Guerrilla jardinière


.
Corinne et moi nous nous préparons à lancer nos bombes à graines (1) demain...
Bon, pas en ville, juste dans le coin du jardin resté sauvage ! Et voici le résultat escompté : 



(1) La grenade verte ou bombe à graines est l'étendard de la guérilla jardinière. Un outil amusant, pratique pour les endroits difficiles d'accès. C'est une boule d'argile, de terreau et de graines, que l'on peut confectionner soi-même et lancer où l'on veut, en catimini.

Les puristes récupèrent les graines de leurs propres plantations. Autre option idéologiquement acceptable : s'approvisionner dans des Fraternités ouvrières ou auprès d'associations militantes comme Kokopelli, qui distribue des semences bio pour préserver la biodiversité. Trop tard ? Alors direction la jardinerie du coin. On y trouve des sachets prémélangés, comme ceux de la jeune société Nova-Flore, spécialiste de l'écologie urbaine (plantes mellifères, prairie de fleurs sauvages, etc.). Ceux que les travaux manuels rebutent s'achèteront des outils tout prêts. Comme les paquets de bombes à graines de l'allemand Aries ou, plus tendance, l'astucieuse Seedbom, en forme de grenade, du britannique Kabloom.
Mais la bombe à graines est une arme capricieuse, qui n'affranchit pas son utilisateur du b.a.-ba du jardinage. Une graine a besoin d'un sol préparé et d'une météo propice pour s'enraciner. Pas de magie, hélas, d'où certaines frustrations des débutants, que Richard Reynolds, auteur du livre La Guérilla jardinière (éd. Yves Michel, 2010, 274 p., 13,96 euros) et utilisateur régulier, accueille avec le sourire : "Ce sont des bombes très primitives ! Elles sont donc peu fiables."
Christine Taconn, publié par LE MONDE  du 23.04.2012, p. 25, .    

.      

Psalmen

.

JFL

.

mardi 8 mai 2012

La citation du mardi


.



"Le renoncement n'est pas l'envers de l'envie, c'est un acte positif. Vous renoncez à courir après la vie, parce que vous affirmez que vous êtes la vie. Le renoncement, c'est abandonner moi, mon et mien. Que pouvez-vous désirer dans cette conscience qui inclut déjà tout ?"
Pocket p 117 



Voici ce qu'écrit Patrick Levy lui-même sur son site :
 "Ils étaient enfants, fonctionnaires, paysans ou voleurs, ils sont devenus renonçants, moines mendiants, philosophes, adorateurs de Shiva, fumeurs de haschisch, faiseurs de miracle…En Inde, on les appelle sâdhus, saints. Ils sont des millions ces moines errants hirsutes, couverts de cendre ou vêtus de hardes couleur-du-feu, mais on les connaît très peu au fond tant ils sont souvent photographiés mais rarement écoutés. Ils ont abandonné leur nom, leur famille, leur emploi. Ils font vœux de ne pas travailler pour faire de leur vérité un mode de vie. Et ils demeurent les étendards d’une liberté et d’une sobriété dont on a oublié le goût dans notre civilisation commerciale qui prône croissance, labeur et consommation et annonce en même temps sa ruine écologique et son tsunami démographique à court terme.

Les sâdhus forment un ordre vieux de plus de cinq mille ans. De maître à disciple, ils descendent des rishis, les voyants originels des plus anciennes légendes indiennes, les premiers hommes qui ont eut le désir d’enquêter sur leur propre nature et y ont découvert le lien de l’être et du non-être. Ils furent les ancêtres des philosophes grecs et des gymnosophistes rencontrés par Alexandre le Grand. Bouddha pratiqua de terribles mortifications avec cinq d’entre eux avant de fonder la voie moyenne dite aussi Voie du Milieu.
Les sâdhus marchent sur les routes ou habitent de petits ashrams. Certains pratiquent des ascèses sévères, mais ils sont plus nombreux ceux qui se vouent à l’inaction et y trouvent le contentement, baignent dans une tranquillité enjouée, et désirent ne rien désirer d’autre. Parfois, ils enseignent et conseillent.
Je suis tombé sous le charme de leur spiritualité et de leur mode de vie. Au fil des rencontres que je raconte leur vie quotidienne, le respect qui les entoure et ce qu’il font de ce respect, leur philosophie et leurs parcours.
Sâdhus est un roman en forme de road-movie qui trace un voyage initiatique."


samedi 5 mai 2012

À lundi...

.


Pas de post ce week end pour cause de RVA ( Rendez-vous annuel) en moto !

.

jeudi 3 mai 2012

mercredi 2 mai 2012

La forêt des 29




 J'ai bien aimé ce livre.  J'ai eu un peu de mal à rentrer dans le rythme très lent du début mais c'est une belle histoire vraie. Je vous recommande d'aller sur le site d’Irène Frain  voir ses photos de voyage au pays des Bishnoïs
 


Voici la présentation du livre :

"Inde du Nord, 1485. A la lisière du désert, les rathores, seigneurs des lieux, rivalisent de palais mirifiques. Pour les ériger, ils doivent alimenter les fours à chaux et abattent les arbres par milliers. Or, comme les Vieux l’avaient prédit, une sécheresse effroyable se met à ravager la région. Au cœur de la catastrophe, un humble paysan se dresse : Djambo, jeune homme rejeté par les siens, a rejoint le peuple des pauvres. Dans sa longue errance, il a tout vécu, la faim, les deuils, la route, les mirages destructeurs de l’orgueil et de la richesse, la douleur de l’amour trahi. Mais il a surtout appris à connaître la Nature. Le premier, il comprend que la sécheresse n’est pas une vengeance des dieux, mais celle de la nature maltraitée. Avec quelques hommes et femmes de bon sens, il fonde une communauté qui permet la survie de tous grâce à l’application de 29 principes simples. La vénération des arbres est le pilier de cette communauté, dont les adeptes ont pris le nom de « 29 » en hindi : les Bishnoïs.



La démarche de Djambo frappe les esprits et son efficacité fait école. Dès 1510, l’Inde du Nord compte des centaines de villages de « 29 ». Gestion rationnelle de l’eau, respect des femmes, protection des animaux sauvages, compassion envers tous les vivants, égalité des castes : les principes des Bishnoïs séduisent les hommes les plus divers. Les politiques les respectent et ils vivent en paix. 

Mais en 1730, le maharadjah de Jodhpur est pris à son tour de folie bâtisseuse. Venant à manquer de bois, il expédie son armée dans une forêt qui appartient à une femme Bishnoï, Amrita Devi. « Plutôt mourir ! » déclare-t-elle aux soldats en s’enlaçant à un arbre. Elle est décapitée. Ses filles l’imitent et sont massacrées. D’autres Bishnoïs prennent la suite, eux-mêmes trucidés. Le massacre semble ne jamais devoir finir. Cette immolation n’a rien d’un suicide collectif : c’est l’ultime moyen d’obtenir la victoire. En effet, à la 363e victime, le chef de l’armée renonce. Et le maharadjah, ébranlé, décide de protéger à jamais les « 29 », leurs animaux et leurs forêts.



Sur fond de steppes arides et de palais princiers, c’est cette épopée historique méconnue que ressuscite Irène Frain, après une enquête au Rajasthan sur les pas du célèbre Djambo, puis chez les Bishnoïs eux-mêmes."


.

Only Women Bleed


.

Merci à Bruno pour cette chanson d'Alice Cooper

.

mardi 1 mai 2012

Laurent de Wilde - Over the clouds

.


From Mr K

.

L'Eyrieux en fête


.
Nos amis Alain-René et Cédric toujours aussi enthousiastes,
nous proposent le deuxième Festival de la vallée de l'Eyrieux.



Infos : 06 86 93 06 81 







.