dimanche 28 février 2010

Moto

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Grâce à mon ami Massimo qui s'est chargé du transport et de bien d'autres choses encore, ma Seven Fifty vient de passer 3 semaines de vacances en Belgique à Kortessen. Deux frères artisans passionnés lui ont un peu modifié son look et aussi sa musique. Avant c'était plutôt Mozart, maintenant c'est plutôt Wagner.
Tu la reconnais Michel ?

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Aujourd'hui, journée famille : Mathilde est revenue !!

E
t c'est la fête de Romane !!



samedi 27 février 2010

Que serais-je sans toi ?

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JFL qui a toujours aimé Ferrat
Moi aussi

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Trappeur





Pour les amateurs de grands espaces sous la neige....
Je me suis régalée... Merci Jean-Louis d'avoir offert le livre à Alain !

Un extrait :

"Alors des milliers de voix, ses parents les plantes et les animaux, murmurent à ses oreilles. Le chant des loups s'élève en lui. Tandis qu'une larme roule doucement sur sa joue, il entend pleurer la forêt.

Petit à petit, inéluctablement, Michel a entendu monter son appel. Sans doute les cris des animaux dans ses pièges lui ont-ils ouvert les oreilles et le cœur; leurs derniers râles ont fini par devenir l'écho des bois. sans doute qu'à force de voir défiler tant de vies dans les yeux de ses victimes il a senti chavirer la sienne.Il en est certain, elle pleure, la forêt, noyée sous les eaux des barrages,coupée à blanc dans ses recoins les plus secrets.Sanctuaire profané, elle porte un lourd fardeau de plaintes des animaux devenus des parias; plaintes aussi des rivières détournées de leur lit naturel ou polluées à en faire crever les poissons. Depuis la nuit des temps elle connait le cycle de la vie et de la mort, où tout est violence et sérénité, drame et comédie, et compose avec. Périodiquement, tout meurt, tout renait. Le temps s'étire, infini. Mais maintenant elle enregistre des morts sans résurrection, des pulsations désorientées, des cadences instables, des disparitions spontanées, des croissances irraisonnées. Quand reprendra-t-elle son rythme naturel ? Ou plutôt quand ce nouveau rythme deviendra-t-il à nouveau naturel ? Y aura-t-il un autre commencement primordial, tel celui du premier matin et de la première nuit ?

Michel l'entend et frissonne. La résilience de cette forêt boréale est-elle limitée ? Y aurait-il un point de non retour ?"

P 223-224


vendredi 26 février 2010

Pour ceux qui écoutent encore les infos tous les jours...



"Un arbre qui tombe fait plus de bruit

qu'une forêt qui pousse "

Proverbe




Et pour illustrer, même si le seul point commun c'est l'arbre, voici celui majestueux d'une des places de Fort Cochin en Inde dans le Kérala. En cliquant dessus vous le verrez en grand et vous pourrez remarquer une femme vêtue de vert assise dans ses racines et qui donne une idée de taille imposante de ce Vénérable...




Sans limite

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"Alors que vous marchiez sur la plage les vagues étaient énormes et elles se brisaient en courbes magnifiques et puissantes. Vous marchiez contre le vent, et soudain vous ressentîtes qu’il n’y avait rien entre vous et le ciel, et cette ouverture était le paradis. Etre si complètement ouvert, vulnérable – aux collines, à la mer et à l’homme – est l’essence même de la méditation. N’avoir aucune résistance, aucunes barrières intérieures envers quoi que ce soit, être vraiment libre, complètement, de toutes les envies mineures, avec tous leurs conflits et toute leur hypocrisie, c’est marcher dans la vie les bras ouverts. Et ce soir-là, en marchant là-bas sur ce sable humide, avec les mouettes autour de vous, vous avez ressenti le sens extraordinaire de liberté et d’ouverture ainsi que la grande beauté de l’amour qui n’était pas en vous ou en dehors de vous – mais partout."


All The Marvelous Earth, Brockwood Park, 6 septembre 1980



"As you walked on the beach the waves were enormous and they were breaking with magnificent curve and force. You walked against the wind, and suddenly you felt there was nothing between you and the sky, and this openness was heaven. To be so completely open, vulnerable - to the hills, to the sea, and to man - is the very essence of meditation. To have no resistance, to have no barriers inwardly towards anything, to be really free, completely, from all the minor urges, compulsions, and demands, with all their little conflicts and hypocrisies, is to walk in life with open arms. And that evening, walking there on that wet sand, with the sea gulls around you, you felt the extraordinary sense of open freedom and the great beauty of love which was not in you or outside you - but everywhere. "


All The Marvelous Earth Brockwood Park 3rd Public Talk 6th September 1980


Extrait d'une conversation de Krishnamurti.


Un partage et une traduction d'Olivier


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mercredi 24 février 2010

Ferrat

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JFL

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Femmes qui courent avec les loups







Un grand classique dont je relis des passages régulièrement, et justement hier soir je me suis replongée dedans... Voici ce qu'en dit l'éditeur sur la quatrième de couverture :

"Chaque femme porte en elle une force naturelle riche de dons créateurs, de bons instincts et d'un savoir immémorial. Chaque femme a en elle la Femme Sauvage. Mais la Femme Sauvage, comme la nature sauvage, comme l'animal sauvage, est victime de la civilisation. La société, la culture la traquent, la capturent, la musellent, afin qu'elle entre dans le moule réducteur des rôles qui lui sont assignés et ne puisse entendre la voix généreuse issue de son âme profonde. Pourtant, si éloignées que nous soyons de la Femme Sauvage, notre nature instinctuelle, nous sentons sa présence. Nous la rencontrons dans nos rêves, dans notre psyché. Nous entendons son appel. C'est à nous d'y répondre, de retourner vers elle dont nous avons, au fond de nous, mêmes, tant envie et tant besoin. De par sa double tradition de psychanalyste et de conteuse, Clarissa Pinkola Estés nous aide à entreprendre la démarche grâce à cet ouvrage unique, parcouru par le souffle d'une immense générosité. À travers les "fouilles psycho-archéologiques" des ruines de l'inconscient féminin qu'elle effectue depuis plus de vingt ans, elle nous montre la route en faisant appel aux mythes universels et aux contes de toutes les cultures, de la Vierge Marie à Vénus, de Barbe Bleue à la Petite Marchande d'allumettes. La femme qui récupère sa nature sauvage est comme les loups. Elle court, danse, hurle avec eux. Elle est débordante de vitalité, de créativité, bien dans son corps, vibrante d'âme, donneuse de vie. Il ne tient qu'à nous d'être cette femme-là."


Ce que j'aime dans ce livre c'est qu'il est écrit en stéréo et donc qu'on peut le lire en stéréo : cerveau gauche affuté, le cerveau logique masculin, qui réfléchit en carré et cerveau droit ouvert, le cerveau intuitif féminin, qui capte en spirale. Clarissa Pinkola Estés est une magnifique conteuse qui a hérité des traditions européennes de l'Est par ses origines hongroises et des traditions de l'Amérique du Sud. Elle met en lumière l'essence du féminin par définition cachée, elle communique dans sa façon même d'écrire la force sauvage de ce qui a pour vocation de soutenir et nourrir la Vie sous toutes ses formes.




Rupture


L'eau
chauffe
peu
à
peu

mais
bout
soudainement


Proverbe Zen


mardi 23 février 2010

Au coeur de l'Inde



Histoire de garder encore le contact avec l'Inde, je viens de lire ce livre touchant. Un jeune couple qui choisit comme voyage de noce de traverser l'Inde à pieds du Kerala au Sud jusqu'à l'Himalaya, ce n'est pas courant... Récit de voyage donc écrit par Amandine, la jeune femme. Beaucoup de générosité, d'idéalisme et d'ouverture dans le regard posé sur les indiens. J'ai vraiment reconnu l'atmosphère particulière de ce pays, ce mélange de frénésie et de ferveur, de tendresse et de dureté. Une alchimie qui ne peut pas se comprendre, juste se vivre.



Le dedans

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Question de Jacques Castermane :" Quelle est la différence entre le savoir occidental et la sagesse orientale ?"


Réponse de Maître Suzuki: "Le savoir occidental regarde au dehors, la sagesse orientale regarde en dedans. Mais si vous regardez dedans comme vous regardez dehors, vous faites du dedans....un dehors !"


Wayne à Montpellier

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Cliquez sur la page pour que les informations deviennent parfaitement lisibles...






lundi 22 février 2010

Vigilance



Ma première expérience avec le cheval de fer date de mes 5 ans, sur la Norton 500 monocylindre de mon parrain, j’avais bien du mal pour passer les vitesses.

Plus récemment sur la photo, ronronnant de plaisir retenu avant d’enfourcher une Triumph Legend 900, « trois pattes », fidèle compagne de mes ballades ardennaises.

Habituellement bon piéton, et chauffeur expérimenté en 4 roues, j’ai mis longtemps avant d’oser passer au 2 roues, avec moteur !

Certains titres de livres célèbres sur ce Blog ont sans doute dopé mon désir de me dépasser, dans le genre « l’audace de vivre » ( qui n’a pas été écrit par un motard, mais quelle importance . . . ).

A 48 ans, gonflé à bloc, essayant de masquer une certaine agitation intérieure, j’ai enfin franchi la porte d’un revendeur Yamaha, en expliquant mon niveau ( nul ) et le genre de moto que je recherchais, look sympa et adaptée à un "mal à l’aise" du 2 roues comme je l’étais à l’époque. Quelques semaines après, la Virago 535 était débarquée d’une camionnette, et puis, la débrouille sur des petites routes, la tête qui gonfle dans le casque, l’air cool en croisant des motards, le petit signe de reconnaissance ( tout en m’accrochant à ce sacré guidon qui nom d’un chien ne tourne pas comme le volant de ma Peugeot ! ).

Tout ça c’était en 1997 ( nonante sept, chez nous ) . De plus en plus à l’aise, j’ai souhaité plus de « sensations » et je suis passé à la Yamaha TDM, 2 ans après la Virago ; je me suis retrouvé un peu comme 2 ans auparavant, selle haute pour mon gabarit moyen, tenue élevée etc , pour un habitué, c’est no problem, mais dans mon genre impressionnable, j’ai rapidement dû renoncer.

Le coup de foudre, la lune de miel perpétuelle, la jouissance sans fin m’a été donnée par la rencontre de ma toujours fidèle Triumph classic Legend 900 3 cylindres. Souplesse, couple, ronronnement, prise en main, faite pour un audacieux comme moi, un vrai vélo, et puis le look à l’ancienne, c’est mon genre.

Franchement, je n’avais jamais pu imaginer qu’un jour je l’aurais réalisé ce désir, et j’en suis toujours autant comblé.

La moto, un merveilleux outil de vigilance, de Présence, sinon . . .

Daniel Luks

PS : question permis : en Belgique, jusqu’à une certaine année, le permis voiture incluait le permis moto. ( Je l’ai passé en 1971 ).



dimanche 21 février 2010

samedi 20 février 2010

Grand-père et petit fils




Eh, oui, Jeannette, tu as deviné, c'est Joseph !
Bravo Joseph.
Vélo rouge, moto rouge,
les cœurs d'enfants sont contents !



Deuxième énigme...





Qui est ce jeune garçon audacieux
qui fend la bise sur son vélo tout neuf du Père Noël ??



vendredi 19 février 2010

Amchi sage et médecin




"Un choc affectif brutal et toute une vie peut être remise en question. C'est ce qui amène Gill Marais sur les hauts plateaux du Ladakh, à la recherche d'un homme exceptionnel, dont un producteur de télévision lui a parlé. Ses guérisons, la puissance de son aura, ses pratiques médicales, d'emblée, subjuguent l'auteur. Par brèves séquences descriptives, elle nous captive dans son sillage. Son aventure au cœur de ce pays âpre et isolé, son regard sur ceux que soigne l'amchi - nom que l'on donne aux médecins dans ces confins du Tibet - nous prennent au piège. Nous voilà saisis, comme elle, par les parfums, la qualité cristalline de l'air, la grâce accueillante des gens chez lesquels l'amchi se rend pour les guérir..."


Voici la présentation que fait l'éditeur...Les termes q'il emploie ne rendent pas vraiment la sobriété du récit. Gill Marais se met au service de l'amchi en racontant et décrivant sa pratique, sa manière d'être humble, naturelle, pleine d'humour, de la même manière que lui est au service des autres et de l'art médical traditionnel dont il est un des derniers représentants.


J'ai lu ce livre en Inde, les éditions KailasH ont une antenne à Paris et une à Pondichéry. J'ai vraiment beaucoup aimé la découverte de la médecine tibétaine et le portrait de cet homme étonnant qu'est l'amchi, avec en filigrane la rencontre respectueuse et pleine d'amour d'êtres humains d'horizons très différents .




jeudi 18 février 2010

Chet fall in love !

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Le grand Chet proposé par JFL


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Science et Conscience

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J'ai très très souvent une pensée d'amour et de reconnaissance pour Douglas Harding. Ce si cher et regretté Douglas qui m'a fait l'honneur d'être mon ami. et qui m'a offert en novembre 93 sur un plateau d'argent un cadeau d'une valeur inestimable Voici un petit texte qu'il a écrit pour la revue d'Emile Gillabert, grand spécialiste de Thomas :


La science (ou plutôt la science mal comprise) a fourni en son temps un grand nombre d’absurdités très peu scientifiques. La plus insensée, la plus spécieuse et la plus répandue est sans doute la conception matérialiste de l’esprit – de la conscience, de l’éveil – considérés comme des sous-produits de la matière : une sorte de phosphorescence po radiation subtile que la matière fournirait quand elle devient, comme dans le cerveau humain, suffisamment complexe. Au commencement était la matière et au cours de son évolution elle devint incidemment consciente d’elle-même – disent-ils !

Mais qu’est donc un objet matériel selon les canons de la science ? C’est un ensemble de phénomènes , une suite d’apparences ou d’images que l’homme de science détermine en tournant autour de l’objet, l’étudiant sous divers angles et à diverses distances à l’aide d’instruments divers.

Mais de quoi ces images sont-elles l’image ? Ce qui réside au centre de ce nid d’apparences, il ne l’aperçoit pas, et d’ailleurs ne peut pas l’apercevoir. Aussi proche soit-il, il en demeure trop éloigné, trop étranger.


Il possède pourtant deux indices sur ce qui est à l’intérieur. Le premier est que plus il s’approche de l’objet, plus celui-ci devient vide. Il parvient à des régions où tout ce qui demeure de cette chose apparemment solide est un espace traversé par des nœuds d’énergie.

Le second est que lorsqu’il ose être attentif au point d’où il regarde et inspecte de l’intérieur ce morceau de matière très particulier qui est lui-même, il s’aperçoit qu’il est entièrement vide, une totale non-chose, consciente d’elle-même simplement en tant que cela. Telle est sa vue de lui-même à zéro millimètre, tout au moins s’il est suffisamment honnête et attentif, c’est à dire authentiquement scientifique.


Autrement dit, l’homme de science découvre que, étudié de tout près, le corps disparaît alors que l’esprit demeure. Les corps matériels sont des apparences ou des produits de la consience, et prétendre que la conscience en est un dérivé est absurde. Aussi absurde que de faire dériver le projecteur de cinéma de l’activité des personnages sur l’écran alors qu’il s’agit de l’inverse.

En d’autres termes, il ne peut exister une vue extérieure ou objective de la subjectivité ou de l’esprit : c’est un vécu intérieur qui ne peut être examiné seulement du dedans, en lui-même.

Et, examiné de la sorte, il se révèle être ce qui produit et contient d’innombrables caractéristiques (formes, couleurs, mouvements, sensations, idées, émotions, etc) Quant à celles de ces manifestations périphériques qui donneraient naissance en leur centre à une conscience d’exister en fait, il est impossible de déceler la moindre preuve d’un processus de ce genre. Cette notion n’a simplement aucun sens. Il est strictement impensable que les choses en ta nt que telles, puissent engendrer une conscience des choses.

Mystérieuse, bien sûr, demeure la manière dont ce Vide central peut créer les richesses qui apparaissent et disparaissent en son sein. C’est certainement une merveille qu’une si grande richesse puisse provenir d’une telle pauvreté. Pourtant c’est bien ainsi, c’est bien ainsi.

Mais si l’une de ses créations venait soudainement à se retourner et à créer son Créateur, alors, ce serait une merveille des merveilles.

Douglas Harding 1979 pour le cahier Métanoïa n° 20

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mercredi 17 février 2010

John Taylor

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Jean-François

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Pour Corinne

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Merci Michel, elle en rêve déjà !
(à regarder en plein écran , bien sûr!)
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Bobin encore


Mon père, lui, n'a plus le souci des apparences. Plusieurs fois je l'ai vu se pencher comme un adorant devant des malades particulièrement disgraciés et leur dire : " Vous avez un merveilleux visage, je ne vous oublierai jamais" .


Cette scène à chaque fois me bouleverse comme si l'infirmité pendant un instant n'était plus dans le camp de mon père mais dans le mien!

Christian Bobin La Présence pure

mardi 16 février 2010

Monsieur X..est en fait monsieur Y !

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Vraiment Yves je suis impressionné par ton audace
et ta manière d'aller à fond dans ce que tu entreprends.
Bravo le biker.


lundi 15 février 2010




If I ever leave this world alive

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From l'Olivier

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Présence

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Ceux qui ont
très peu de jours
et ceux
qui sont très vieux
sont dans un autre monde
que le nôtre.
En se liant à nous,
ils nous font
un présent inestimable.

Christian Bobin La présence pure

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dimanche 14 février 2010

A biker is born

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Si vous roulez en Drôme Ardèche vous pourrez désormais croiser ce nouveau motard sur sa magnifique Honda Varadéro. Il a fière allure n'est-ce pas et c'est un grand plaisir pour moi de vous le présenter. Mais l'avez-vous reconnu ? C'est un habitué du iPapy. Qui va deviner son identité ?
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Méditation

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Méditation devant Tahagart la mystérieuse

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Saint-Valentin

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Connue sous l’appellation de la fête des amoureux, de nombreuses histoires existent sur l’avènement de la Saint Valentin. En voici une parmi beaucoup d'autres:

Les origines de la fête de la Saint Valentin sont mal connues. Il semblerait qu’elles remontent à l’Antiquité. La version la plus adaptée à la fête actuelle dit que Saint Valentin, avant d’être saint, était un prêtre romain du nom de Valentin.

Il a vécu sous le règne de l’empereur Claude II (3e siècle après Jésus-Christ). A cette époque, Rome était engagée dans des campagnes militaires sanglantes et impopulaires. Claude II, également surnommé Claude le cruel, ayant des difficultés à recruter des soldats pour rejoindre ses légions, décida d’interdire le mariage. Pensant que la raison pour laquelle les Romains refusaient de combattre était leur attachement à leurs femmes.

Malgré les ordres de l’empereur, Saint Valentin continua de célébrer des mariages. Lorsque Claude II apprit l’existence de ces mariages secrets, il fit emprisonner Valentin. C’est pendant son séjour en prison que Valentin fit la connaissance de la fille de son geôlier, une jeune fille aveugle à qui, dit-on, il redonna la vue. Et lui adressa une lettre avant d’être décapité, signé “ Ton Valentin “.

Sans doute qu'aujourd'hui Saint Valentin est un prétexte à une action commerciale. Mais c'est aussi un jour pour témoigner de notre bonté et de notre amour.

Bonne Saint-Valentin, fidèles du iPapy

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samedi 13 février 2010

Tomasz Stańko Quartet

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J'adore, merci JF

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vendredi 12 février 2010

En action


La bonté en action ça peut donner ça...

Avec toi Daniel !


Bonté

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Puisqu'au début et à la fin de notre vie nous dépendons entièrement de la bonté des autres, comment pourrions-nous négliger la bonté envers les autres au milieu de notre existence ?
Dalaï Lama

jeudi 11 février 2010

Keith Jarrett

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from l'Olivier

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L'équipe indienne



Adrien, le photographe photographié...



Simon, quel enthousiasme !!



Mathilde, cours de conduite de rickshaw avec notre conducteur de Munnar...et elle s'est vraiment bien débrouillée .



Moi, ravie, en train de regarder le chauffeur et le contrôleur du car
changer le pneu qui avait éclaté.


mardi 9 février 2010

Caravane d'avril

Suite à un désistement, une place se libère
pour la caravane du 17 avril au 2 mai...

Deux semaines dans le Hoggar, l'Assekrem en passant par l'oued Tanget, une trentaine de chameaux, Intayent notre guide,l'équipe Touareg et nous.

Nous sommes curieux de voir qui va se joindre à nous ...

Romane Star

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Alison Balsom

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Merci Karim

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Oui

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La réponse est OUI.

Quelle est la question ?


Woody Allen


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L'inde par Adrien : mosaïque

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Le temple de Mahabalipuram.




Vendeur de carottes au bord du lac Mattupetty.




Autel dans un taxi.



Le watchman en pleine sieste...



Le Kerala est le pays de la noix de coco.

Et comme nous disait le guide :
"dans la noix de coco tout est utilisable... "




Le gondolier des backwaters..



Le dieu et le singe.



La tour du temple de Tiru.




lundi 8 février 2010

L'Inde par Adrien : les paysages



Les champs et les rizières du Tamil Nadu.



Mahabalipuram...



Kerala, les backwaters : les lacs



Les backwaters : les canaux.



Les plantations de thé de Munnar.



Le lac Mattupetty près de Munnar. Une retenue artificielle
où les familles viennent faire la balade du dimanche.




Quelqu'un connait-il le nom de cet arbuste ?



Le matin, entre 6h30 et 8h, la lumière du soleil dans les arbres
en sortant de la chambre de la guesthouse
où nous logions au milieu des bois.




Au crépuscule, le silence de la forêt percé par les cris des oiseaux...
C'est la forêt de Tarzan !


Comment mourir ?

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Nous vivons dans un monde que la question de la mort effraie et qui s'en détourne. Des civilisations avant nous, regardaient la mort en face. Elles dessinaient pour la communauté et pour chacun le chemin du passage. Elles donnaient à l'achèvement de la destinée sa richesse et son sens. Jamais peut être le rapport à la mort n'a été aussi pauvre qu'en ces temps de sécheresse spirituelle où les hommes pressés d'exister, paraissent éluder le mystère. Ils ignorent qu'ils tarissent ainsi le goût de vivre d'une source essentielle.

François Mitterand
Préface de "La mort intime"
Marie de Hennezel

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dimanche 7 février 2010

Bonne nuit les petits

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Olivier


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L'Inde par Adrien : les animaux



Les vaches ,bien sûr...



Cohabitation...



Cohabitation, encore...



Lakshmi, l'éléphante qui nous a promenés sur son dos.




Temple de Ganesh à Pondicherry.



Sur un trottoir à Fort Cochin.



Dans les arbres de l'hôtel de Mahabalipuram.



Une échelle de fourmis sur un plan de café...