vendredi 31 décembre 2021
Des voeux de la part d'André / André Sauvé
jeudi 30 décembre 2021
La panthère de neiges / Sylvain Tesson
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Un extrait du livre de Sylvain Tesson paru chez Gallimard en 2019.
Depuis un autre édition du texte est disponible, illustrée par des photos de Vincent Munier. J'ai posté la bande annonce du film réalisé par Marie Amiguet et Munier sur le voyage au Tibet avec Tesson et depuis, je suis allée le voir . Ce film est une merveille. Une heure et demi de simplicité, de beauté, d'humanité. Un moment de grâce où communient la splendeur du sauvage, l'oeil et le coeur émerveillés du photographe et de la cinéaste, la justesse et la poésie du texte de Tesson, la musique superbe de Warren Ellis et Nick Cave, le silence des hauts plateaux et la Présence incroyable des bêtes.
Un très beau cadeau à se faire pour les fêtes.
" " J'ai beaucoup circulé, j'ai été regardé et je n'en savais rien": c'était mon nouveau psaume et je le marmonnais à la mode tibétaine, en bourdonnant. Il résumait ma vie. Désormais, je saurais que nous déambulions parmi des yeux ouverts dans des visages invisibles. Je m'acquittais de mon ancienne indifférence par le double exercice de l'attention et de la patience. Appelons cela l'amour."
P 48
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mercredi 29 décembre 2021
mardi 28 décembre 2021
lundi 27 décembre 2021
La citation du lundi
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" Ce dont la plupart d'entre nous avons besoin, sans doute plus que de toute autre chose, c'est du courage et de l'humilité nécessaires pour demander vraiment de l'aide, du fond du coeur : demander la compassion des êtres éveillés, demander la purification et la guérison, demander la capacité de comprendre le sens de notre souffrance et de la transformer; demander à un niveau relatif, que croissent dans notre vie clarté, paix et discernement, et demander la réalisation de la nature absolue de l'esprit qui provient de l'union de notre esprit à l'esprit de sagesse immortel du maître."
Le livre tibétain de la Vie et de la Mort
Sogyal Rinpoché
Edition de poche p 274
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dimanche 26 décembre 2021
samedi 25 décembre 2021
JOYEUX NOËL
jeudi 23 décembre 2021
Stockholm : « Un mur de la gentillesse » pour aider les gens dans le besoin
mercredi 22 décembre 2021
Zanskar, les promesses de l’hiver
mardi 21 décembre 2021
lundi 20 décembre 2021
La citation du lundi
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La réalisation de l'Être a lieu lorsque vous cessez de réaliser tout ce qui n'est pas vous-même, lorsque toute votre attention est centrée sur elle-même. Maintenant l'attention est tournée vers l'extérieur, il vous faut la tourner vers elle-même. C'est cela la sadhana.
Chandra Swami Udasin
Le chant du silence I
Ed du Relié p 223
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dimanche 19 décembre 2021
samedi 18 décembre 2021
vendredi 17 décembre 2021
jeudi 16 décembre 2021
Cher Monsieur Germain... / Albert Camus
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Voici la lettre qu'Albert Camus envoya à son instituteur lorsqu'il reçut le prix Nobel de littérature.
Une merveille !
Merci encore à Michel C pour me l'avoir fait découvrir.
le 19 novembre 1957
Cher Monsieur Germain,
J'ai laissé s'éteindre un peu le bruit qui m'a entouré tous ces jours-ci avant de venir vous parler de tout mon coeur. On vient de me faire un bien trop grand honneur, que je n'ai ni cherché ni sollicité. Mais quand j'en ai appris la nouvelle, ma première pensée, après ma mère, a été pour vous. Sans vous, sans cette main affectueuse que vous avez tendue au petit enfant pauvre que j'étais, sans votre enseignement et votre exemple, rien de tout cela ne serait arrivé. Je ne me fais pas un monde de cette sorte d'honneur. Mais celui-là est du moins une occasion pour vous dire ce que vous avez été, et êtes toujours pour moi, et pour vous assurer que vos efforts, votre travail et le coeur généreux que vous y mettiez sont toujours vivants chez un de vos petits écoliers qui, malgré l'âge, n'a cessé d'être votre reconnaissant élève.
Je vous embrasse de toutes mes forces.
Albert Camus
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mercredi 15 décembre 2021
14 x 8000
Désolée, je n'ai pas trouvé la bande annonce en français, mais le film qui est visible sur Netflix peut être regardé en VO sous-titrée.Nirmal Purja a intitulé son projet Possible Project -je ne crois pas qu'une traduction soit nécessaire - justement parce que tout le monde l'aurait pensé impossible ce projet : enchaîner en 7 mois l'ascension des 14 sommets de plus de 8000m au Népal, au Pakistan puis en Chine.Un exploit extraordinaire. Le film est parfois un peu grandiloquent, assez technique aussi mais il a le mérite d'exister. On sent qu'il effleure sans pouvoir la nommer , peut-être parce qu'elle est indéfinissable, la motivation profonde de Nims et de son équipe. Au delà de l'exploit personnel, au delà de l'amour d'un fils pour sa mère, au delà du désir de mettre enfin à l'honneur les népalais, les sherpas, qui d'habitude sont dans l'ombre des grands alpinistes occidentaux...
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mardi 14 décembre 2021
Quick Cure for Anger ( soin minute contre la colère)/ Jetsunma Tenzin Palmo
"Si nous sommes agités ou frustrés, prenons quelques respirations profondes et revenons juste au moment présent. Normalement, dans le moment présent, il n'y a pas grand chose qui soit en train de se produire. Toute l'agitation est dans notre mental, et en fait, pas tant que ça dans les circonstances extérieures, si seulement nous nous calmons et que nous voyons ce qui se passe. Je veux dire que la plupart de nos problèmes viennent simplement du fait que nous sommes emportés, balayés par nos pensées et nos émotions et que nous en perdons le contrôle."
lundi 13 décembre 2021
La citation du lundi
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" Soyez installés dans une attitude d'ouverture, dîtes oui, dîtes oui à tout, même à ce que vous n'aimez pas, même à ce qui ne vous intéresse pas. Dîtes oui à tout ce qui existe dans ce monde si vous voulez retrouver l'Infini."
Arnaud Desjardins
Pour une mort sans peur
Ed Pocket p220
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dimanche 12 décembre 2021
samedi 11 décembre 2021
Aatini Al Naya Wa Ghanni/ Fatma Said
vendredi 10 décembre 2021
jeudi 9 décembre 2021
Retour au désert (2/2)
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C'est une vie rude pour nos amis tunisiens qui sont occupés du matin au soir. Charger, décharger, marcher, s'activer pour le repas, s'occuper des bêtes. Excepté le soir, ils n'ont aucun moment de repos.
Rude aussi pour nous car il fait froid dès la tombée du jour, un peu avant six heures. Novembre marque l'arrivée de l'hiver ici aussi et si les journées sont agréables, la température chute vite le soir. La nuit, nous sommes protégées dans nos duvets mais en sortir le matin est une petite épreuve. Le feu ne sert pas seulement à cuire la soupe ou le couscous mais à nous réchauffer. Nous aidons comme nous pouvons à charger les chameaux. Tenir une caisse, passer une corde, poser nos affaires devant le bon chameau. Car chacune des bêtes a son chargement, toujours le même, savamment équilibré. L'eau par exemple est toujours puisée symétriquement dans les deux grands jerricans. Le matin, avant le départ de la caravane, je brûle nos déchets. Un petit travail dans mes possibilités qui me fait retrouver les gestes anciens du feu et donne la satisfaction de la place nette. La marche est lente. Presque cinq heures par jours est assez inhabituel pour nous et nous avons le bonheur de constater que le corps suit. Avec des douleurs de dos, d'articulations qui se calment au repos. Il grince mais il suit. Je sens que malgré l'effort, peut-être à cause de l'effort, il est reconnaissant pour une activité pour laquelle, fondamentalement, il est fait.
Les sensations sont fortes, contrastées, leur changement très brusque. Si je ferme les yeux, elles sont encore là.
Le jour, la caresse froide du sable fin sous les pieds, le crissement légèrement salé du même sable dans la bouche, le picotement des yeux, le bruit incessant du vent, la chatouille insistante des mouches qui tapissent nos dos et viennent régulièrement se poser sur nos visages, l'odeur forte des chameaux, l'opposition marquée de la chaleur du soleil et de la fraîcheur de l'ombre, l'éblouissement de la lumière.
La nuit, près du feu, le visage brûlant et le dos glacé, et par bouffées, l'odeur âcre et piquante de la fumée, le noir béant tout autour, la musique des voix d'Ahmed et El Gacem qui discutent par intermittence dans une langue familière et inconnue, plus tard, la chaleur douce du duvet et les muscles qui se détendent alors que le nez qui émerge du châle entouré sur la tête est froid et que de la buée sort de la bouche.
Qu'est-ce qui fait alors que l'on quitte le confort de nos maisons bien chauffées, les couleurs flamboyantes de nos forêts d'automne, la sécurité de notre quotidien où la météo est annoncée à l'avance, nos agendas variés, les liens tissées avec ceux que nous aimons, l'abondance matérielle et humaine de nos vies protégées pour aller dans le désert ?
L'Infini. L'infini du ciel, de l'espace, qui nous rappelle le nôtre. Ce sentiment de vastitude et de liberté fondamentale que nous renvoient les courbes des dunes jusqu'à l'horizon et à 360 degrés. Le silence profond, dense, immense de la nuit qui rend les rares insomnies délicieuses et me nourrit autant que le pain. La beauté de la terre, la splendeur de la voie lactée. La netteté, la clarté stupéfiante des étoiles qui semblent s'être approchées pour nous parler à l'oreille de l'infini inconnaissable de l'univers. La solitude, l'absence progressive à ce qui fait nos préoccupations ordinaires, ce vide de plénitude qui, retrouvé, me fait venir les larmes aux yeux. De gratitude, de bonheur, sans raison. C'est une nourriture essentielle dont parfois nous ne savons plus à quel point elle nous manque dans la pléthore de nos existences privilégiées. Tous les lieux vastes et vides, le désert, la mer, la montagne, jouent le même rôle. Sans cesse nous rappeler que le Rien, l'Ouvert, le Sans limite est notre nature fondamentale.
mercredi 8 décembre 2021
Retour au désert (1/2)
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( Toutes les photos sont de Véronique Fabart. Vous pouvez cliquer dessus pour les agrandir)
C'était prévu pour l'automne 2020 mais la Tunisie était fermée. Le 7 novembre dernier, j'ai enfin rejoint à Djerba, Véronique, ma compagne de voyage du Ladakh et du Maroc.
Le lendemain, quatre heures de route en direction de Sabria aux portes du désert avec Fdhil, le créateur de l'agence. Une petite heure de 4x4 et nous retrouvons la caravane : Ahmed le guide et cuisinier, El Gacem, chamelier et roi du pain du désert. Ils nous attendent avec leurs cinq chameaux qui porteront l'eau, la cuisine, les provisions, nos sacs et une tente pour nous. Une poignée de main, un regard direct, un sourire, une salade de riz partagée, simple et délicieuse, et l'alliance est scellée. Nous nous sentons dès le début en sécurité avec ces deux hommes du désert. Ahmed est une force de la nature, carré, solide, stable, endurant. Il a l'âge de l'expérience, parle un peu français mais l'essentiel de la communication ne passe pas par les mots mais par l'action, le sourire, les mimiques. Avec lui, je retrouve la manière de communiquer des enfants car il est facilement joueur. Et ses attentions d'une grande délicatesse nous vont droit au coeur. El Gacem est plus en retrait. Il parle peu mais observe et semble tout comprendre. Les deux forment une équipe tranquille et efficace.
Pendant dix jours, nous allons marcher, trois heures le matin et une heure et demi à deux heures l'après midi, dans un paysage à l'infini qui fait alterner cordons dunaires et plaines où pousse une végétation rare - des genêts et d'autres plantes dont je ne connais pas le nom - mais presque suffisante pour nourrir les chameaux qui ont en plus une ration d'orge le soir. C'est le début du grand erg oriental, pas de dunes spectaculaires, simplement des courbes harmonieuses de sable jusqu'à l'horizon quelle que soit la direction vers laquelle vous vous tourniez.
C'est une vie très simple : le petit déjeuner autour du feu, la marche du matin avec à la pause, une orange, le repas de midi à l'ombre d'un genêt, une courte sieste, la marche de l'après midi coupée par la prière de nos amis musulmans et les ombres des humains et des chameaux qui s'étirent indiquant qu'il est temps de trouver un endroit pour la nuit. La toilette du soir est vite faite et l'on retrouve Ahmed et El Gacem autour du feu pour un repas chaud bienvenu. Véronique qui a une montre constate que nous nous couchons tous les soirs vers huit heures, fourbues, heureuses d'être au chaud. Naturellement, la conversation se dépouille. Au bout de quelques jours, nous parlons peu, essentiellement de ce qui se passe maintenant. Nous rions souvent. L'émerveillement devant la beauté du ciel, des dunes, des végétaux opiniâtres, la justesse des chameaux dans le paysage, l'attitude tranquille et joyeuse de nos guides tient une grande place dans nos échanges.
C'est une vie monotone. Tous les jours se ressemblent, la seule variable étant le temps qu'il fait, plus ou moins chaud, plus ou moins de vent, un ciel d'un bleu profond ou chargé de nuages, de la pluie, une nuit. La nourriture est la même, le pain chaud trempé dans l'huile d'olive et la confiture de figue le matin, la salade de midi, la soupe et le plat chaud du soir avec quelques variantes. La monotonie est un aspect essentiel du désert. Monotonie de l'emploi du temps et du paysage qui à l'infini répète des vagues lisses ou sculptées par le vent que la lumière du soleil nuance d'un blanc satiné à un autre légèrement orangé. Les plantes sont les mêmes, deux ou trois sortes tout au plus. Cette monotonie donne un rythme lent, paisible. J'admire l'équanimité de nos deux chameliers, le calme de leurs mouvements lents, toujours les mêmes. Bâter, debater les chameaux trois fois par jour, les entraver avec une une corde entortillée chaque fois avec les mêmes gestes autour de leurs pattes avant.
Quand El Gacem, deux fois par jour s'installe pour faire le pain, c'est un vrai rituel. Il part de son pas tranquille rassembler le bois pour faire le feu, pétrit la pâte longuement, installe la galette au milieu des braises écartées avec un bâton puis la recouvre d'autres braises mêlées de sable. Lorsqu'il sort le pain rond comme un soleil, il l'époussette de la main, racle au couteau les endroits où la croute est brûlée, le tape des deux côtés avec un torchon pour faire tomber le sable et enfin, le tenant debout par le haut de la main gauche le fend en deux de la droite. Il le rompt ensuite en gros morceaux qu'il enroule dans deux torchons, un pour Ahmed et lui, un pour Véronique et moi.
Savoir que le lendemain sera pareil est une détente, une bénédiction. Et, paradoxe de surface, le "Inch'allah" que nos guides emploient dès qu'ils parlent du futur rappelle que rien n'est certain et que ce n'est pas nous qui décidons...
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mardi 7 décembre 2021
Jetsunma Tenzin Palmo: le souffle
lundi 6 décembre 2021
La citation du lundi
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" On ne se marie pas parce qu'on aime,
on se marie pour apprendre à aimer"
Impossible de me souvenir où j'ai lu cette traduction d'un dicton indien...
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dimanche 5 décembre 2021
samedi 4 décembre 2021
jeudi 2 décembre 2021
Carnets d'un moine errant / Matthieu Ricard
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Un extrait... D'un livre à s'offrir ou à offrir pour Noël...?
" La vision pure n'est pourtant pas une échappatoire vers une perception angélique de l'être humain. Elle n'ignore pas la souffrance des victimes et ne minimise pas la gravité des crimes. Mais elle va nécessairement de pair avec une bienveillance inconditionnelle. Il est nécessaire de prévenir les abus en tout genre, notamment en facilitant la possibilité pour les victimes de se confier, sans crainte ni honte, à ceux qui pourraient les libérer de leur oppression, dans des structures d'accueil où elles sont reçues chaleureusement et écoutées. Les écoles devraient également inclure dans leur curriculum une sensibilisation aux signes précurseurs des abus et encourager les enfants à les signaler sans hésitation dés qu'ils se manifestent.
La vision pure face à la cruauté consiste à garder toujours présent à l'esprit le potentiel de transformation qui est en chacun de nous et à ne pas tomber dans le "syndrome du mauvais monde". Aussi douloureuses puissent être les tragédies qu'elles ont vécues, les victimes ont la possibilité de renaître de leurs cendres et de s'épanouir dans l'existence. Aussi abominables les comportements des criminels soient-ils, ceux-ci ont le potentiel de devenir meilleurs, ce qui est souhaitable pour l'ensemble de la société."
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mercredi 1 décembre 2021
À la Racine, pas d'écologie extérieure sans écologie intérieure
mardi 30 novembre 2021
Et pendant ce temps à Dongyu Gatsal Ling...
lundi 29 novembre 2021
La citation du lundi
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Regarde cette photo,
puis regarde ton esprit,
regarde celui qui regarde.
Si tu vois cela, tu es le vainqueur.
Dudjom Rinpoche (1904-1987)
texte écrit par Dudjom sur une photo de lui.
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dimanche 28 novembre 2021
samedi 27 novembre 2021
vendredi 26 novembre 2021
jeudi 25 novembre 2021
Bataclan : les pères d'un terroriste et d'une victime racontent
mercredi 24 novembre 2021
La panthère des neiges / Marie Amiguet et Vincent Munier
mardi 23 novembre 2021
Suggestion du jour
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Dans la rue, au supermarché, à votre travail, aujourd'hui, juste pendant une minute, regardez votre voisin comme si vous étiez Saint François d'Assise ou Ma Ananda Mayi...
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lundi 22 novembre 2021
La citation du lundi
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Le samsara c'est l'esprit tourné vers l'extérieur dans ses projections ; la nirvana c'est l'esprit tourné vers l'intérieur reconnaissant sa propre nature.
Tulku Urgyen Rinpoché ( 1920-1996)
The healing power of meditation Shambhala 2013
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dimanche 21 novembre 2021
samedi 20 novembre 2021
mercredi 17 novembre 2021
Les 3 pôles / exposition de Vincent Munier
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Au domaine de Longchamp
Fondation Good Planet au coeur du Bois de Boulogne
Pour en savoir plus, c'est ici
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lundi 15 novembre 2021
dimanche 14 novembre 2021
samedi 13 novembre 2021
vendredi 12 novembre 2021
jeudi 11 novembre 2021
Matthieu Ricard / présentation de son livre : Carnets d'un moins errant
mercredi 10 novembre 2021
Bonté ordinaire
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À la pharmacie, la semaine dernière, j'assiste à cette scène:
"La pharmacienne prend, probablement sur Doctolib, un rendez-vous pour un monsieur âgé et qui n'arrive pas à parler. Le dialogue est cocasse et pour arriver à comprendre la date qui lui convient, la pharmacienne met tout son coeur. Enfin, c'est fait ! Le rendez-vous est pris pour le 3 décembre. Le vieux monsieur a opiné du chef et son épouse jusque là silencieuse dit d'une petite voix : " Et moi, j'entends pas...
La pharmacienne se penche alors vers eux deux et avec beaucoup de douceur :
- Oui, je comprends, c'est difficile pour vous. Mais voyez, il ne faut pas se décourager, on y est arrivé !"
Quelle merveille !
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mardi 9 novembre 2021
lundi 8 novembre 2021
La citation du lundi
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La voie vers Dieu comporte toujours une inversion : de l'extériorité il faut passer à l'intériorité, de la multiplicité à l'unité, de la dispersion à la concentration, de l'égoïsme au détachement, de la passion à la sérénité.
Frithjof Schuon
L'ésotérisme comme principe et comme voie
Dervy 2012
in Retour à soi, retour au Soi de José Le Roy
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dimanche 7 novembre 2021
samedi 6 novembre 2021
jeudi 4 novembre 2021
mercredi 3 novembre 2021
Pour une existence consciente, lettres à ses élèves / Arnaud Desjardins
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Une grande reconnaissance à Véronique Desjardins qui avec l'aide de Geoffroy d'Astier a réuni ces lettres. Comme dans "En communion avec vous", le premier ouvrage contenant des lettres d'Arnaud à ses élèves nous voyons l'enseignement "en action", la précision, l'intelligence du coeur du maître et son immense compassion.
À lire d'urgence...
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mardi 2 novembre 2021
lundi 1 novembre 2021
La citation du lundi
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Quels que soient les nuages qui traversent aujourd'hui le ciel de l'émotion mentale, n'en retenez aucun. Laissez-les passer librement au dessus de votre tête. Si cela vous paraît une prouesse surhumaine, sachez que ce n'est certes pas le cas, à une condition toutefois : que vous les confiiez un à un à la Puissance supérieure pour qu'elle en prenne soin à son gré.
Paul Brunton
Méditations pour les temps difficiles
p 46
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dimanche 31 octobre 2021
Adagietto de la symphonie n°5 / Gustav Mahler / transcription pour piano Alexandre Tharaud
samedi 30 octobre 2021
jeudi 28 octobre 2021
mercredi 27 octobre 2021
À Islande / Ian Manook
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Un roman inspiré de faits réels...
Loin de la légende, la réalité des pêcheurs venus de Paimpol pêcher la morue au large de l'Islande.
C'est écrit précis, humain, cru. On sent la mer sauvage, les hommes courageux et soumis, les armateurs et le système de pêche qui les soutient, avides. Et puis il y a les paysages rudes et infinis de l'île. Et quelques humains de bonne volonté qui vont vivre un peu, aller au delà de leurs préjugés, connaître l'amour et l'amitié...
J'ai lu d'un trait. Et le coeur à la fin est ouvert !
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mardi 26 octobre 2021
lundi 25 octobre 2021
La citation du lundi
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"L'âme a deux yeux : l'un regarde le temps et l'autre se tourne vers l'éternité."
Angelus Silesius
Le pèlerin chérubinique
cité in Retour à soi, retour au Soi , José Le Roy p 125
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dimanche 24 octobre 2021
samedi 23 octobre 2021
vendredi 22 octobre 2021
jeudi 21 octobre 2021
mercredi 20 octobre 2021
Retour à soi, retour au Soi / José Le Roy
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"Le livre que j'aurais aimé écrire...Sur le thème du dénominateur commun à toutes les voies spirituelles. En réalité sur le coeur du coeur de toutes les voies. Vous l'avez compris, c'est un livre essentiel.
Merci José."
Alain
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mardi 19 octobre 2021
lundi 18 octobre 2021
La citation du lundi
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" L'ego ne peut pas apprendre à être autre chose qu'égoïste, même s'il use des méthodes les plus subtiles pour feindre le contraire. Par conséquent, ce qu'il faut dissiper avant tout, par l'expérimentation et l'expérience, c'est l'illusion d'être un ego, un moi séparé."
Allan Watts
Le livre de la sagesse
Ed Denoël 1966 p 24
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