samedi 31 janvier 2009

vendredi 30 janvier 2009

Anouar Brahem - Raf Raf -

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J'adore JFL, merci
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C'est lundi ;-))

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Ben voilà, depuis le temps que je vous bassine avec mes cours de moto, ça devait arriver : lundi je passe l'examen dit du plateau. C'est le plus difficile, après il y aura l'examen en "circulation" qui est réputée plus facile. Bon, inutile de dire que si lundi de 13h30 à 14h30 vous avait une pensée pour le iPapy ça ne sera pas de trop. Merci les amis
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jeudi 29 janvier 2009

Le chien, le chat et le rat

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Merci Christian, c'est mignon
Qu'on penses-tu Joseph?
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Francis Cabrel - Les Cardinaux en costume

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Merci Monique, Ah! Francis...
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Prendre soin du Monde

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Je suis heureux de vous annoncer la sortie pour le 5 février
du livre de mon ami Emmanuel Desjardins:

PRENDRE SOIN DU MONDE
Survivre à l'effondrement de nos illusions
Editions Alphée - Jean-Paul Bertrand

C'est un livre fort, lucide, un de ces livres qui vous réveille. Et le moins que l'on puisse dire c'est qu'il est très exactement d'actualité. Prendre soin du Monde, quel beau programme, un programme audacieux, de respect, d'humilité, de bienveillance et d'amour. Merci Emmanuel.

L'effondrement d'une illusion collective est toujours un choc pour une société, mais ce choc peut être salutaire s'il permet de reconstruire sur des fondations solides. L'illusion dont nous émergeons, c'est celle du «paradis sur terre». Qui peut croire encore à un monde sans guerres, sans misère, sans catastrophes naturelles ? Le tragique nous saute aux yeux, et nous ne savons plus lui donner de sens autrement qu'en promettant indéfiniment sa disparition.

Les idéologies qui ont marqué le XXe siècle ont toutes abouti à des im­passes. Si nous ne voulons pas nous mobiliser pour une illusion sup­plémentaire, il nous faut intégrer le caractère tragique de l'existence et l'incertitude de l'avenir. Dans quel type de société voulons-nous vivre ? À quelle valeur donner la priorité : l'avoir ou l'être ? Le court terme ou le long terme ? Quelle place donner à la souffrance ? Autant de questions auxquelles il faut trouver des réponses neuves qui dé­passent les clivages habituels, progrès/réaction, libéralisme/socialisme, gauche/droite.

Prendre soin du monde s'oppose à «se battre pour un monde meilleur» qui évoque un climat de certitudes idéologiques, de combat du Bien contre le Mal, et de foi naïve dans un avenir radieux. Cet ouvrage nous invite à tenir compte de la complexité du réel, de la fragilité de la civilisation et de la nécessité de laisser la planète en bon état à nos enfants.

Outre ses recherches en sciences politiques et en socio­logie, Emmanuel Desjardins apporte sa collaboration au centre spirituel fondé par Arnaud Desjardins, où il accompagne des personnes de tous horizons dans leur recherche personnelle. Il est coauteur d'un ouvrage d'entretien avec Arnaud Desjardins, Spiritualité, de quoi s'agit-il ?, aux éditions de la Table Ronde.

Extrait de l'introduction :

Le réel est tragique mais la joie est possible.

Que ressentez-vous à la lecture de cette phrase ?
Une évidence ou un malaise ?
Vous paraît-elle pessimiste ou optimiste ?
Réactionnaire ou progressiste ?
De droite ou de gauche ?
Désespérée ou naïve ?

Dans les années soixante, il aurait été impensable d'affirmer que le réel était tragique. Le climat général de toute-puissance qui imprégnait cette époque portait plutôt à croire que le réel est ce qu'on en fait. Et pourtant...

Le monde moderne, depuis la Révolution, a été animé par le projet grandiose de faire disparaître la souffrance de la surface de la terre, et de créer une société idéale de laquelle le tragique sous toutes ses formes aurait disparu. L'avènement du paradis sur terre est la promesse, plus ou moins énoncée, qui a fondé notre société et lui a donné un élan créateur incroyable - du moins tant que la promesse demeurait crédible. Or le tragique perdure, il est bel et bien là. La promesse d'un monde parfait a généré beaucoup d'illusions qui toutes s'effondrent sous nos yeux, les unes après les autres.

Qui croit encore à la perspective d'un monde duquel la guerre, la violence, la mort, la haine, l'irrationnel, l'injustice, la maladie, les tragédies collectives, les catastrophes naturelles auraient disparu ? Que devient alors le monde moderne, dont toute l'énergie est consacrée à la réalisation de cette utopie ? Quel est le sens de cette société ? Son projet, sa destination ?

En ce début de XXIe siècle, non seulement la terre n'est pas un paradis, mais l'avenir est tellement lourd de menaces qu'il semble nous condamner soit à l'aveuglement, soit à l'abattement. L'optique de ce livre est d'échapper à l'un comme à l'autre, de trouver dans la lucidité une source d'énergie et de satisfaction.

mercredi 28 janvier 2009

Barack Obama

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Son nom est déjà gravé dans le marbre de l'Histoire. Premier Afro-Américain élu à la présidence des Etats-Unis, Barack Obama intrigue et fascine. Qui se cache derrière ce phénomène politique? Des terres rouges de Nairobi aux paysages ensoleillés de Djakarta, des ghettos de Chicago aux bancs de l'université Columbia, Barack Obama a poursuivi le même rêve: donner au monde les couleurs du métissage. Super livre, étonnant de vie, de spontanéité, de fraicheur,un sacré bonhomme, à lire.
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Norma Winstone - Distance

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Merci Monique, superbe..
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Touche pas à ma prostate

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Vous êtes un homme, vous avez plus de 50 ans,
regardez cette vidéo
c'est un peu long mais ça vaut la peine.
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Les autres

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Martin Luther King

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" Toutes les formes de vie sont reliées.

Nous faisons tous partie d'un réseau
interdépendant auquel nous n'échappons pas.
Nous sommes tissé dans le même vêtement
d'une destinée commune. Tout ce qui touche
l'un de nous directement,
touche indirectement tous les autres."

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mardi 27 janvier 2009

Albert Jacquard

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" Cette planète est bien petite, nous pouvons y tenir à 5 ou 10 milliards, mais nous y serons nécessairement solidaires, non pas au sens d'une solidarité choisie comme une vertue, mais une solidarité perçue comme une réalité imposée : chacun est concerné par les actes de tous. Nous sommes, que nous le voulions ou non, 5 milliards de prochains**"

Albert Jacquard, 1987

** aujourd'hui nous sommes 6, 8 milliards !
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Charlie Winston - Like a Hobo

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Ma grande fille à la programmation,
merci Julie
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"Elena Ledda" - Sa Lughe

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Encore Elena, superbe, merci JFL
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Le but de la vie spirituelle (2)

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ACCUEIL*, c’est le mot magique qui détient tous les pouvoirs du monde mais aussi qui symbolise toutes les exigences de la Voie.

Car l’Accueil, le véritable Accueil, celui de la non-dualité, de la non-symétrie , de la communion, présuppose un effacement, et cet effacement, c’est le nôtre en tous cas celui de notre petit moi.

Ce n’est pas in fine la « chose humaine » fort aimable et intéressante à laquelle nous nous sommes identifiés qui accueille. Comment le symbole même de la fermeture et de la limitation pourrait il être accueil?

L’accueil est l’expression de notre véritable nature, c’est la conscience qui accueille, si vous me permettez, je dirais que c’est Dieu qui accueille pour peu que nous lui laissions la place.

Et voilà que les ennuis commencent, comment laisser la place à Dieu pour qu’il fasse ce que moi je ne peux faire, comment puis-je m’effacer, comment puis-je disparaître si tant est que je le veuille vraiment pour laisser l’Accueil Divin s’établir.

Et bien, comme pour la première fois de votre vie, avec un regard neuf, regardons-nous, observons-nous et découvrons que là où nous pensions être en tant que moi, il n’y a rien, rien du tout, rien qui gène, qui coince, qui bloque, qui repousse, qui exclut, qui confronte, qui rejette.

Rien, une absence. Mais quelle sacrée absence, c’est l’Absence –présence de l’Un qui est Accueil. C’est l’Absence consciente d’elle même en tant qu’absence que vous êtes, que vous avez toujours été.

Il nous a suffit d’un peu d’audace pour remettre en cause notre point de vue sur nous même. Réfléchissons un peu, c’est proprement incroyable de penser que la quasi totalité des êtres humains vivent et meurent sur cette planète sans réaliser qu’ils ne se sont jamais observés à partir de là où ils sont mais à partir d’un lieu d’observation totalement imaginaire et bien sûr extérieur. Comme si ils se regardaient à travers les yeux des autres.

Pas étonnant qu’ils se voient comme les autres les voient, enfermés dans un petit sac de peau. En psychiatrie, cela porte un nom, cela s’appelle : hallucination collective. Osons changer de point de vue sur nous-même, osons enfin nous observer à partir de là où nous sommes et nous allons faire des découvertes qui pourraient bien changer le cours de notre vie et c’est ça le but de la vie spirituelle.

Etre indépendant d’abord dans la simple action qui consiste à s’observer. Soyons notre propre autorité, personne d’autre ne pourra jamais nous observer à zéro centimètre. Basons vous sur notre propre expérimentation ici et maintenant.

* vous pouvez évidemment remplacer "Accueil" par "Amour"
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lundi 26 janvier 2009

Elena Ledda

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Une trouvaille de Jean-François
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Douglas

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Le but de la vie spirituelle (1)

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J'ai retrouvé un texte que j'ai écrit il y a quelques années, voici la première partie, je n'ai pas changé une virgule, même si aujourd'hui'hui je traiterais le sujet un peu différemment :

Le but de la vie spirituelle est en fait très simple. Il s’agit de se libérer d’une croyance qui est à l’origine de tous nos conflits, insatisfactions et souffrances, croyance que nous ne remettons jamais en cause et selon laquelle nous sommes ce que nous paraissons être, c’est à dire un être limité, séparé, fermé et pour le moins fragile.

Le but de la vie spirituelle est de découvrir, de réaliser, de Voir, de se rendre compte que cette croyance si rarement mise en cause est une mystification, un scandale, un intoxication soigneusement entretenue et qu’en réalité Ce que nous sommes vraiment n’est pas une chose, mais l’espace infini et lumineux dans lequel les choses apparaissent et disparaissent, peut importe le nom donné à cet espace, car s’il est vrai que le mot n’est pas la chose, il ne risque pas d’être l’absence de choses évidemment.

Le but de la vie spirituelle, c’est de découvrir qu’au lieu d’être chosifié, rabougri, enfermé, isolé nous sommes bien au contraire construit ouvert, grand ouvert pour accueillir et aimer le monde.

Quel bouleversement total, Quelle promesse incroyable qui nous est faite depuis deux ou trois mille ans, et pourtant, si c’était vrai ?
Pour atteindre ce but, qui est donc un réveil, un déconditionnement, une déprogrammation, une désidentification l’homme a mis au point au fil des siècles de nombreuses méthodes. Ces méthodes se sont appelées religion, voie spirituelle, ascèse et elles sont en général totalement imbriquées dans leur contexte historique, culturel et social.

Dieu merci ( c’est vraiment le moment de le dire !) Dieu merci donc, toutes ces méthodes une fois dépouillées de leurs ornements historico-culturel, présentent un dénominateur commun, un noyau dur identique , on peut dire une base immuable et éternelle c’est à dire valable en tous lieux et en tous temps.

Quel est-il ce fameux dénominateur commun ?

Existe-il un mot ou un geste, un seul, qui résume toutes ces méthodes souvent si compliquées ?
Oui, il existe ce mot, c’est sans doute un des plus beaux qui soient, comme une porte qui s’ouvre grand sur des promesses de tranquillité et d’Amour.

Ce mot c’est « ACCUEIL »

Essayez, dites le à haute voix, encore une fois, et observez, vos bras sont déjà presque ouverts et votre cœur est prêt pour l’Autre quel qu’il soit, être humain, sensation , pensée, émotion.

(à suivre)

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dimanche 25 janvier 2009

Tété - Redemption Song

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From mister K.
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samedi 24 janvier 2009

Volt, star malgré lui

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Oui Joseph ça va être génial, vive Volt
J'aimerais bien le voir avec toi, bisous
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Alerte rouge

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Tenez-bon les "petits loups" et soyez prudents.
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Antony And The Johnsons "Fistful Of Love"

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Merci Martine B. Gros bisous
et bonne fin de semaine à toutes et à tous.
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Qui meurt ?

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Je vous ai déjà parlé de ce livre remarquable de Stephen Lévine "Qui meurt" aux éditions du Souffle d'Or publié en 1991. Vous pouvez encore trouver ce livre sur les sites de livres rares ou épuisés. Voici un court passage qui donne le ton du livre:

"Le fait de prendre conscience de l'impermanence des choses, est en soi une révélation de la clé de la vie. La confrontation avec la mort nous branche aux racines de la vie, que nous imaginons perdre avec la disparition de notre corps. Mais quelle est la véritable signification de ce sentiment d'immanence qui nous habite, ce sentiment que nous éprouvons d'être hors du temps, ce sentiment de quelque chose qui ne semble se référer à aucun commencement, à aucune fin. Nous imaginons que nous allons mourir pour la simple raison que nous croyons être nés. Nous ne nous fions pas à ce sens d'infini, d'illimité en nous."

In "Qui meurt" de Stephen Lévine Le souffle d'Or 1991 page 19 .
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vendredi 23 janvier 2009

Kenny Garret

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Incroyable solo de saxo de Kenny Garret
lors de cette soirée mémorable de 1991
où Miles Davis invitait ses amis.
Merci Jean-François
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Karlfried Graf Dürckheim

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Vous avez lu et relu "Hara, centre vital en l'homme",
mais connaissez vous ce petit livre de Dürckheim ?

Je vous le recommande pour son coté " pratique immédiate".
Pour une pratique impeccable de l'assise en silence.
Préparez votre coussin.
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jeudi 22 janvier 2009

Desmond Tutu raconte la nativité !

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Merci Albert et merci Desmond
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Enrico Rava & Paolo Fresu

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ipapy à la prog.
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De Georges à Barack

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Signalé par Claudie, merci...
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mercredi 21 janvier 2009

Muthspiel & Blade

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Jean-François à la program
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Tara

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Hara

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A lire, relire, rerelire etc et surtout à pratiquer !
Bonne journée les amis!
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Bruce Springsteen pour Obama : Working on a dream

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Merci Martine
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mardi 20 janvier 2009

Spizzichino

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Roberto Spizzichino,
un des plus grands maître-artisan cymbalier actuel.

Désolé, c'est en anglais, mais j'adore ce petit film.
Ce genre de personne m'impressionne beaucoup.
Va le voir en Toscane Jean-François,
tu ne le regretteras pas.

Merci .
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Bill Stewart - Big Brother

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Tribut to JFL, thanks
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Le bicarbonate de soude

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Le bicarbonate de soude (NaHCO3) est un composé blanc qui se présente sous forme de poudre. Biodégradable, il n'est pas toxique pour l'environnement ni pour la santé. Au contraire, ses propriétés en font un produit bon à tout faire.

C’est un "piège à odeurs"

  • Posez une coupelle de bicarbonate de soude sur une étagère de votre frigo, et oubliez les odeurs de melon et de fromage entamé.
  • Pour éviter le développement des mauvaises odeurs de la litière du chat, sau­poudrez une couche de Bicarbonate dans le fond de la cage ou du bac avant de verser la litière.

C’est un abrasif doux
Cette caractéristique en fait un agent nettoyant efficace mais sans agressivité. Vous pourrez l'utiliser :

  • Comme Dentifrice: le bicarbonate de soude entre dans la composition de nombreux dentifrices et peut être utilisé comme dentifrice à part entière. Il peut être un peu agressif pour la gencive, si c'est le cas évitez de l'utiliser tous les jours.
  • Poudre à récurer. Saupoudré sur une éponge humide, le bicarbonate de soude permet de nettoyer sans rayer les baignoires, les lavabos, les éviers, les chromes, les joints de carrelage, les plastiques de l'électro-ménager, la carrosserie et les plastiques des voitures (pour enlever les insectes).
  • Pour nettoyer les fruits et légumes à peau délicate : faites-les tremper pendant une dizaine de minutes dans une solution composée d’une cuillère à soupe (25 g) de bicarbonate par litre d’eau. Rincez ensuite abondamment à l’eau courante.

C’est une substance "tampon" Le Bicarbonate fait partie des substances « tampon », et est en mesure de réguler le pH trop acide. Il peut ainsi être utilisé pour aider à digérer un repas qui passe mal... En France et aux Pays-Pas, le bicarbonate alimentaire se trouve en pharmacie ainsi qu'en grande surface au rayon sel, dentifrice, spray désodorisant ou farine. Mais attention, l’emballage est quelque peu trompeur pour les consommateurs car il se présente comme une boîte de sel fin. Le bicarbonate de sodium ne doit pas être confondu avec la soude caustique ni avec le carbonate de sodium.



vu sur http://www.goodplanetconso.org/

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Sous les pavés... la Terre

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Documentaire environnementaliste de 90 minutes, «Sous les pavés ... la Terre» survient, dans un contexte devenu très déprimé, comme une bouffée d'esprit rebelle, mais sans caricature ni vaine orientation.

Naviguant entre constats alarmants et propositions concrètes dans les domaines de l'agriculture, du transport et de l'habitat, ce film incite à la réflexion de chacun d'entre nous et, plus encore, à une profonde refondation de nos modes de vie.

Paysans, artisans, ingénieurs, scientifiques, philosophes et politiques. Ce film expose leurs combats, face aux sarcasmes de leurs pairs, aux pesanteurs des administrations, à la frilosité des banques et des assurances, aux lobby ne voulant renoncer à leurs confortables avantages.

Sortie février 2009
un envoi de Karl
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Doona, un moteur de recherche humanitaire

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http://assodoona.free.fr


Doona, un moteur de recherche humanitaire
Doona, un projet ambitieux dont le but n'est pas d'enrichir (encore et encore) une entreprise mais de permettre aux internautes de donner, sans débourser, de l'argent à cette association à but humanitaire.

"De jeunes gaulois un peu fous veulent lancer un moteur de recherche à but humanitaire : Doona.

Le but n'est pas ici de monter un moteur de recherche de toute pièce,mais de proposer un frontal de recherche et de redistribuer les revenus de la publicité à des associations humanitaires. Bref, plutôt que vos recherches sur le Net permettent à quelques uns de s'enrichir, l'idée de Doona est que vos recherches sur le Net permettent à beaucoup de vivre mieux. "

Doona est un projet intéressant et (très) ambitieux puisqu'il se dirige vers un Internet où les entreprises (à but lucratif) ne dominent pas. Le moteur de recherche sera le premier ayant un but humanitaire, (non-lucratif) ...
En effet, en effectuant une recherche sur le site de Doona, grâce au moteur de recherche partenaire Exalead, les internautes donnent aux associations sans rien débourser.

"Doona" vient du verbe "donner" qui est devenu "dOOner". Avec deux "o" comme les grands moteurs de recherche : gOOgle, yahOO.

Quel but pour Doona ?

Dans un premier temps, l'argent est redistribué à d'autres associations humanitaires bien connues (Restos du Coeur, etc...), mais si le projet fonctionne bien, ils envisagent de créer des événements humanitaires indépendants (distribution de peluches dans les hôpitaux, spectacles gratuits, etc...)
Leur principaux buts resteront cependant d'agir dans la vie de tous les jours et de distribuer le plus de sourires.
Ils n'ont qu'une chose à nous dire :
Pour donner sans vous ruiner, et pour un net plus chaleureux, vous choisirez Doona !
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lundi 19 janvier 2009

Superbama

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John Cale hallelujah

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From Mister Karl
and coucou to Mister Pascal
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En Calcat janvier 2009

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C'était une bien belle retraite...Pas de photos prises cette fois-ci. Un petit groupe, du temps pour les partages et pour le silence aussi. Les participants et les "anciens" reconnaîtront sur la carte l'abbaye St Benoît d'En Calcat et même la chapelle ST Férréol dite "la capellette" où nous montons chaque fois au cours de notre marche méditative.

Ce monastère est vivant, à la fois complètement ancré dans la tradition monastique et très ouvert sur le monde et sur les autres traditions. C'était notre cinquième séjour et la relation avec plusieurs frères s'approfondit. La présence de notre groupe qui sait se glisser dans l'atmosphère de l'abbaye silencieuse, recueillie et joyeuse aussi à certains moments est très appréciée.

Loin des idées reçues, des images embellies ou au contraire caricaturales, nous côtoyons une communauté d'hommes dont l'existence quotidienne est consacrée à Dieu, à la prière chantée et au travail.

C'est pour beaucoup de nos contemporains un choix incompréhensible souvent présenté en creux, par la somme de renoncements qu'il représente : pas d'amis, de famille, de vie de couple, d'enfants, de sexualité, de sorties, d'argent, de biens personnels...etc. Et ce qui est évident en assistant aux offices tout au long de la journée c'est que ce choix de dédier son existence à la relation à Dieu au sein d'une communauté est un appel d'Amour. C'est le plein de cet appel et de cette relation qui saute au cœur. Les renoncements - et ils existent - ne sont qu'une des conséquence du choix de mettre l'Amour de Dieu au centre de sa vie. Les échanges avec frère Daniel évoquent aussi des périodes de doute, de difficulté, mais quel humain n'en rencontre pas ?

Plusieurs participants à des retraites témoignent qu'ils repartent le cœur plus léger et ouvert. C'est bien le signe d'une Présence, c'est bien le signe que cette communauté d'humains est nourrie, portée par cette Présence et que cette Présence déborde pour ceux qui s'approchent.




L'écureuil fait du yoga avec un éléphant

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Signalé par l'ami Yann
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Ecoute petit homme

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Le musicien de rue était debout dans l'entrée de la station L'Enfant Plaza du métro de Washington DC. Il a commencé à jouer du violon. C'était un matin froid, en janvier dernier. Il a joué durant quarante-cinq minutes. Pour commencer, la chaconne de la 2ème partita de Bach, puis l'Ave Maria de Schubert, du Manuel Ponce, du Massenet et de nouveau Bach. A cette heure de pointe, vers 8h du matin, quelque mille personnes ont traversé ce couloir, pour la plupart en route vers leur boulot.

Après trois minutes, un homme d'âge mûr a remarqué qu'un musicien jouait. Il a ralenti son pas, s'est arrêté quelques secondes puis a démarré en accélérant. Une minute plus tard, le violoniste a reçu son premier dollar : en continuant droit devant, une femme lui a jeté l'argent dans son petit pot. Quelques minutes ensuite, un quidam s'est appuyé sur le mur d'en face pour l'écouter mais il a regardé sa montre et a recommencé à marcher. Il était clairement en retard.

Celui qui a marqué le plus d'attention fut un petit garçon qui devait avoir trois ans. Sa mère l'a tiré, pressé mais l'enfant s'est arrêté pour regarder le violoniste. Finalement sa mère l'a secoué et agrippé brutalement afin que l'enfant reprenne le pas. Toutefois, en marchant, il a gardé sa tête tournée vers le musicien. Cette scène s'est répétée plusieurs fois avec d'autres enfants. Et les parents, sans exception, les ont forcés à bouger.

Durant les trois quarts d'heure de jeu du musicien, seules sept personnes se sont vraiment arrêtées pour l'écouter un temps. Une vingtaine environ lui a donné de l'argent tout en en continuant leur marche. Il a récolté 32 dollars. Quand il a eu fini de jouer, personne ne l'a remarqué. Personne n'a applaudi. Seule une personne l'a reconnu sur plus de mille personnes.

Personne ne savait que ce violoniste était Joshua Bell, un des meilleurs musiciens sur terre. Il a joué dans ce hall les partitions les plus difficiles jamais écrites avec un Stradivarius de 1713 valant 3,5 millions de dollars. Deux jours avant de jouer dans le métro, sa prestation au théâtre de Boston était "sold out" avec des prix avoisinant les 100 dollars la place.

C'est une histoire vraie. Joshua Bell jouant incognito dans une station de métro a été organisé par le « Washington Post » dans le cadre d'une enquête sur la perception, les goûts et les priorités d'action des gens. Les questions étaient : dans un environnement commun, à une heure inappropriée, pouvons-nous percevoir la beauté ? Nous arrêtons-nous pour l'apprécier ?

Reconnaissons-nous le talent dans un contexte inattendu ?

Une des possibles conclusions de cette expérience pourrait être : si nous n'avons pas le temps pour nous arrêter et écouter un des meilleurs musiciens au monde jouant quelques-unes des plus belles partitions jamais composées, à côté de combien d'autres choses passons-nous ?



J'ai vérifié l'histoire est vraie. Voir le lien du Washington Post avec de courtes vidéo.

Envoyé par Nikita, merci ami.......

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Fotoo

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Les diaporama nouveaux de qualité se font rares.
En voici un pour commencer la semaine
proposé par Laurent S.
Bonne semaine à toutes et à tous.
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Gurdjieff (5)


Voici la fin du texte décapant de Gurdjieff, qui arrive plus tard que prévu pour cause de monastère : nous arrivons en effet de quatre merveilleux jours de retraite en l'Abbaye bénédictine d'En Calcat.

" Il vous faut savoir encore une chose : chez beaucoup de personnes, certains états sont provoqués artificiellement non par elles mêmes mais par l'Institut. C'est pourquoi porter atteinte à cet état chez un autre peut gêner le travail de l'Institut. La seule chance de salut est de vous rappeler jour et nuit que vous êtes ici uniquement pour vous-même, et que vous ne devez être gêné par rien ni personne ; ou alors faites en sorte qu'ils ne vous gênent pas. Vous devez les utiliser comme moyens d'atteindre vos buts.

Cependant, on fait tout ici excepté ça. Vous avez transformé la vie de l'Institut en quelque chose de pire que la vie ordinaire. Bien pire même. A longueur de journée, les gens sont accaparés par des intrigues, ou déblatérent les uns contre les autres, ou s'ils ne le font pas ouvertement, n'en pensent par moins en leur for intérieur, ils jugent et considérent chacun, trouvant l'un sympathique, l'autre antipathique ; ils affichent des amitiés, collectivement ou individuellement se jouent des tours sordides, le regard toujours fixé sur les mauvais côtés de chacun.

Il ne sert à rien de penser que certains sont meilleurs que d'autres. Il n'y a pas "d'autres" ici. Ici, les gens ne sont ni intelligents, ni stupides, ni anglais, ni russes, ni bons ni mauvais. Il n'y a que des automobiles détraquées, comme vous. Et c'est seulement grâce à ces automobiles détraquées que vous pouvez atteindre ce que vous espériez en veant ici. Chacun de vous y pensait à son arrivée. Maintenant il est nécessaire de vous le rappeler et de revenir à votre première idée.

Tout ce que j'ai dit peut se résumer en deux questions:

1° Pourquoi suis-je ici ?
2° Cela vaut-il la peine que je reste ?


G.I. Gurdjieff in "Gurdjieff parle à ses élèves" Stock/Monde ouvert 1980 page 144 à 149
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dimanche 18 janvier 2009

Over the rainbow

Version d'Eva Cassidy

samedi 17 janvier 2009

Noces rebelles

 le 21 janvier dans les salles.

vendredi 16 janvier 2009

29 ...




Un très bel anniversaire à toi Valérie

plein de cadeaux ,

de la légèreté et de la confiance

pour les surprises que cette année te réserve.

2000neuf
20neuf ans...

Que du neuf !!



mardi 13 janvier 2009

Gurdjieff (4)


" C'est pourquoi ceux qui parmi vous ne sont pas avertis de ce phénomène ont l'impression que nous n'avons vraiment rassemblé ici que des gens stupides, paresseux, bornés - bref, tous les déchets. Mais chacun de vous oublie une chose importante : ce n'est pas lui qui les voit tels qu'ils sont ; quelqu'un les a mis à nu, c'est pourquoi il les voit et s'en attribue le mérite. Voyant les autres comme des imbéciles, il ne se rend pas compte qu'il est lui-même un imbécile. Si quelqu'un d'autre ne les avait pas exposés au grand jour, il se serait peut-être mis à genoux devant l'un ou l'autre d'entre eux. Il voit ceux qui l'entourent déshabillés mais il oublie que, lui aussi, est déshabillé. Il s'imagine qu'ici tout comme dans la vie, il peut porter un masque. Mais sitôt qu'il a franchi les grilles de l'Institut, le gardien lui a ôté son masque. Ici il est nu ; chacun sent immédiatement ce qu'il est en réalité.

C'est pourquoi personne ici ne doit considérer intérieurement qui que ce soit. Si quelqu'un s'est mal comporté envers vous, ne soyez pas indigné, car vous pourriez en faire autant. Vous devriez, au contraire, être très reconnaissant et vous estimer heureux de n'avoir jamais reçu de gifle de personne, car à chaque pas, vous faites du mal à un autre. Faut-il que ces gens soient gentils pour ne pas vous "considérer" Et pourtant, si quelqu'un vous fait le moindre tort, vous êtes prêt à lui casser la figure.

Vous devez comprendre cela clairement et vous comporter en conséquence. Vous devez essayer de vous servir des autres sous tous leurs aspects, bons ou mauvais ; et vous devez aussi aider les autres à travers tous les aspects qui vous sont propres, quels qu'ils soient. Si l'autre est intelligent, idiot, bien-veillant, méprisable, soyez sûr qu'à d'autres moments vous aussi vous êtes stupide, intelligent, méprisable, consciencieux. Tous les gens sont les mêmes, seulement ils se manifestent de manières différentes selon les moments, exactement comme vous aussi, vous êtes différent selon les moments. De même que vous avez besoin d'aide à différents moments, de même les autres ont besoin de votre aide. Et vous devez aider les autres non pour eux-mêmes, mais pour vous même. Premièrement, si vous les aidez, ils vous aideront ; deuxièmement, à travers eux vous vous instruisez, pour le plus grand bien de ceux qui vous sont proches.

(suite et fin demain)
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Le petit bal perdu

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Merci Monique
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Icare ?

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Merci Albert, très impressionnant.
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lundi 12 janvier 2009

Maxime Le Forestier - La visite

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Un coup de coeur de Karl
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Gurdjieff (3)

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" Je propose donc à ces personnes de travailler à partir de maintenant comme elles l'avaient compris auparavant, de redonner vie à leurs idées d'autrefois et de se mettre au travail pour de bon - ou bien de comprendre tout de suite que leur présence ici est inutile. Au point où en sont les choses, quand bien même elles continueraient pendant dix ans, cela ne mènerait à rien.

Je ne réponds de rien. Que les gens essaient réellement. Sinon, ils seraient encore capables de réclamer quelque chose pour le temps perdu. Qu'ils ressuscitent en eux leurs premières intentions et rendent ainsi leur séjour utile pour eux-mêmes et pour ceux qui les entourent.

Celui qui peut être ici un égoïste conscient pourra ne pas être égoïste dans la vie. Etre un égoïste ici signifie : ne tenir compte de personne, pas même de moi, regarder chaque être et chaque chose comme un moyen de s'aider soi-même. Il ne doit y avoir de considération pour rien ni pour personne. Qui est fou, qui est intelligent, la question n'est pas là. Le fou est un bon sujet d'étude, de travail. L'homme intelligent aussi. Autrement dit, ils sont l'un et l'autre nécessaires. La canaille et le brave homme également. Le fou, l'homme intelligent, la canaille, le brave homme, tous, autant les uns que les autres, peuvent servir de miroir et de choc pour se voir et s'étudier.

Il y a autre chose à comprendre. Notre Institut peut être comparé à l'atelier d'un dépôt de locomotives ou à un garage où sont effectuées des réparations. Lorsqu'un nouveau venu pénètre dans le garage, il découvre des machines qu'ils n'avait jamais vues ailleurs. Et pour cause: toutes les machines qu'il avait aperçues au-dehors étaient carossées et peintes; il ne sait pas comment elles sont faites. Les yeux de l'homme de la rue sont habitués à ne voir que la carosserie. Ici, à l'atelier, les voitures sont sans capot. Les pièces sont démontées, toutes nettoyées et exposées au regard ; elles n'ont plus rien en commun avec ce qu'il a l'habitude de voir. A l'institut, il en est de même. Quand une nouvelle personne arrive avec son bagage, elle est tout de suite mise à nu. Et alors tous ses plus mauvais cotés, toutes ses "beautés" cachées deviennent évidentes.

(à suivre)
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dimanche 11 janvier 2009

L'homme qui dit OUI

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Merci Olivier et la moto ?
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Francis Cabrel - La fille qui m'accompagne

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Un Cabrel pour ce dimanche soir,
J'en connais deux qui vont aimer ça...
Karl is back, merci ami
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Sinead O'Connor & the Chieftains- The Foggy Dew

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Merci Jean-François, j'adore..... et ton Mac?
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Gurdjieff parle à ses élèves (2)



"Pour un certain nombre d'entre vous, séjourner ici n'a plus aucun sens. Si on leur demandait pourquoi ils sont ici, ils seraient tout à fait incapables de répondre ou bien diraient une absurdité et m'exposeraient toute une philosophie sans même croire un mot de ce qu'ils raconteraient. Quelques-uns savaient peut être au début pourquoi ils étaient venus, mais ils l'ont oublié.

Je considère que quiconque vient ici a déjà dû comprendre la nécessité de faire quelque chose et a essayé par lui-même. Ses tentatives l'ont conduit à la conclusion que, dans les conditions de la vie ordinaire, il est impossible de parvenir à quoi que ce soit. Il commence alors à s'informer, à se mettre en quête d'endroits où, grâce à des conditions préétablies, le travail sur soi est possible. A la fin, il trouve; il apprend qu'ici un tel travail est possible. Et en effet, ce lieu a été créé et organisé pour que le chercheur puisse y trouver les conditions auxquelles il aspirait.

Mais certains d'entre vous ne tirent pas parti de ces conditions; on peut même dire qu'ils ne les remarquent pas. Et le fait qu'ils ne les voient pas prouve qu'en réalité ils ne les recherchaient pas, et qu'ils n'essayaient pas d'obtenir dans leur vie de tous les jours ce qu'ils étaient supposés chercher. Celui qui ne se sert pas des conditions de travail de l'Institut pour travailler sur lui-même et qui ne les voit pas, celui-là n'a pas sa place ici. Il perd son temps en restant ici, gêne les autres et prend la place de quelqu'un. Ici la place est limitée et, faute d'espace, je dois refuser beaucoup de candidats. Vous devez soit mettre cette place à profit, soit vous en aller.

Je le répète, je pars du principe que ceux qui viennent ici ont effectué un travail préparatoire, ont assisté à des conférences, et déjà tenté quelque chose par eux-mêmes.
J'estime donc que ceux qui sont ici ont déjà compris la nécessité de travailler sur eux-mêmes et savent à peu près comment il faudrait le faire, mais qu'ils en sont incapables pour des raisons qui échappent à leur contrôle. Par conséquent, je n'ai pas besoin de répèter à nouveau pourquoi chacun de vous est ici.
Je ne peux poursuivre mon travail ici que dans la mesure où ce qui a déjà été reçu est appliqué dans la vie pratique. Malheureusement, ce n'est pas le cas : les gens vivent ici mais ne travaillent pas; ils agissent seulement sous l'effet d'une contrainte, comme s'ils étaient payés à la journée."

(à suivre)
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