vendredi 30 novembre 2007
jeudi 29 novembre 2007
mercredi 28 novembre 2007
THE sortie !
Voici le reportage photo de GuYôM, notre envoyé spécial à Bordeaux, devant la boutique Orange du cours de l'Intendance. Ce soir, a lieu la sortie du tant attendu IPHONE ! Les mac-addicts affrontent le froid bordelais pour acquérir la fabuleuse machine !
Nous ne pouvions passer à côté d'une telle info... et nous pensons fort à iPapy, si loin de la France et de ce grand iEvénement !
Accepter l'autre
Sache que je suis tout à fait prête à t'accepter tel que tu es, Julian.
Mais d'abord, il faut que tu deviennes quelqu'un de complètement différent.
Changer sa chaise de place...
mardi 27 novembre 2007
lundi 26 novembre 2007
De quels signes êtes vous ?
dimanche 25 novembre 2007
Oh ! Sister !
La Couleur Pourpre - Miss Celie's Blues
envoyé par Image-in
samedi 24 novembre 2007
Mère Divine
Dans l'être humain, l'âme, le corps et la vie sont la Mère divine dans son intégrité. Savoir que l'unique Mère universelle n'est autre que le tout, c'est s'élever au-dessus du sens individuel créé par l'ignorance. Dans la lumièrede la Mère divine, toutes les formes sont l'unique.
La Mère divine devient la libératrice directe et immédiate de l'âme enchaînée dès que celle-ci la reconnaît pour Sa mère et se considère comme Son enfant.
De même que contempler la lumière nous fait connaître le soleil, ainsi contempler la Mère divine comme étant le tout, c'est atteindre la suprême connaissance. Le véritable enfant de la Mère divine obtient le don de la voir partout et dans chaque chose. Cette vision est le signe distinctif de celui qui s'est abandonné à Elle et qui est vraiment devenu Son enfant. Comme les vagues jouent à la surface de l'océan, ainsi la Mère divine, jouant le jeu universel, gambade sur le corps infini et parfaitement immobile du Seigneur. L'enfant de la Mère divine découvre tout à coup son unité avec Elle et avec le Seigneur, jouissant de la félicité et de la liberté de l'Eternel, après quoi toutes ses actions et tous ses mouvements deviennent en réalité ceux de la Mère divine; Mère et enfant ne se distinguent plus l'un de l'autre, dans la perfection du Seigneur. La voie la plus facile consiste à éliminer le sens de l'égo, et à s'abandonner à la volonté de Shakti, qui est la Mère divine. Dès que l'égoisme se dissout, l'âme réalise non-seulement sa nature universelle qui est la Mère, mais aussi son existence éternelle, sans attributs, illuminée, immuable et absolue. Saluons cette Mère universelle toute-puissante, pleine d'amour et de compassion."
Swami Ramdas "Présence de Ram", aux Editions Albin-Michel.
Un rôle au côté de Harry...
"Harry Potter et le prince de Sang-mêlé", le tome 6 de la saga (AP)
Un fan d'Harry Potter jouera un rôle de figurant dans le sixième film tiré de la saga, grâce à un jeu organisé sur MSN, a annoncé le portail internet jeudi 22 novembre. A partir du 23 novembre et jusqu'au 20 décembre, des questions sur la série imaginée par la Britannique J.K. Rowling seront posées chaque semaine sur le site.
Le vainqueur du concours, parmi les millions de lecteurs des aventures du jeune sorcier,décrochera un rôle de figurant dans "Harry Potter et le prince de Sang-mêlé", le prochain film de la saga, actuellement en cours de tournage. Sa sortie est prévue en novembre 2008.
Rêve de Noël
"Cela va vraiment permettre à quelqu'un de réaliser ses rêves de Noël", a déclaré l'un des responsables de MSN, Mike Lok. "Inutile de dire que nous nous attendons à une compétition acharnée".Les cinq premières adaptations pour le grand écran des aventures du jeune apprenti-sorcier ont battu tous les records au box-office mondial, totalisant des recettes supérieures à l'ensemble des 22 films de James Bond ou aux six épisodes de "La guerre des étoiles.
La citation du jour 64
"Je ne pense à rien
et cette chose centrale, qui n'est rien,
m' est agréable comme l'air de la nuit,
frais en contraste avec le jour caniculaire.
Je ne pense à rien, et que c'est bon! (...).
Fernando Pessoa
vendredi 23 novembre 2007
Elf du Grand Nord
Pour l'observer en pleine action cliquez sur le lien et n'oubliez pas de monter le son.
http://www.elfyourself.com/?id
La citation du jour 63
jeudi 22 novembre 2007
Les entretiens de l'Assekrem
Le témoignage de Jacques
La citation du jour 62
David DEIDA, Intégrer son identité masculine, éditions "le souffle
d'or", chapitre 5 "Ne quittez jamais votre perception la plus
profonde", page 39.
mercredi 21 novembre 2007
Apprendre à vivre
Rien de spécial
La citation du jour 61
mardi 20 novembre 2007
Pour informaticiens seulement
Polynésie
Jean Klein
"N'essayez pas d'objectiver la vérité, de la localiser, jamais : la vérité est votre absence absolue, quand vous êtes complètement absent.
Le chercheur est ce qu’il cherche…ce que vous cherchez ne peut jamais être un objet. Parce que vous êtes ce que vous cherchez, ainsi vous ne pouvez jamais le voir, jamais l’appréhender. Vous pouvez seulement l’être….
Vous êtes libre de tout concept, quand le mental voit cela, il arrive à un arrêt. Vous êtes tranquille. Toutes les idées sur vous-même, toutes vos qualifications doivent s’arrêter. Alors vous vous trouvez dans une sorte de nudité. Alors soyez le vraiment. Soyez complètement accordé à cela.
La question est réponse, parce que la réponse est avant la question ; autrement il n’y aurait jamais de question.
C’est à travers l’écoute inconditionné, libre de la mémoire, libre de toute attente, que vous arrivez à la perception directe.
…Cette compréhension que votre vraie nature n’est jamais un objet, jamais une affirmation, vous amène automatiquement à l’ouverture, à la non-connaissance. Cette non-connaissance est l’ouverture, et cette ouverture est la vérité. L’ouverture n’est pas un état psychologique mais une manière de vivre où il y a beauté dans la relation, parce qu’il n’y a plus relation personnelle, il n’y a que relation.
Vivez dans votre silence infini.
…Un jour vous verrez que vous n'avez vécu que comme une entité qui n’a aucune réalité. Ce moment est une très grande révolution dans votre vie.
Alors vous trouverez la beauté dans la vacuité en étant rien. Parce que dans la vacuité vous êtes le TOUT. Quand vous êtes la vacuité, vous absorbez votre environnement dans sa totalité. Quand vous n’êtes rien, vous êtes le libre choix, libre de sélection, libre de discrimination. Quand le « je » psychologique se présente, ses propositions ne sont pas seulement basées sur la beauté et la vérité, mais sur la survie, la survie psychologique de la personne.
…Dans cette ouverture toute votre intelligence est à votre disposition. Il y a un regard neuf sans interférence de la mémoire. Aimez ce que vous êtes. Pas le Soi que vous n’êtes pas, non le vrai Soi que vous êtes. Alors vous ne serez pas collé à votre personnalité et à ce moment là vous vivrez la relation sans objet.
…Le chercheur est celui que vous cherchez. Ce que vous cherchez est paix, silence, vous-même, et cela ne peut jamais être un objet. C’est un sentiment. C’est un diamant, dans votre sentiment, vous devez aimer ce diamant. Vous devez l’être, ne jamais vous en éloigner. Ce diamant est le diamant de votre cœur
…..C’est seulement quand vous n’êtes pas, que Dieu est."
lundi 19 novembre 2007
I'm All Right
Madeleine Peyroux - I'm All Right
envoyé par Madeleine-Peyroux
Le Témoignage de Stéphanie
Je suis différente; j'ose dire : je suis neuve, aussi par cette expérience symbolique du baptême car je l'ai reçu comme cela de manière inattendue par ce sage du désert (l'eau versée sur ma tête de ses mains dans l'oasis) Entayent qui nous a enseigné la simplicité; derrière chaque pas une présence et dans son regard l'intégrité.
Il fallait que je vive cette merveilleuse aventure pour progresser sur ce chemin,là où nous avons marqué nos empreintes qui s'effaceront de cette terre volcanique,l'empreinte dans mon coeur ne s'effacera pas.
Je peu dire en toute sincérité que dans cette ouverture, dans ce lâcher prise je me suis lavée de l'intérieur que j'ai rencontré la vacuité et je vis désormais dans cet espace.
Je remercie ,vous tous, amis sur le sentier qui ont participés et aidés à cela.
Je vous aime.
Stéphanie alias Radijah
ps: Photo: Simone à gauche et Stéphanie à droite le matin au campement au pied de l'Assekrem
La religion ou les religions ?
"Si le fait religieux est universel (pas une société sans religion), il est loin d'être homogène (il y a des religions, parfois très différentes). La première question qui se pose est donc celle de savoir si on peut parler de « la » religion au singulier; autrement dit, si il y a un dénominateur commun aux différentes religions qui permettrait de saisir l'essence de « la » religion sans plaquer nos propres représentations sur ce qui nous est étranger.
La première définition générale se trouve chez Ciceron: « La religion est le fait de se soucier d'une certaine nature supérieure qu'on appelle divine et de lui rendre un culte. » Cicéron (De inventione II, 53). Certes, il n'y a pas de religion sans culte, et il n'y a pas de culte sans sacré. Le sacré est ce qui est estimé digne de vénération, de respect absolu, voire de sacrifice. Il y a un rapport profond et complexe entre « culte » et « culture ». Les religions ont profondément influencé les moeurs des cultures où elles sont apparues, mais elles servent aussi parfois à sacraliser des moeurs qui n'ont au départ rien de religieux. Par exemple l'Islam a joué sur les moeurs en limitant la polygamie. Mais la majeure partie des religions ont été utilisées pour justifier la domination masculine.
Par contre, la façon dont on s'est représenté cette « nature supérieure qu'on appelle divine » n'a cessé d'opposer les différentes religions et il y a au moins une religion: le Bouddhisme (4ème religion du monde relativement au nombre de ses adeptes) qui ne se réfère pas à un Dieu transcendant.
L'étymologie nous renseigne sur l'essence du religieux: le latin « religare » veut dire, entre autres choses, « relier ». La religion c'est ce qui relie les hommes entre eux en fondant l'ordre social, les lois. Tout se passe comme si les communautés humaines avaient besoin, pour avoir une unité, de la référence à un point extérieur et transcendant: un héro fondateur, un mythe de l'origine, une promesse de salut ou une idée régulatrice. Il semble qu'il faille se référer à plus grand que soi pour faire société, pour « être avec ».
Ce qui fait que la religion relie, c'est qu'elle permet de communier dans une même foi, c'est la communion qui est à l'origine de la communauté. Doit-on en conclure qu'il n'y a pas de société sans religion?
Non, on peut communier -faire communauté en des valeurs qui n'ont rien de « sacré » au sens religieux du terme: « les lendemains qui chantent » des sociétés communistes ou les valeurs républicaines de Liberté, d'Egalité et de Fraternité par exemple. Il y a société sans religion donc, mais en plus la religion ne saurait être limitée à sa fonction sociale sans perdre une des dimensions qui lui est essentielle: sa dimension spirituelle.
L'essentiel des religions n'est-il pas plus dans la spiritualité que dans la conformation des individus à un ordre social et moral sacralisé? La spiritualité c'est la vie de l'esprit, celle-ci se nourrit autant de vérité, que de beauté et de justice. Les religions ont souvent dans l'histoire été des freins au développement de la philosophie et des sciences, mais elles ont pu aussi (plus rarement) le favoriser.
Pour ce qui concerne le rapport au beau il est indubitable que les religions ont inspiré nombre de chef d'oeuvres. Enfin, s'il n'est pas une religion qui n'ait pu servir de caution à des massacres, elles ont pu aussi servir de soutien à bien des révoltes contre l'oppression.
Mais la spiritualité c'est aussi le mysticisme, qui est avant tout l'expérience d'un dépassement de l'individualité, d'une union avec le tout dans un sentiment d'amour infini. N'y a-t-il pas là, au delà des controverses théologiques, un dénominateur commun aux religions?
Ceci dit, n'y a-t-il de spiritualité que religieuse? Il serait bien sûr très réducteur, insoutenable, de limiter la vie de l'esprit, le rapport à la vérité, à la beauté et à la justice à la religion. Quant au mysticisme, il ne manque pas lui non plus d'exister en dehors des cadres religieux dans l'expérience esthétique surtout.
Julien Saiman