mercredi 30 avril 2014
Paresse
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Ne pas dire un mot de toute la journée,
ne pas lire le journal,
ne pas entendre la radio,
ne pas écouter les commérages,
s'abandonner absolument,
complètement à la paresse,
être absolument,
complètement indifférent au sort du monde,
c'est la plus belle médecine qu'on puisse s'administrer.
Henry Miller
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mardi 29 avril 2014
lundi 28 avril 2014
La citation du lundi
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Le séjour de l'éveil est dans la clarté de l'esprit, dans cette lumière irradiant toute chose de sa présence. Toute chose n'a lieu qu'en son séjour. Partout circule l'énergie, aucune chose ne serait sans elle ; mais la pierre, la fleur, la terre ne se prennent pas pour autre chose qu'une manifestation de cette énergie. Seul l'homme pense être quelqu'un, se détache de sa source jusqu'à l'oublier. (page 9)
Au fond de mon être, la lumière miroite sa jouissance. Une impalpable véhémence gonfle ma poitrine. Tout ce qui vient, vient de ce grand fond de lumière et ce grand fond de lumière est à tout le monde comme il n'est à personne. Le monde entier lui appartient et n'est rien d'autre que lui. (page 21)
On ne peut sortir du séjour, mais on peut l'oublier, l'ignorer, être dans la confusion. Personne ne peut l'obtenir, car il réside où il n'y a personne, mais on peut disparaître et naître dans sa lumière. On ne peut qu'être le séjour. On ne peut l'évoquer sans le placer hors de soi, hors de lui-même, dans un mot, un concept, sans le convertir en une pensée. L'homme parvient à accomplir ce tour de force de quitter, de façon illusoire, sa demeure primordiale. Il se chasse du paradis. Par ce mouvement, il devient chasseur et ne trouve comme seule proie que le mirage d'une ombre fugace. Il cherche dehors ce qu'il a quitté dedans. Il parvient à franchir l'incomparable frontière par une usurpation d'identité. Se lie à l'imposture par un inextricable serment. (page 29)
Le retour suppose un départ, une séparation, une chute horizontale, un glissement, une attraction hypnotique hors de son royaume. Il suggère une réintégration, une reviviscence. Il propose un mouvement inverse, une conversion du regard, un virage à cent-quatre-vingts degrés, une nage à contre-courant vers l'abîme d'où surgit la naissance, une soif irrésistible de la source originelle qui déjà augure des retrouvailles. Inlassablement revenir, revenir à la maison. Le récit du retour est celui de l'enfant prodigue. (page 32)Jacques Goorma - Le Séjour - Arfuyen 2009
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dimanche 27 avril 2014
samedi 26 avril 2014
Marathon boy
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Un article intéressant est paru ce WE
dans l'Equipe Magazine
sur ce petit garçon, qui a maintenant douze ans
et qui court toujours
avec le même rêve en tête
dans l'Equipe Magazine
sur ce petit garçon, qui a maintenant douze ans
et qui court toujours
avec le même rêve en tête
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vendredi 25 avril 2014
jeudi 24 avril 2014
Vivre heureux avec Alzheimer
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Une vidéo ancienne
mais si importante et touchante
merci Nikita
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Spiritualité
Le regard Un...
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Le basculement de la conscience individuelle actuelle vers une conscience une et illimitée n’est plus une lointaine aspiration, c’est un processus vivant se produisant à l’échelle planétaire MAINTENANT. En ces temps où chacun aspire à une profonde transformation, recevons cette invitation à sortir de notre cocon pour vivre à la mesure de ce que nous sommes vraiment, Être.
Sans nous en rendre compte, tels une grenouille que l’on fait cuire lentement dans une eau d’abord tiède puis, de plus en plus chaude, nous sommes anesthésiés par un mental qui réduit nos capacités et nous fait croire que nous sommes séparés les uns des autres. Comme une nuit privée d’étoiles, nous vivons dans la noirceur et, pire encore, notre vie est dépourvue des étincelles de lumière qui pourraient l’illuminer. Étant sous l’emprise d’un mental chargé d’idées à propos de soi, des autres et de la vie, notre liberté s’en trouve d’autant réduite.
Le temps est venu de tourner notre regard vers l’intérieur… pour y découvrir que ce que nous sommes est à mille lieues des informations contenues dans le mental.
Hors du mental, le mariage de la splendeur de Être et de l’infinie diversité de notre humanité procure une extase se déployant en cascade. Le témoignage du divin sur terre est d’une banalité désarmante et d’une beauté inconcevable, une beauté à mouiller nos yeux d’éblouissement…
ÊTRE – HUMAIN signifie que nous sommes le Divin se révélant dans chaque être humain. En tant qu’humain, nous en sommes le passage et l’instrument.
Le geste que nous devons accomplir n’est pas visible extérieurement. C’est un mouvement intérieur de la conscience qui tourne son regard déjà fixé sur de nombreux phénomènes mentaux et se regarde elle-même.
Lorsque la conscience que nous sommes de tourne vers elle-même, elle peut se reconnaître en tant que Je suis.
Lorsque la conscience que nous sommes de tourne vers elle-même, elle peut se reconnaître en tant que Je suis.
Ne niant rien de notre vécu et aspirant à une vérité toujours plus profonde et holistique, le regard Un transforme les aspects souffrants de notre humanité.
Il ne s’agit pas d’ajouter une croyance ou quoi que ce soit d’autre à un mental déjà encombré, mais de regarder le monde à partir de ce qui perçoit toute chose et ne peut être perçu. Le regard Source ne peut se voir lui-même, nous pouvons juste en être conscient et reconnaître que nous sommes ce regard.
Il est à la portée de chacun de prendre quelques instants pour passer d’un point de vue duel et mental au point de vue (un non-point de vue) de la conscience Source, le regard Un.
Que votre vie soit un joyau irradiant l’insaisissable Beauté de Être !
Claudette Vidal
Merci Alain-René
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Spiritualité
mercredi 23 avril 2014
Nos amies les vaches
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Ces émotions là sont l'aube d'un sentiment.
De gratitude envers les animaux et de solidarité avec l'ensemble du vivant.
Merci Marie-Thérèse.
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Ecologie,
Trésors du Net
mardi 22 avril 2014
L'Art de la Tapisserie
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Notre amie Brigitte De Amorin expose ses oeuvres jusqu'à la fin du mois de Juin à
Valence à l'Atelier Marie Legras
à l'angle de la Grand Rue et de la rue Gaston Rey en dessous de la Maison Mauresque
http://1petitcoin2terre.blogspot.com/
à l'angle de la Grand Rue et de la rue Gaston Rey en dessous de la Maison Mauresque
http://1petitcoin2terre.blogspot.com/
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Amis
Tout est permis
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Nous sommes allés voir le dernier film de Coline Serrau. C'est un documentaire fait à partir des stages de récupération de points pour les personnes qui n'en ont plus ou peu. C'est en fait une illustration magistrale de la formule bien connue : "Que dit le mental ? Que dit la vérité ?Aux tentatives répétées des automobilistes de justifier jusqu'à l'absurde leurs comportements au volant - tentatives dans lesquels on ne peut éviter de retrouver certains de nos arguments fallacieux - les animateurs de stage opposent le démenti des faits. Pas de moralisme culpabilisant. Juste les faits.Ce film est de salubrité publique. Nous sommes rentrés tranquillement en respectant à la lettre les limitations de vitesse. Combien de temps avant qu'une certaine mécanicité reprenne le dessus...?
Nous conseillons vivement d'aller voir ce film qui est sans doute moins percutant qu'un stage - quoi que...- moins cher ça c'est sûr, mais aussi passionnant qu'utile.
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film
lundi 21 avril 2014
Neuengamme Matricule 36588
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C'est un témoignage de déporté très particulier pour nous puisqu'il s'agit du témoignage de Marcel Bayod, le père d'Alain. Comme beaucoup de déportés Marcel s'est tu pendant très longtemps. Impossible de raconter ce qu'il avait vécu , "on ne m'aurait pas cru" dit-il. Depuis les années cinquante, les anciens du commando de Wilhelmshafen où il a passé la majeure partie de sa détention se sont rassemblés tous les ans pour se souvenir et célébrer leurs liens indéfectibles. Ils sont trop peu nombreux maintenant et ne peuvent plus traverser la France pour se retrouver à Paris, La Rochelle, Nice ou Dijon. Mais plusieurs d'entre eux ont pris leur plume pour témoigner, raconter l'irracontable. Marcel l'a fait pour ses enfants, ses petits enfants et arrière petits enfants...et pour tous les autres.
Cette parution a été l'occasion de moments forts auprès de lui et d'une solidarité familiale : Alain et moi avons aidé à la mise en forme du récit, Christian un autre de ses fils et Johan un de ses petits fils se sont chargés de la mise en page et de l'édition.
Marcel Bayod nous raconte simplement toute la complexité de quatorze mois en enfer, quatorze mois loin de sa famille, quatorze mois qu'il mit près de soixante-dix ans à pouvoir partager à ses proches et à son entourage.
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" J'ai 17 ans, j'habite chez mes parents, dans une bourgade d'un modeste chef-lieu de canton de la Haute-Garonne, Salies du Salat, situé au pied des Pyrénées et je suis garçon coiffeur. Nous sommes en avril 1944 dans la France occupée. La région est calme, pour ma part, je n'ai pas encore vu d'allemands dans le secteur et pourtant..."
Marcel Bayod nous raconte simplement toute la complexité de quatorze mois en enfer, quatorze mois loin de sa famille, quatorze mois qu'il mit près de soixante-dix ans à pouvoir partager à ses proches et à son entourage.
Nous écrire si vous voulez vous procurer un exemplaire.
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Famille
dimanche 20 avril 2014
O, Maicuta sfanta
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Un petit signe à notre amie Kinga partie avec son premier groupe
dans les monastères de Roumanie pendant les fêtes de Pâques...
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musique,
Spiritualité
samedi 19 avril 2014
vendredi 18 avril 2014
jeudi 17 avril 2014
Jacques Goorma et Douglas Harding
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Merci à Catherine de m'avoir introduit à la poésie initiatrice de Jacques Goorma. Très touchant de retrouver dans ses poèmes la même évidence, quelquefois avec les mêmes mots, que celle qu'enseignait Douglas.
À la page 7 de son recueil intitulé "Le séjour" Jacques Goorma "cite" Sherlock Holmes :
"Je ne vois rien de plus que ce que vous voyez, mais je me suis entraîné à le remarquer".
Douglas affectionnait cette citation.
Voici trois autres textes extrait "du séjour".
"Le sans visage est dans chaque visage. Il n'est pas un mot, mais le silence de tous les mots. Et pourtant, s'il est le ciel, il est aussi l'oiseau et quelque chose d'irrésistible nous ramène à sa beauté." page 34
"Ce n'est pas à travers les trous oculaires que je vois. C'est à travers un oeil qui est derrière et au-dessus. Un oeil qui est chez moi et fait comme chez lui. Comme chez toi. C'est un regard impersonnel. Ce qu'il voit au dehors, est personnel. Ce qui est dehors, apparaît et disparaît. Mais cet oeil qui voit tout n'est jamais apparu, c'est simplement une ouverture qui laisse sa place au monde." page 61
"Je vais aller où je ne suis jamais allé, là d'où je ne suis jamais parti. Revenir au séjour que je n'ai jamais quitté. Ce lieu abstrait, comparable au ciel immense, vide, lumineux, sans limite ni contour. Il n'est que de se retourner vers lui, vers ce que fondamentalement nous sommes. Retourner le regard vers sa source. Plonger dans la fontaine obscure d'où surgit le regard. Devenir ce qu'il n'a jamais cessé d'être. Une lampe allumée dans la nuit des tempes. Car le ciel n'est rien d'autres qu'un regard." page 69
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Poésie,
Spiritualité,
Vst
Lover man...etc
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Connaissez-vous cette maison de disque ? Putumayo propose des compilations superbes.
Merci à mes soeurs Marilyne et Marie-Paule qui me l'ont fait connaître.
J'aime particulièrement le troisième extrait, Madeleine Peyroux à la voix envoûtante qui chante : Dance Me to the End of Love
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musique
mercredi 16 avril 2014
mardi 15 avril 2014
lundi 14 avril 2014
Seul au milieu de tous
Les gens disent souvent : « personne ne m’écoute ». Facebook et Twitter leur offrent maintenant des auditeurs automatiques. De fait, il a été montré que les médias sociaux sont principalement des moyens de se promouvoir soi-même.
Curieusement, l’expansion de ces pseudo relations humaines va de pair avec une crainte de la solitude. Les gens ont maintenant peur d’être seuls avec eux-mêmes. Abandonnés à eux-mêmes, ils éprouvent le besoin de se connecter. D’après Turkle, ils sont maintenant passés du stade « je ressens quelque chose, je vais le partager en envoyant un message » à l’impulsion « je veux ressentir quelque chose ; j'ai besoin d'envoyer un texto ».
N'ayant pas la capacité d’être seuls avec nous-mêmes, nous nous tournons vers d'autres personnes, non pas pour établir une relation altruiste et nous intéresser à ce qu’elles sont et à leur situation, mais pour les utiliser comme des pièces de rechange pour soutenir nos personnalités de plus en plus fragiles. Nous pensons qu’être constamment « en contact » nous fera sentir moins seuls. C’est l'inverse qui est vrai. Si nous sommes incapables d'être seuls, nous sommes beaucoup plus susceptibles de souffrir de la solitude. Une enquête a révélé qu’un américain ordinaire ressentait un profond sentiment de solitude une fois par quinzaine en moyenne. D’après Turkle, « Si nous n’apprenons pas à nos enfants à être seuls, ils ne sauront que souffrir de la solitude. »
Il faut aussi renouer l’habitude des conversations et en fournir l’opportunité, dans les lieux de travail et dans les familles. Ceux qui participent souvent à des conférences et à des réunions savent que c’est souvent durant les « pauses café » que les conversations et les interactions les plus fructueuses prennent place.
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La citation du lundi
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" On nous en parlait depuis plus d'une semaine. On nous avait averti du danger. Nous avions préparé des verres fumés. Enfin, vint le grand jour.
Nous sommes tous debout dans la cour de l'école à attendre l'événement. J'ai sept ans et nous allons voir la nuit en plein jour. La tête renversée vers les nues, nous attendons. Nous attendons l'éclipse totale de soleil.
En plongeant mon regard dans le ciel limpide, une pensée surgit. Une question que je ne m'étais jamais posée. "S'il y a un mur au fond du ciel, qu'y a-t-il derrière?" Sitôt cette idée formulée, quelque chose d'énorme se rue à l'intérieur de moi, m'envahit et m'entraîne dans son irrésistible torrent. Un gigantesque tourbillon me fait basculer et tomber dans le ciel. Dans le même mouvement, son immensité s'engouffre en moi.
La chute n'est pas de celles bien connues qui s'achèvent très vite sur un sol dur et laissent aux genoux des éraflures. Cette chute-là, je le sais aussitôt, n'a pas de fin. Elle semble même s'accélérer, amplifiant mon vertige de façon démesurée. Je glisse dans le ciel à une vitesse ahurissante en même temps que le ciel précipite son invasion. Des mots me brûlent : " Cela ne s'arrête jamais, le ciel n'a pas de fond, cela n'a pas de fin, pas de fin..."
J'étais bien loin de cette cour, que l'ombre et les exclamations commençaient à gagner, quand le vertige devint intenable d'exaltation et de terreur. Je n'étais plus qu'un point infime dans l'illimité qui déferlait sa vague immense à l'intérieur de mon corps. J'allais éclater sur place, disparaître dans l'infini. La suite?.... Il n'y en a plus. Quelque chose avait disparu dans cette ouverture.
Dans les jours qui suivirent, je fus incapable d'en parler. De raconter cette chute, cette incroyable découverte, cette déchirure. Cette blessure sacrée est invisible. Indicible. Dans mon entourage, j'en guettai la moindre trace, le moindre signe. Par la suite, je tentai même des allusions. Mais rien. Pas d'indice ni de réaction. Par la brèche, la lumière continuait de saigner. Dès que le silence s'établissait, je poursuivais ma plongée dans l'abîme, tentant d'apprivoiser son épouvante, de desserrer peu à peu son étreinte, pour pouvoir m'abandonner à sa grâce.
De cette chute date mon vol.
Jacques Goorma - Le vol du loriot - Arfuyen page 23
Nous vous reparlerons bientôt de cet auteur que nous venons de découvrir grâce à Catherine Harding.
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A lire,
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dimanche 13 avril 2014
samedi 12 avril 2014
Children Beyond again
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A la suite de l'énorme succès rencontré par leur premier album, Beyond, Tina Turner, Regula Curti et Dechen Shak-Dagsay sortent leur deuxième album : Children Beyond.
Cet album a pour intention de promouvoir la paix et la tolérance.
Une trentaine d’enfants issus de cultures et pays différents, vivant en Suisse, accompagnent les trois chanteuses qui offrent leur interprétation musicale
des prières et mantras les plus importants
de différentes traditions spirituelles du monde.
Les artistes reversent les bénéfices à des ONG.
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vendredi 11 avril 2014
jeudi 10 avril 2014
Seul est vaincu celui qui renonce
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|
Moëbius
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Le grand Moëbius en demo
à la palette graphique.
Impressionnant
Jean-François
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mercredi 9 avril 2014
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