mercredi 31 octobre 2012

Nature boy


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JFL

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mardi 30 octobre 2012

Urmas Sisask


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Jean-François


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lundi 29 octobre 2012

Le procureur vert

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Le procureur vert

"Dans le jargon des prisonniers du goulag, s'évader se disait "passer devant le procureur vert", c'est-à- dire sous le couperet de la nature, qui était souvent plus impitoyable que le marteau des procureurs rouges. Ceux-ci  vous condamnaient  à trente ans de détention pour peu que vous fussiez soupçonné d'être un "élément douteux" ou un "ennemi du peuple". Mais la nature, elle, tendait des pièges plus redoutables: marais, ours, torrents, tempêtes, nuages de moustiques... Souvent, le froid, la faim, et finalement la mort attendaient le fugitif au bout d'une courte cavale qui ne l'avait pas porté bien loin au regard de l'immensité sibérienne.
C'est d'ailleurs en raison de ces incommensurables difficultés physiques que les camps de prisonniers soviétiques n'étaient pas aussi protégés que l'on aurait pu le penser. Une ou deux simples lignes de barbelés ceignaient le camp. Les gardiens savaient que la nature dissuadait le candidat à l'évasion mieux que n'importe quel cheval de frise.Dans les parages où s'étendit l'Archipel, l'hiver règne huit mois sur douze ( une plaisanterie russe - qui fait donc rire jaune - définit même ainsi l'année sibérienne : "Douze mois d'hiver et après, c'est l'été ! ") et , quand l'été vient, c'est la raspoutitsa ( littéralement, le "chemin interrompu", la fonte des neiges qui transforme le pays en une fondrière et rend impraticables les sous-bois.
Des prisonniers politiques réussirent malgré tout à s'évader. ILs pensaient sans doute, avec Tocqueville, que "n'est impossible que ce qui n'a pas été tenté". C'est à la mémoire de ces hommes en fuite, pour qui rien n'importait plus que de reconquérir leur dignité volée, à la mémoire de ceux qui choisirent la liberté, ne plièrent pas sous l'idéologie et sortirent de la nuit soviétique, qu'est dédié ce voyage à pied, à cheval et à vélo, de la Sibérie à l'Inde, sur les traces des évadés du goulag."
Sylvain Tesson
Sous l'étoile de la liberté
Arthaud poche p15

samedi 27 octobre 2012

Taksim trio


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JFL


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jeudi 25 octobre 2012

Louise Ackerman

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Ces délires sacrés, ces désirs sans mesure
Déchaînés dans vos flancs comme d'ardents essaims, 
Ces transports, c'est déjà l'Humanité future 
Qui s'agite en vos seins.

Elle se dissoudra, cette argile légère
Qu'ont émue un instant la joie et la douleur ; 
Les vents vont disperser cette noble poussière 
Qui fut jadis un cœur.

Mais d'autres cœurs naîtront qui renoueront la trame 
De vos espoirs brisés, de vos amours éteints,
Perpétuant vos pleurs, vos rêves, votre flamme,
Dans les âges lointains.

Tous les êtres, formant une chaîne éternelle,
Se passent, en courant, le flambeau de l'amour. 
Chacun rapidement prend la torche immortelle 
Et la rend à son tour.


Louise Ackerman  (1813-1890)


Un partage de Sandrine (M).

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mercredi 24 octobre 2012

Enrico Pieranunzi


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Monique

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mardi 23 octobre 2012

Scènes de métro à Delhi





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Ce matin en allant à Majnu Ka Tilla, le quartier tibétain du nord de Delhi, je me suis demandée si ça n’était pas le métro qui rendait les gens maussades. Les indiens en général souriants et volubiles étaient soudain silencieux, visages fermés,  regards vagues, certains perdus dans la musique de leurs oreillettes, d’autres plongés dans la rédaction d’un sms ou la lecture d’un livre : on se serait cru à Paris. À ceci près cependant que lorsque je suis sortie de la rame, une mince jeune fille au visage réjoui derrière ses grosses lunettes m’a courru après :
-       Excuse me mam, are you foreigner ?
-       Yes
-       What country ?
-       France.
-       Ah !
Encore plus grand sourire si c’est possible et petit dodelinement de la tête… La conversation s’est arrêtée là car je crois son anglais et ma compréhension de son accent ne pouvaient aller plus loin.
Le voyage de retour m’a confirmé que j’étais bien à Delhi et non à Paris. Il faut dire que j’ai pris les rames  pour « Women only ». Et là, c’est un autre monde. Nous sommes nombreuses, tous les âges, toutes les couleurs, ça brille de partout, ça piaille comme dans une volière. Les enfants passent de bras en bras. Les jeunes écolières rentrent et sortent en bandes virevoletantes et parfumées. Un/une hijra (1) immense et maigre, aux boucles d’oreilles sonores entre dans la rame et demande quelque chose d’une voix grave. On lui répond très naturellement. Deux jeunes gens ont le malheur de s’être égarés ici et ils sont houspillés tranquillement par une matronne qui leur indique le wagon suivant. Pas besoin de parler hindi pour comprendre  qu’ils se sont fait gentiment remettre à leur place… 



(1) Les hijras existent en Inde depuis des siècles et ne se considèrent comme ni homme ni femme. En général ce sont des hommes qui se sont fait castrer à l’adolescence, mais il y a aussi des hermaphrodites. Les hijras sont invités aux mariages où il/elles chantent et dansent pour assurer la fertilité du couple. On les craint car on dit qu’ils peuvent jeter des sorts. Ils/elles vivent en communautés hiérarchisées et souvent mendient ou se prostituent.


lundi 22 octobre 2012

Bruce Lee

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Karl

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dimanche 21 octobre 2012

Mes voyages avec Hérodote


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En direct de Delhi, un petit clin d'oeil au groupe qui vient de rentrer...

Pour les quelques jours dans la capitale, j'avais emporté le livre de Kapuscinski. 
 Tout jeune journaliste, au milieu des années 50, Kapuscinski n'a jamais quitté la Pologne communiste où la censure vient à peine d'autoriser la publication de la traduction des Histoires d'Hérodote. Il rêve de passer la frontière, juste aller en Tchécoslovaquie. Et voilà qu'on l'envoie...en Inde !

"Toutefois, le véritable choc culturel se produisit une heure plus tard lorsque je sortis de l'hôtel. De l'autre côté de la rue, sur une petite place exiguë, des pousse-pousse tirés par des hommes décharnés et voûtés, aux jambes tout en nerfs et en muscles, commencèrent à se rassembler. Ils avaient dû apprendre qu'un sahib était descendu au petit hôtel (par définition, un sahib doit avoir de l'argent), et ils attendaient donc patiemment, prêts à offrir leurs services. L'idée d'être confortablement installé dans une voiture attelée à un être famélique, affamé, faible et respirant à peine m'inspirait un dégoût, une indignation et une horreur sans borne. Moi, un exploiteur ? Un buveur de sang ? Un oppresseur ? J'avais été éduqué dans un esprit complètement opposé ! On m'avait notamment inculqué que ces squelettes vivants étaient mes frères, mes camarades, mes proches, la chair de ma chair. Aussi, lorsque ces hommes se ruèrent sur moi avec des gestes engageants et implorants tout en se bousculant et en se chamaillant, je me mis à les repousser, à les chasser et à protester avec détermination. Stupéfaits, ils ne pouvaient comprendre mon message, ils ne pouvaient me comprendre, car ils comptaient sur moi, j'étais leur seule chance, leur seul espoir de gagner un minuscule bol de riz. je partis sans me retourner, insensible, inflexible, fier d'avoir refusé de jouer le rôle de sangsue se repaissant de la sueur humaine."
p 28-29

Plus loin, il se retrouve à Bénares :

" De tous les coins de la ville, des haut-parleurs émettent des airs aigus, sonores, langoureux qui proviennent d'innombrables temples locaux, petites constructions à peine plus élevées que les maisons à un ou deux niveaux qui les entourent. Ils se ressemblent tous, badigeonnés de blanc, ornés de guirlandes de fleurs et de décorations scintillantes, élégants et lumineux, semblables à des jeunes mariées se rendant à l'autel. L'atmosphère qui y règne est sereine, nuptiale. Ils sont bondés, les gens murmurent, brûlent de l'encens, roulent des yeux, tendent les bras. Des hommes (sacristains ? enfants de choeur ?) distribuent aux croyants de la nourriture : un morceau de gâteau, du massepain, des bonbons. Si l'on garde les mains tendues un peu plus longtemps, on a la chance de recevoir deux, voire trois portions. Il faut soit les manger soit les déposer sur l'autel. Dans tous les temples l'entrée est libre, personne ne demande qui vous êtes et quelle est votre confession. Chancun rend hommage individuellement, de sa propre initiative, sans rituel collectif, d'où cette sensation de détente, de liberté et de légère pagaille."
p 44-45
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samedi 20 octobre 2012

Aimer



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Sur le blog de Mariam...


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vendredi 19 octobre 2012

Rita Marcotulli


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Jean-François


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mercredi 17 octobre 2012

lundi 15 octobre 2012

La citation du lundi


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" Les études des Occidentaux sur l'expérience de sagesse par exemple sont souvent décevantes. Si savantes et théoriquement si parfaites qu'elles se présentent, elles demeurent presque inéluctablement sur le plan académique et spéculatif. Il leur manque toujours quelque chose - un RIEN souvent, et c'est indéfinissable. Mais justement c'est ce RIEN seul qui donne l'accès à la source, en son jaillissement même. (GNA, p18)"
 Père Henri Le Saux Écrits p177
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dimanche 14 octobre 2012

vendredi 12 octobre 2012

La vie après...



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Deux bébés discutent.
-  Et toi, tu crois à la vie après l’accouchement ?
-  Bien sûr. C’est évident que la vie après l’accouchement existe. Nous sommes ici pour devenir forts et nous préparer pour ce qui nous attend après.
-  Pffff... tout ça, c’est insensé. Il n’y a rien après l’accouchement ! A quoi ressemblerait une vie hors du ventre ?
-   Eh bien, il y a beaucoup d'histoires à propos de "l'autre côté"... On dit que, là-bas, il y a beaucoup de lumière, beaucoup de joie et d'émotions, des milliers de choses à vivre... Par exemple, il paraît que là-bas on va manger avec notre bouche.
-  Mais c’est n’importe quoi ! Nous avons notre cordon ombilical et c’est ça qui nous nourrit. Tout le monde le sait. On ne se nourrit pas par la bouche ! Et, bien sûr, il n’y a jamais eu de revenant de cette autre vie... donc, tout ça, ce sont des histoires de personnes naïves. La vie se termine tout simplement à l’accouchement. C'est comme ça, il faut l'accepter.
- Et bien, permet moi de penser autrement. C'est sûr, je ne sais pas exactement à quoi cette vie après l’accouchement va ressembler, et je ne pourrais rien te prouver. Mais j'aime croire que, dans la vie qui vient, nous verrons notre maman et elle prendra soin de nous.
- "Maman" ? Tu veux dire que tu crois en "maman" ??? Ah ! Et où se trouve-t-elle ?
- Mais partout, tu vois bien ! Elle est partout, autour de nous ! Nous sommes faits d'elle et c'est grâce à elle que nous vivons. Sans elle, nous ne serions pas là.
-C’est absurde ! Je n’ai jamais vu aucune maman donc c’est évident qu’elle n’existe pas.
- Je ne suis pas d’accord, ça c'est ton point de vue. Car, parfois lorsque tout devient calme, on peut entendre quand elle chante… On peut sentir quand elle caresse notre monde. Je suis certain que notre Vraie vie va commencer après l’accouchement...

Un grand merci à toi Odile !

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mercredi 10 octobre 2012

lundi 8 octobre 2012

La citation du lundi




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"Le silence parle plus que la parole; il est bien plus efficace et bien plus puissant. Le silence complet est le moyen le plus sûr de communiquer avec votre soi, votre centre réel et votre Être véritable. "


Le Chant du silence p 294


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dimanche 7 octobre 2012

Animal Poetry

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Nous aussi on adore cette vidéo

merci Karl bonne préparation pour l'Inde


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samedi 6 octobre 2012

Aarti à Har Ki Pauri

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Nous y étions à nouveau ce soir.
Ce lieu porte vraiment bien son nom !
Har Ki Pauri : l'empreinte de Dieu

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Sting and.......my heart


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Olivier

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Steve Jobs

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Si vous vous intéressez de près ou de loin, à la marque à la pomme et à Steve Jobs, vous pouvez aller jeter un oeil sur le site d'Apple  qui propose aujourd'hui un petit film pour le premier anniversaire de la mort de son fondateur.

Haridwar 2012

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Nous voici donc de retour à Haridwar.
Nous étions hier soir à l'Aarti.
Toujours aussi  émouvant.
Dieu est partout, sans aucun doute
mais il existe vraiment des lieux 
où il se rappelle plus à nous que d'autres.

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vendredi 5 octobre 2012

jeudi 4 octobre 2012

Le goût de la nature

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  Grâce à un membre du groupe, je viens de découvrir ces barres énergétiques , nourrissantes mais surtout très, très, très bonnes, du fabricant canadien "Taste of Nature".Interrogez votre épicière bio favorite.

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L'air de rien


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Jean-François

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Mc Curry, toujours...

mercredi 3 octobre 2012

Première journée à Delhi

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Un aperçu de Old Delhi...



Transport scolaire.



Gurudwara Bangla Sahib, le grand temple Sikh.


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Mc Curry, encore...

mardi 2 octobre 2012

Welcome to Delhi


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Désolée, la photo est un peu floue, mais voilà ils sont tous bien arrivés après un voyage sans encombre. Sur la photo à droite, Sadat, notre agent de voyage qui va nous accompagner une partie du séjour. Alain est là aussi mais derrière l'appareil !
 Bonne nuit à tous.

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Let my love open the Door


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 Karl

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La nourriture et la voie

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Bien souvent   la qualité d'un ashram est en relation avec  la qualité de la nourriture que propose sa cuisine. Je ne parle pas seulement de la qualité gustative mais aussi  du calme, de la paix et de l'amour que contient la nourriture.
Dans les monastères Zen, la responsabilité des repas est traditionnellement confiée à un des disciples "avancés" sinon au plus avancé.
Dans l'Inde traditionnelle,  le cuisinier ou la cuisinière  ne préparaient jamais un repas si il ou elle était sous le coup d'une émotion. Un autre monde sans doute mais un monde qui n'a pas disparu complètement.
À l'ashram de Chandra Swami, la nourriture est de toute évidence préparée dans le respect, la paix, la joie et l'amour pour le Maître. Succulente, elle est un régal pour le coeur et le corps. Simple et nourrissante, elle  permet selon nos besoins un repas frugal ou  copieux car les plats repassent plusieurs fois. Les plats, je devrais plutôt dire les seaux :  c'est évidemment à l'indienne que nous mangeons. La vaisselle est en inox et la nourriture, riz, dhal, légumes, fruits, est dans des seaux et généreusement distribués à la louche. Plus évidemment les délicieux chapatis à volonté.
Regarder manger Swamiji, c'est vivre un hymne à la présence, au geste juste et à l'unité de toute chose. Swamiji mange lentement, religieusement et joyeusement, sans perdre pour autant le contact avec l'ensemble des convives. Belle leçon de vigilance !
En relisant la semaine dernière "son" petit livre "L'Art de la réalisation"  nous avons été frappés Corinne et moi par le passage suivant : 




" Les progrès du Sâdhaka dépendent à un degré appréciable de la nourriture qu'il choisit. La nourriture est essentielle à la sustentation du corps physique, mais elle influence également notre mental. " Un régime alimentaire pur donne un mental pur", disent les Upanishads.
À de rares exceptions près, nourrissez un homme avec de bons aliments et vous pourrez le rendre vertueux et adroit ; nourrissez-le mal et vous en ferez un idiot, un déprimé, un criminel ou un invalide. Une alimentation appropriée aide vraiment un homme à devenir un Homme et un Homme à devenir un Surhomme; par contre une nourriture  mauvaise fait de l'homme une brute malfaisante.
Quel régime alimentaire doit alors adopter un aspirant pour acquérir les forces physiques et morales indispensables à la contemplation ? Il n'y a pas de règle rigide. Vous devez découvrir avec soin quel genre de nourriture maintient votre corps et votre mental pur et calme. Vous devez absolument éviter toute nourriture qui constipe ou énerve.
Cela mis à part, la nourriture de l'aspirant sera aussi pure que possible. Par nourriture pure, il faut entendre une nourriture acquise honnêtement, préparée et servie avec amour et dévotion. L'alimentation doit favoriser la longévité, l'intelligence, la force, la santé, le bonheur. Elle doit être douce, nutritive et agréable."
page 141

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Elle revient........waouh

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Bonne décision Citroën
J'en ai eu trois, une beige, une vert pomme et une Charlestone
comme sur la photo.
J'adorais mes deudeuches et en parcours sinueux
il fallait s'accrocher pour nous suivre
ma deuch et moi.
Nostalgie...

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lundi 1 octobre 2012

Touching Eternity



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Bon travail Richard, comme toujours !
Merci Olivier

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Back to Delhi

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Nous voici de retour à Delhi après une semaine au Sadhana Kendra Ashram . Nous avons eu la joie de retrouver Chandra Swami en pleine forme. Toujours aussi rayonnant d'Amour et de Joie.
Une des particularités de la routine de l'Ashram, c'est bien sûr les quatre méditations quotidiennes d'une heure. La cloche nous réveille au petit matin à 3h45 (oui, vous avez bien lu), première méditation à 4h30, le petit déjeuner (excellent) se prend à 6h en présence du maître qui vient de finir ses exercices physiques et aux environs de 7h30 nous avons terminé le Seva du matin. Intéressant comme timing, n'est-ce pas ?  Il faut bien sûr un petit temps d'adaptation pour transformer l'épreuve du lever matinale en un pur bonheur. Mais ça vient assez vite.
Toutefois ce serait dommage de se polariser sur la routine. 
Pour vous donner une idée de l'enseignement de Swamiji voici les 15 instructions proposées au sadhaka  ( celle ou celui engagé dans le voie spirituelle) . Elles constituent ce que Chandra Swami  Udasin appelle la Sadhana Intégrale.
Lisez cette liste le coeur ouvert et voyez ce qu'elle vous inspire.
Peut être aussi cette liste va vous rappeler un livre récent ? Vous voyez lequel ?

La Sadhana Intégrale
Shri Chandra Swamiji Udasin

1.  Pratiquez la méditation quotidiennement et régulièrement.
2.  Souvenez-vous de Dieu en répétant le saint nom divin (japa) qui vous inspire foi et dévotion.
3.  Priez Dieu de vous accorder le détachement, une vision claire, et de vous faire accéder à la lumière de la Conscience.
4.  Exercez-vous à maitriser votre mental et vos sens.
5. Ayez de moins en moins de désirs pour les plaisirs de ce monde.
6.  Menez une vie très simple et honnête.
7.  Evitez et abandonnez toutes les mauvaises habitudes.
8.  Servez au nom de Dieu les pauvres et ceux qui sont dans le besoin, de préférence par le biais d'une organisation religieuse ou spirituelle qui se consacre au service social.
9.  Servez les saints et les sages qui ont réalisé Dieu ou ont une dévotion profonde envers Lui.
10.  Assistez régulièrement au satsang des saints et des sages qui vous donnent de l'inspiration ; évitez la fréquentation des incroyants et des sceptiques.
11.  Lisez les Ecritures saintes révélées et réfléchissez à leur message. Lisez des livres qui intensifient votre aspiration à suivre et à pratiquer la voie, ainsi que des biographies des grands saints et sages.
12.  Pratiquez des exercices respiratoires afin de rendre votre respiration légère, lente, rythmique et profonde.
13.  Acquittez-vous de vos devoirs familiaux et sociaux au nom de Dieu.
14.  Aimez et servez vos parents ; accordez-leur le respect qui leur est dû.
15.  Que  la réalisation de Dieu devienne votre raison de vivre.


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Hindi Zara

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Pour toi, Sabine...

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La citation du lundi


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"La clef de la compréhension juste, c'est la simple observation et non l'analyse.Vous devriez oublier complètement le temps : le passé, le présent et le futur. Vous ne pouvez rien faire du passé. Il est mort."

Le Chant du silence p288 


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