vendredi 30 août 2013

India

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Le WE de préparation pour le voyage dans le nord de cet automne commence aujourd'hui...
Une citation des Upanishads pour l'accompagner :

"Devenu le Témoin des états de veille et de rêve, 
le sage n'est plus soumis à la souffrance."

Katha Up. II,1,4.

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jeudi 29 août 2013

I have a dream


J'ai fait un rêve
"Je suis heureux de participer avec vous aujourd'hui à ce rassemblement qui restera dans l'histoire comme la plus grande manifestation que notre pays ait connu en faveur de la liberté.
Il y a cent ans, un grand américain, qui jette sur nous aujourd'hui son ombre symbolique, a signé la Proclamation d'Émancipation. Cet arrêté d'une importance capitale venait porter lumière, comme un phare d'espoir, aux millions d'esclaves Noirs marqués par les flammes d'une injustice foudroyante, et annonçait l'aube joyeuse qui allait mettre fin à la longue nuit de la captivité.
Mais un siècle plus tard, nous devons faire le constat tragique que les Noirs ne sont pas encore libres. Un siècle plus tard, la vie des Noirs reste entravée par la ségrégation et enchaînée par la discrimination. Un siècle plus tard, les Noirs représentent un îlot de pauvreté au milieu d'un vaste océan de prospérité matérielle. Un siècle plus tard, les Noirs languissent toujours dans les marges de la société américaine, des exilés dans leur propre terre. Alors nous venons ici aujourd'hui pour dramatiser notre condition effroyable.
Nous venons à la capitale de notre nation pour demander, en quelque sorte, le paiement d'un chèque. Quand les architectes de notre république écrivirent les textes magnifiques de la Constitution et de la Déclaration d'Indépendance, ils signèrent un billet à l'ordre de chaque américain. C'était la promesse que chacun serait assuré de son droit inaliénable a la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur.
Il est aujourd'hui évident que l'Amérique a manqué à cet engagement quant à ses citoyens de couleur. Au lieu de faire honneur à cette obligation sacrée, l'Amérique a passé au peuple Noir un chèque qui revient marqué "sans provisions". Mais nous ne saurons croire que la banque de la Justice a fait faillite. Nous ne saurons croire qu'il n'y a plus suffisamment de provisions dans les grands coffres d'opportunité nationaux. Alors nous venons exiger paiement contre ce chèque, paiement sur demande des richesses de la liberté et de la sécurité que procure la justice. Nous venons également à cet endroit sacré pour rappeler à l'Amérique l'urgence absolue du moment. Ce n'est pas le moment de prendre le luxe de laisser calmer les esprits, ni de nous laisser endormir par une approche gradualiste. Il est temps de quitter la vallée sombre et désolée de la ségrégation pour prendre le chemin ensoleillé de la justice raciale. Il est temps d'ouvrir les portes de l'opportunité à tous les enfants de Dieu. Il est temps de tirer notre nation des sables mouvants de l'injustice raciale jusqu'au rocher solide de la fraternité.
Que la nation ne tienne pas compte de l'urgence du moment, qu'elle sous-estime la détermination des Noirs, lui serait fatal. Cet été étouffant du mécontentement légitime des Noirs ne prendra fin qu'à l'arrivée d'une automne vivifiante qui amènera liberté et égalité. L'année 1963 n'est pas une fin, mais un début. Ceux qui veulent croire que les Noirs seront satisfaits seulement de s'exprimer avec force auront un fâcheux réveil si la nation revient aux affaires habituelles comme si de rien n'était. L'Amérique ne connaîtra ni repos ni tranquillité tant que les Noirs ne jouissent pas pleinement de leurs droit civiques. Les orages de la révolte continueront à secouer les fondations de notre pays jusqu'au jour où la lumière de la justice arrivera.
Mais il y a quelque chose que je dois dire à mon peuple, qui est sur le point de franchir le seuil de la justice. En luttant pour prendre notre juste place, nous ne devrons pas nous rendre coupables d'actes injustes. Ne buvons pas de la coupe de l'amertume et de la haine pour assouvir notre soif.
Nous devons toujours conduire notre lutte dans un haut souci de dignité et de la discipline. Nous ne pouvons pas laisser notre protestation créative dégénérer en violence physique. Encore et encore, nous devons atteindre ce niveau exalté où nous opposons à la force physique, la force de l'âme. Le militantisme merveilleux qui a pris la communauté noire ne doit pas nous amener à nous méfier de tous les Blancs, puisque beaucoup de nos frères Blancs, on le voit par leur présence ici aujourd'hui, se sont rendus compte que leur destin est lié au nôtre, et que leur liberté dépend étroitement de la nôtre. Nous ne pouvons pas marcher seuls.
Et quand nous marchons, nous devons jurer d'aller toujours de l'avant. Nous ne pouvons pas faire demi-tour. Il y en a qui demandent aux fervents des droits civiques, "Quand serez-vous satisfaits ?" Nous ne saurons être satisfaits tant que nous ne pouvons pas laisser nos corps fatigués se reposer dans les motels des routes ni les hôtels des villes. Nous ne saurons être satisfaits tant que les Noirs ne peuvent bouger que d'un petit ghetto à un ghetto plus grand. Nous ne saurons être satisfaits tant qu'un Noir du Mississippi n'a pas le droit de voter et qu'un Noir à New York ne voit rien pour lequel il peut voter. Non, non, nous ne sommes pas satisfaits, et nous ne serons satisfaits que le jour où la justice se déchaînera comme les eaux, et que la rectitude sera comme un fleuve puissant.
Je ne suis pas sans savoir que certains d'entre vous arrivent ici après maintes épreuves et tribulations. Certains d'entre vous viennent directement des cellules étroites de prison. Certains d'entre vous viennent des régions où votre quête pour la liberté vous a laissés meurtris par les orages de la persécution et renversés par le vent de la brutalité policière. Vous êtes les vétérans de la souffrance créative. Persévérez dans l'assurance que la souffrance non-méritée vous portera rédemption.
Retournez au Mississippi, retournez en Alabama, retournez en Géorgie, retournez en Louisiane, retournez dans les ghettos et quartiers pauvres de nos villes du Nord, en sachant que cette situation, d'une manière ou d'une autre, peut être et sera changée. Ne nous complaisons pas dans la vallée du désespoir.
Je vous dis aujourd'hui, mes amis, que malgré les difficultés et les frustrations du moment, j'ai quand même fais un rêve. C'est un rêve profondément enracinée dans le rêve américain.
J'ai fait un rêve, qu'un jour, cette nation se lèvera et vivra la vrai signification de sa croyance : "Nous tenons ces vérités comme allant de soi, que les hommes naissent égaux."
J'ai fait un rêve, qu'un jour, sur les collines de terre rouge de la Géorgie, les fils des anciens esclaves et les fils des anciens propriétaires d'esclaves pourront s'asseoir ensemble à la table de la fraternité. J'ai fait un rêve, qu'un jour même l'état de Mississippi, un désert étouffant d'injustice et d'oppression, sera transformé en un oasis de liberté et de justice.
J'ai fait un rêve, que mes quatre enfants habiteront un jour une nation où ils seront jugés non pas par la couleur de leur peau, mais par le contenu de leur caractère. J'ai fait un rêve aujourd'hui. J'ai fait un rêve, qu'un jour l'Etat de l'Alabama, dont le gouverneur actuel parle d'interposition et de nullification, sera transformé en un endroit où des petits enfants noires pourront prendre la main des petits enfants blancs et marcher ensemble comme frères et sœurs.
J'ai fait un rêve aujourd'hui.
J'ai fait un rêve, qu'un jour, chaque vallée sera levée, chaque colline et montagne sera nivelée, les endroits rugueux seront lissés et les endroits tortueux seront faits droits, et la gloire du Seigneur sera révélée, et tous les hommes la verront ensemble.
Ceci est notre espoir. C'est avec cet espoir que je rentre au Sud. Avec cette foi, nous pourrons transformer les discordances de notre nation en une belle symphonie de fraternité. Avec cette foi, nous pourrons travailler ensemble, prier ensemble, lutter ensemble, être emprisonnés ensemble, nous révoltons pour la liberté ensemble, en sachant qu'un jour nous serons libres.
Quand ce jour arrivera, tous les enfants de Dieu pourront chanter avec un sens nouveau cette chanson patriotique, "Mon pays, c'est de toi, douce patrie de la liberté, c'est de toi que je chante. Terre où reposent mes aïeux, fierté des pèlerins, de chaque montagne, que la liberté retentisse."
Et si l'Amérique veut être une grande nation, ceci doit se faire. Alors, que la liberté retentisse des grandes collines du New Hampshire. Que la liberté retentisse des montagnes puissantes de l'état de New York. Que la liberté retentisse des hautes Alleghenies de la Pennsylvanie !
Que la liberté retentisse des Rocheuses enneigées du Colorado ! Que la liberté retentisse des beaux sommets de la Californie ! Mais pas que ça, que la liberté retentisse des Stone Mountains de la Georgie ! Que la liberté retentisse des Lookout Mountains du Tennessee ! Que la liberté retentisse de chaque colline et de chaque taupinière du Mississippi !
Que la liberté retentisse !
Quand nous laisserons retentir la liberté, quand nous la laisserons retentir de chaque village et de chaque lieu-dit, de chaque état et de chaque ville, nous ferons approcher ce jour quand tous les enfants de Dieu, Noirs et Blancs, Juifs et Gentils, Catholiques et Protestants, pourront se prendre par la main et chanter les paroles du vieux spiritual noir, "Enfin libres! Enfin libres! Dieu Tout-puissant, merci, nous sommes enfin libres!".

Pasteur Martin Luther King    aujourd'hui 50 ans déjà

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mercredi 28 août 2013

Dimitri

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Un bel anniversaire à toi Dimitri !

Cette photo a été prise dans le désert, quelque part dans la Tassili du Hoggar le 6 novembre 2009...
Mais nous avons aussi partagé l'aventure de l'Inde du sud en 2012, 
plus quelques randonnées moto dans le Vercors ou ailleurs
et d'autres rencontres autour d'un repas ou d'un tas de bois à rentrer !
Merci pour ta présence, ta discrétion, ton efficacité et ta confiance.
Tes capacités de transformation sont impressionnantes.
Du fond du coeur, nous te souhaitons le meilleur.

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Il reste une place...

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Il reste une place pour une femme 
dans  le prochain groupe qui partira 
en Inde du sud à Tiruvannamalaï 
du 27 janvier au 14 février 2014...

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Le journal d'une âme

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mardi 27 août 2013

Imany - Pray for your help


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Mister K on Twitter

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lundi 26 août 2013

Soeur Marie Keyrouz "Psaumes"



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Jean-François

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Touareg

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Un roman qui m'a beaucoup touchée.
 J'y ai retrouvé l'odeur, les couleurs, les sensations du désert.
 Il y a un aspect de tragédie antique dans cette histoire où le personnage en revendiquant sa liberté de Touareg est amené au bout des conséquence de ses actes,
 dans un enchaînement de causes à effet implacable 
qui le conduit... exactement là  où il ne voulait pas aller.
C'est simple, beau et les personnages ont une vraie authenticité. 
"Pour les amoureux du désert" dit une critique au dos du livre. 
Oui. 
Pour les autres aussi ...



dimanche 25 août 2013

MotoGP

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Marc s'est bien amusé à Brno


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The greatest man

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Merci Julie !


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samedi 24 août 2013

vendredi 23 août 2013

Pour calmer l'ego


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Mais n'oublions pas :
Moi est un produit du monde
mais Ce que je suis vraiment, vraiment
est l'origine du monde.

Merci Patrick

jeudi 22 août 2013

Jobim again


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Jean-François

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mercredi 21 août 2013

mardi 20 août 2013

Ode à l'Amour



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Merci JFL


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lundi 19 août 2013

Constellations Familiales à Ruffieu

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Comme vous pouvez le constater c'est Julie qui organise,
 mais peut-être le saviez vous déjà car vous êtes un lecteur de son blog ?
Je recommande à tous de participer à ce beau travail.



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dimanche 18 août 2013

Marc Marquez

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Indianapolis, yes, well done !


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Maissiat

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Découverte hier sur France Inter...

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samedi 17 août 2013

Qawalis

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Les chants Qawalis à Niamuddin Dargha à Delhi le jeudi soir. 
Auprès du tombeau du saint soufi, des chants d'amour fou à Nizamuddin ou à Dieu.
 Ces chants sont de toute la région du Sind, Pakistan, nord de l'Inde. 
Il me tarde d'y retourner...

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Où est la terre des promesses ?

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Un petit livre écrit par une âme tourmentée. 
On y trouve des fulgurances, des pages magiques 
où les mots arrivent à faire sentir une atmosphère, un lieu, une rencontre...

Voici un extrait :

"Mais il y a encore un village au milieu des tours rongées et des caravansérails effondrés d'une ville jadis florissante, désertée par ses habitants à cause du manque d'eau. Il reste un dernier canal, sale, miteux, profondément creusé dans la terre dure - il fait vivre le village. Des Tadjiks à barbe noire, leurs femmes en jupe rouge, leurs enfants. Ils logent dans des maisons en terre au toit en forme de dôme, derrière des murs qui se fissurent déjà et tombent en ruine ; ils possèdent un âne, un cheval, des moutons aussi, et le soir je vois des chameaux venir du désert et tourner dans la ruelle qui semble trop étroite pour leur démarche branlante. Les champs qui entourent le village ont été arrachés au désert ;  il faut les inonder pour espérer pouvoir labourer tant bien que mal leur surface dure comme de la pierre. Et qu'est-ce qui peut bien pousser ici ? Juste de quoi faire un peu de pain, quelques melons, une poignée de paille. Dans ce village, pas d'échoppe, pas de boulanger, pas de chanteur, et le soir pas de lueur de samovar. Les Tadjiks vivent à proximité du désert, comme dans un face-à-face avec la mort et notre inanité - dépourvus de désir et d'ambition, victimes, l'été, de la sécheresse et de la canicule et, durant le long hiver, des vents des steppes glacials et saturés de poussière - dans l'impossibilité absolue de se protéger."
P 117

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vendredi 16 août 2013

Être et avoir

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Vu sur une affiche de la ville d'Aix en Provence :

"Maladie d'Alzheimer : l'avoir n'empêche pas d'être."

Si cette maladie est le tribu à payer pour que notre société intègre la différence entre être et avoir, alors nous devons être pleins de gratitude pour toutes ces personnes malades et leurs famille, 
tous ceux qui se chargent du travail...


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jeudi 15 août 2013

Khandro Tséring Chödrön


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Je l'ai découverte dans le film Dakinis de Véronique Jannot. 
Khandro Tséring Chödrön (1929 -2011) est l'incarnation de la Dakini, 
principe féminin de la sagesse dans le bouddhisme tibétain. 
Elle n'a pas enseigné par la parole, sa présence était son enseignement.
Son sourire...

Voici un court hommage  :




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mercredi 14 août 2013

Jaï Guru 2

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14.18 Je ne vous laisserai pas orphelins, je viendrai à vous.

14.19 Encore un peu de temps, et le monde ne me verra plus; 
mais vous, vous me verrez, car je vis et vous vivrez aussi.

14.20 En ce jour-là, vous connaîtrez que je suis en mon Père, 
que vous êtes en moi, et que je suis en vous.

Évangile de Jean

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Michel Petrucciani - Estate


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Le grand Michel
Merci Jean-François

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samedi 10 août 2013

Jaï Guru

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" Avec la certitude, fruit d'une vraie contemplation, 
que tout ce qui est vu - sans aucune exception - 
est aussi consistant qu'un nuage qui passe et n'existe pas sans Ce qui regarde, 
tourne ton regard vers l'intérieur, tourne le vers Ce qui regarde, vers la Conscience
 et demeure établi en Elle de manière stable."


envoyé par Gnanananda Niketan à l'occasion de Guru Purnima 
la pleine lune de juin-juillet où l'on célèbre le Guru en Inde .

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jeudi 8 août 2013

Evasion

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« La cellule est un lieu parfait
pour qui veut apprendre à se connaître
et pour étudier en permanence
et dans les détails
le fonctionnement de son esprit
et de ses émotions…"
Mandela

Lettre à Winnie
1.2.1975
Robben Island

Merci Christian

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Satsuna - Innocence


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Merci Julien et félicitations

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mercredi 7 août 2013

Erik Satie


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JFL

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mardi 6 août 2013

Clair de brume : regard sur les Vosges

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Vincent Munier est originaire des Vosges.
 Ce livre est un travail commun avec son père Michel.
Une ode à la beauté, à la patience et à l'amour.
Magnifique.


http://www.vincentmunier.com/





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lundi 5 août 2013

À l'écoute de l'Inde


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Un livre passionnant. Gérard Busquet qui vit en Inde depuis les années 60 relate ses différents séjours dans des communautés traditionnelles en voie de disparition.  Les pêcheurs à la loutre du golfe du Bengale, les marbriers de Jaïpur, les pénitents de Shiva de Vishnupur, les bardes bhopa qui narrent la geste de Pabuji, héros rajpoute divinisé, les Bediya, gitans des eaux et charmeurs de serpents....

Des chapitres courts et très vivants d'où émanent une profonde connaissance de l'Inde et des indiens. Un grand amour aussi, mais on ne peut pas connaître si on n'aime pas, n'est-ce pas ?

 " Dans le sous-continent indien, le temps est une notion souple, signe d'impermanence. Non pas une impermanence dramatique comme en Occident, mais une acceptation du déclin et de la disparition qui, bien que douloureuse, reste normale et sans cesse présente dans la mentalité collective. Il ne s'agit pas de fatalisme : c'est plutôt une véritable sagesse du temps. La réalité n'est pas une notion solide, mais éminemment transitoire : le passage de l'homme sur terre n'est qu'un vol de libellule."    p 365
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dimanche 4 août 2013

Gaël Faye - Je pars


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Mister K on Twitter

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Orchidées

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Elles représentent pour moi l'élégance, la créativité subtile des formes et des couleurs, l'harmonie calme. Il y en a dans toutes les pièces de la maison et le temps silencieux consacré à les arroser ou les tailler est un vrai plaisir. Et puis, il y a le miracle de les voir refleurir au bout parfois de plusieurs mois. La récompense de la patience et de la confiance...


samedi 3 août 2013

Sur les toits du monde

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Bombay, Istanbul ou Toronto, ils pratiquent le "rooftopping", ces jeunes "trompe-la-mort" cherchent à trouver le point de vue le plus haut sur leur ville, pour la découvrir d'une autre manière.
Intéressant, n'est-ce pas, tout au moins si on est en bonne condition physique et peu sujet au vertige.
Mais regardez bien en bas des photos: là d'où ça regarde, la vue est toujours la même, c'est l'observateur qui s'observe et se reconnait. Et pour cette vision là, qui est la seule véritable vision, nul besoin d'escalader de grands immeubles. Ici, maintenant devant votre ordinateur ça  va très bien.

vendredi 2 août 2013

Chants juifs

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Une musique céleste....


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