jeudi 31 octobre 2019

Johnny Miller, photographe


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Il a fait la couverture du Times et très récemment celle de La Vie.
Dans Unequal scenes, il a photographié par drone l'inégalité inscrite dans le paysage des villes.
Retrouvez son travail superbe sur son site .

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mercredi 30 octobre 2019

Je vous écris de Téhéran / Delphine Minoui


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Sous la forme d'une grande lettre écrite à son grand père iranien mort en 1997, Delphine Minoui raconte les 12 années qu'elle a passées à Téhéran en tant que journaliste entre autre correspondante du Figaro. J'ai aimé son infatigable curiosité, son envie de comprendre de l'intérieur le pays de sa famille paternelle, sa volonté de donner la parole à tous les éléments du puzzle iranien, les jeunes des soirées branchées et secrètes de Téhéran, les intellectuels opposants au régime, les mollahs, les bassidjis (force paramilitaire fondée par Khomeïni et qui a alimenté les troupes de la guerre Iran/Irak de 80 à 88.) Le sous titre " témoignage" est juste : il s'agit du récit d'un témoin et d'un témoin qui a l'évidence aime ce pays.

mardi 29 octobre 2019

JNANI The silent sage of Arunachala


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Une merveille.
Mis en ligne le 25 mai 2018.

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dimanche 27 octobre 2019

samedi 26 octobre 2019

Hari Sharanam

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Je prends refuge en Dieu.
Et la magnifique voix de Swami Prem.

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vendredi 25 octobre 2019

jeudi 24 octobre 2019

Veillée pour le climat...


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Texte lu sur le Pont Neuf 
Shâlôm à toutes et à tous ; que la paix, la miséricorde du Seigneur et Sa bénédiction soient avec vous.
Je ne peux pas être des vôtres à l’occasion de la « Veillée pour le Climat » de ce lundi 23 septembre, à l’instigation des Chrétiens Unis pour la Terre. Je souhaite cependant soutenir cette initiative importante par ces quelques mots d’encouragement accompagnés d’une prière :
L’urgence climatique doit tous nous interpeler par-delà nos différences religieuses, nationales, culturelles, politiques et idéologiques. Cela participe de notre immense responsabilité ici-bas en tant qu’être humain vis-à-vis de la création.
Ceci est évoquée dans la Mishna (Sanhédrîn IV:5) : « Chacun doit se dire bishvîlî nivrâ hâ-‘ôlâm (le monde a été créé pour moi). » Ce n’est pas pour venir autoriser le pillage du monde, au contraire, c’est pour nous rendre responsable de celui-ci. C’est mon monde. Je suis concerné par celui-ci et j’en ai la responsabilité. À moi de faire tout pour le conserver et pour l’améliorer. Et commençons déjà par ce qui est possible à notre petit niveau.
En hébreu, le mot Èlôhîm – qui signifie Dieu – possède la même valeur numérique (86) que le mot haṭ-Ṭèva‘ – qui signifie la Nature. Respecter Dieu c’est donc respecter la nature.
L’argument financier est souvent invoqué pour justifier l’absence de décisions drastiques en faveur de l’écologie. Or, une convention ne saurait être plus importante qu’une réalité – c’est-à-dire que la logique inhumaine de notre système économique ultra-capitaliste ne devrait pas nous empêcher d’agir sur la tragédie écologique et climatique que ce système a lui-même créée.
Il y a suffisamment de richesses – et les moyens de les partager – dans ce village global qu’est devenu la Terre, afin que tous sans exception aient accès à l’eau, à la nourriture, au logement, à l’éducation, à la santé et à la sécurité – dans le respect de la nature et de l’environnement. Il suffit d’un peu plus de fraternité et de justice.
Il n’est pas encore trop tard pour nous transformer, mais le kairos du non-retour est imminent. Notre course aveugle vers l’autodestruction – où les ressources planétaires sont allègrement gaspillées, les biotopes jovialement empoisonnés, les espèces gaiement exterminées, la nature joyeusement détruite et le climat facétieusement bouleversé – peut être freinée. La direction que prendra notre avenir dépend de nous maintenant. Nous sommes responsables collectivement de ce qui nous arrivera.
Il est temps de passer au paradigme supérieur, de vivre enfin au niveau digne de notre nature divine. Ne sommes-nous pas tous créés « à [Son] image, selon [Sa] ressemblance » (Deutéronome I:26) ? Lorsque la masse critique de ceux qui s’engagent sera atteinte, le modèle dominant changera. Tel un « effet Gulliver » alternatif, où les petits, du fait de leur nombre, font chuter les géants – où le système hégémonique politico-financier planétaire choit grâce à la multiplication de micro-initiatives locales autonomes.
Ce monde meilleur, cette société globale apaisée et libérée – correspondant au paradigme messianique, au paradis ici-bas annoncé dans nos Saintes Écritures –, nous a été promis par les Prophètes. Espérons qu’il arrive vite (et sans heurts) ! Que s’accomplisse en nous ici-bas le verset (Psaumes 133:1) : « Qu’il est bon et qu’il est agréable le séjour des frères ensemble (hinné maṭ-ṭôv wuman-nâ‘îm shèvet aḥîm gam yâḥad). » Que Dieu vous bénisse. Âmén.
Rabbin Gabriel HAGAÏ

Le Rabin Gabriel Hagaï est très engagé dans le dialogue judéo-musulman
Merci Jean-Pierre.
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mercredi 23 octobre 2019

mardi 22 octobre 2019

La Révolte / Clara Dupont-Monod

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La révolte d'Alienor d'Aquitaine contre son deuxième époux, Henri Plantagenet, roi d'Angleterre...
Dans cette révolte qui est l'épisode central du récit, elle entraîne ses fils, Henri, Richard et Geoffroy, qui vont donc se battre contre leur père.
Le principal narrateur est justement un des fils, Richard, le fameux Richard Coeur de Lion, mais aussi à certains moments, Alienor qui prend elle-même en charge le récit.
C'est bien écrit et si comme moi vous aimez les récits historiques, vous allez passer un très bon moment.

lundi 21 octobre 2019

La citation du lundi

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" La seule chose qui importe vraiment, c'est d'amener l'homme à s'éveiller, à ouvrir son champ de conscience, à retrouver sa nature véritable, à être dans le monde pour devenir apte à retrouver un jour sa patrie d'origine."

Ostad Elahi

in Malek Jân Ne'mati
Leili Anvar 
 Diane de Selliers  Éditeur p7

Ostad Elahi ( 1895-1974 ) est le frère de Malek Jân Ne'mati.
C'est un magistrat, musicien et maître spirituel originaire du kurdistan iranien.

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dimanche 20 octobre 2019

Naci en Alamo / Yasmin levy

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Un grand classique de l'errance ....
Une chanson gitane d'origine grecque.

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samedi 19 octobre 2019

ज्योत से ज्योत जगाओ Jyot Se Jyot Jagao

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Pour Corinne qui est actuellement à Sadhana Kendra Ashram ...

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vendredi 18 octobre 2019

Le fin diseur / Pierre Repp


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Une partie de mon enfance !!

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jeudi 17 octobre 2019

La différence invisible / Mademoiselle Caroline & Julie Dachez


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Marguerite a 27 ans et une vie en apparence comme celle des autres, elle est jolie, intelligente, a  un travail, un amoureux.
Mais cette vie lui demande des efforts surhumains d'adaptation. Elle n'en peut plus et découvre un jour qu'elle est autiste Asperger... et là, tout prend sens : elle n'est pas malade mais son fonctionnement est différent. Elle va pouvoir enfin en tenir compte.
En fait, Julie Dachez s'inspire très fort de sa propre histoire. C'est probablement ce qui fait le ton si juste. Cette bande dessinée a en outre l'immense qualité de dévoiler très "pédagogiquement" l'univers "aspi". Un soulagement pour ceux qui du coup trouvent un sens à leurs difficultés, et un bel éclairage sur le monde de l'autre pour ceux qui ne sont pas "aspi".
À lire absolument et à faire circuler.

Merci, merci Sandrine.

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mercredi 16 octobre 2019

Ayurvéda

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Un livre très clair et bien fait sur l'ayurvéda.

Merci Sandrine 

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mardi 15 octobre 2019

Satsang with pujya Chandra Swamiji Udasin ( extrait ) 04/01/2018

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"Dieu est Sat chit Ananda. Il est présent en chacun de nous, en nous, il est ce qu'il y a de plus proche de nous, à l'intérieur de nous et nous pouvons sentit sa présence ou avoir l'expérience directe de Dieu quand nous allons à l'intérieur. Et pour aller à l'intérieur deux choses sont très importantes : l'une est l'absence de passion,  le dé- passionnement par rapport à ce monde, pour ce qui est dehors, et l'autre est la pratique pour aller à l'intérieur.Le dé- passionnement et la pratique sont les deux éléments de la sadhana spirituelle.
Le monde est temporel, transitoire, tout dans ce monde change, les choses changent, les relations du monde changent, elles ne sont pas permanentes. Si on pense à cela, si on y réfléchit, on atteint le dé-passionnement par rapport à ce monde. Si on est dé- passionné, il est plus facile de concentrer son esprit sur Dieu.
Deux choses, deux éléments sont nécessaires :  se concentrer à l'intérieur et considérer la présence de Dieu. L'une est le dé-passionnement par rapport à tout ce qui est temporel et transitoire, l'autre est la pratique qui vise à rendre le mental silencieux. C'est dans un mental silencieux et très pur que l'on peut avoir l'expérience directe de la Vérité.
Il y a deux obstacles pour voir le Divin à l'intérieur, ( termes sanscrits) l'impureté du mental et l'agitation du mental . Le mental bouge et il est très difficile de faire qu'il s'arrête de bouger. Mais c'est possible.
Deux choses sont importantes : le dé-Passionnement par rapport à ce qui est temporel et transitoire et la pratique du contrôle du mental. Si le mental est pur et qu'il ne bouge pas, alors on a l'expérience directe du Soi.
Maintenant, là, savez-vous qui vous êtes ,
Si vous demandez à quelqu'un "Qui êtes-vous ?", cette personne vous dira son nom et le pays d'où il ou elle vient. Mais ce n'est pas la vérité.
Il est très important de savoir qui nous sommes. "Qui suis-je ?". Ramana Maharshi avait l'habitude de dire que le plus important dans ce monde pour un être humain est de savoir "Qui suis-je ?"
Deux choses sont très importantes : le dé-passionnement par rapport à ce qui est temporaire et la pratique du contrôle du mental pour arrêter son mouvement.
Si vous avez le dé-passionnement par rapport à ce qui est temporaire et transitoire et que vous pratiquez tous les jours pour arrêter les mouvements de votre mental, alors vous serez capable de connaître "Qui suis-je?"
Si vous voulez voir votre visage dans un miroir et savoir comment est votre visage, deux choses sont importantes : le miroir doit être propre et il ne doit pas bouger. Alors seulement, vous pouvez voir votre visage dans le miroir tel qu'il est . De la même manière, si vous voulez connaître votre Soi Réel, deux choses sont importantes. L'une est la pureté de votre mental et l'autre sa stabilité. Le mental ne doit pas bouger, et c'est très difficile d'arrêter le mouvement du mental. C'est plus difficile que de devenir le président du Canada ou le président de n'importe quel pays. C'est très difficile mais ce n'est pas impossible. Cela peut être fait par la pratique et par le dé-passionnement  par rapport à ce qui est temporaire et transitoire. Si votre mental est pur et qu'il ne bouge pas, alors vous avez l'expérience directe de votre Soi Réel, de Qui vous êtes.
Donc, asseyez-vous en méditation, tous les jours et soyez dé-passionné par rapport à ce qui est temporaire et transitoire. Ce sont deux éléments importants.
Il y a de nombreuses méthodes pour arrêter le mouvement du mental, l'une de ces méthodes est d'être le témoin de votre mental. Soyez le témoin de votre mental et vous verrez que toutes les pensées de votre mental s'arrêtent. Le mental devient libre de toutes les pensées si vous ne vous identifiez pas à votre mental et le voyez comme le fait un témoin."

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lundi 14 octobre 2019

La citation du lundi


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"On trouve qu'on n'aime pas assez : 
comme c'est vrai, on n'aimera jamais assez."

Lettre de Charles de Foucauld à Marie Bondy
1er décembre 1916, jour de sa mort.

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dimanche 13 octobre 2019

samedi 12 octobre 2019

vendredi 11 octobre 2019

Parler pour ne rien dire / Raymond Devos


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Toujours d'actualité !

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jeudi 10 octobre 2019

Equatoria / Patrick Deville

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Errance africaine, Gabon, Angola, Congo...etc. Le fil rouge de départ : le déménagement du corps de Brazza d'Alger à Brazzaville où un monument coûteux et controversé a été érigé en son honneur. Pierre Savorgnan de Brazza, né italien et naturalisé français, immense explorateur des fleuves de l'Ouest africain. Brazza qui donna son nom à la capitale du Congo, Brazza qui dans sa dernière expédition verra, désespéré, qu'en remontant l'Ogooué, le Mpassa, il a ouvert la voie aux concessions de tous ordres, bois, caoutchouc, mines... qui pillent ce continent qu'il aime tant. Mais son rapport va disparaître et son personnage sera récupéré à la gloire de la colonisation.
On croise aussi au fil des pages, Albert Schweitzer débarquant à Lambaréné avec ses malles et son piano, Henry Stanley, journaliste puis explorateur, le "concurrent" anglais de Brazza qui, parti à la recherche de l'écossais Livingstone, eut cette phrase restée célèbre alors qu'après de longs mois d'expédition, il le trouvait enfin à Mugere, sur la rive Est de lac Tanganyika : " Dr Livingstone, I presume ? ", Tippu Tip, le fameux trafiquant d'esclaves et d'ivoire originaire de Zanzibar...
Passent au long de ce récit erratique les silhouettes de Karl Marx malade, venu se reposer à Alger avant d'aller mourir à Londres, celle d'Emin Pacha - de son vrai nom Schnitlzer, médecin et entomologiste juif originaire de Silésie - nommé par l'anglais Gordon, gouverneur d'Equatoria, une province de l'Empire Ottoman ( territoire actuel du Sud Soudan et de l'Ouganda), Che Guevara à la fin de sa vie sous le nom de Ramon Benitez..
Le lien est fait avec l'Afrique actuelle - celle de 2006 date à laquelle se situe le récit - . Denis Sassou Nguesso, Omar Bongo, Mobutu...
C'est une écriture fluide, à la fois très documentée et poétique en cela qu'elle évoque avec peu de mots.
Vous l'avez compris, j'ai beaucoup aimé.

mercredi 9 octobre 2019

Couleur !

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Pittoresque Burano, une île de la lagune vénitienne, 
connue pour ses maisons de pêcheurs aux couleurs vives.

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mardi 8 octobre 2019

Karen Blixen, une odyssée africaine / Jean-Noël Liaut

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Biographie de la période africaine de Karen Blixen.
Où l'on mesure la légère différence entre la réalité racontée ici, le récit qu'en fait Karen Blixen dans La ferme africaine et le film Out of Africa tiré du livre.

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lundi 7 octobre 2019

La citation du lundi


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" Je vais vous confier un grand secret. Quoi qu'il se passe en vous lorsque vous restez simplement attentif à ce qui survient chaque seconde dans votre esprit, c'est la méditation. Se détendre simplement dans cet état, c'est l'expérience de l'esprit naturel."

Yongey Mingyour Rinpotché
Le bonheur de la méditation 
Ed Fayard p 83 

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dimanche 6 octobre 2019

La Alegria / Yasmin Levy


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Les images du film sur la vie de Frida Kahlo...
Les


Les.

samedi 5 octobre 2019

Wartilla / Tinariwen


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Extrait du nouvel album de Tinariwen, Amadjar ( L'étranger de passage).

« Tout ce qui n’est pas n’existe pas et le désir n’y peut rien ».  chante Abdallah Ag Alhousseyni, un des chanteur et guitariste. Un retour aux sources avec la poésie tamasheq. Le dialecte est local, la poésie universelle.

Merci Jean.

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jeudi 3 octobre 2019

Scholae 2019

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Un lycée privé près de Montpellier. 

Merci Nadège pour le partage.

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mercredi 2 octobre 2019

La vie sauvage n'est pas loin...


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Carlo Cafferini

Sangliers, 
Parc Naturel Migliarino San Rossore Massaciuccoli, Toscana, Italy 

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mardi 1 octobre 2019

Amazonie


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Très clair en effet .

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