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Une histoire bouleversante, très dure, mais surtout,
un regard, une écriture qui font de cette lecture un grand moment de compassion...
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"Awake! The time is running out. Remember the Divine. Realize the Truth before life passes into death." Chandra Swami Udasin
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Une histoire bouleversante, très dure, mais surtout,
un regard, une écriture qui font de cette lecture un grand moment de compassion...
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Le chemin de la maîtrise est abrupt. Souvent plus rien d'autre ne soutient l'élève que la foi qu'il a en son Maître et dont il commence à entrevoir la maîtrise... Le Maître est l'exemple vivant du travail intérieur et convainc par sa seule présence.
Eugène Herrigel
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Nous avons appris la mort de François survenue le dimanche 12 juin au Congo, où il faisait des repérages pour un film en projet. C'est un accident qui a eu lieu devant son hôtel.
François était disciple d'Arnaud depuis de nombreuses années et beaucoup se souviennent de ses films et de sa présence discrète et profonde. Sa mort brutale est un rappel de la précarité de notre existence incarnée..
Nous pensons avec affection à lui et à sa famille en particulier sa femme et ses enfants.
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Vous aimez jouer ? Alors cliquez sur un des carrés en couleur
du plan du métro de Paris...
http://paris1900.
Merci Michel, c'est vrai, c'est magique !
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" La pratique de la méditation montre que si nous laissons nos pensées se calmer, nous pouvons demeurer quelques moments dans l'expérience non conceptuelle de cette conscience pure. C'est cet aspect fondamental de la conscience libre, que le bouddhisme appelle"nature de l'esprit"."
Matthieu Ricard
L'art de la médiation
Ed Pocket p 126
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Jacques Lusseyran est un résistant français qui fut déporté à Buchenwald.
Lors d'un accident à 8 ans avait perdu la vue.
Il a par la suite été professeur de littérature et de philosophie aux États-Unis
Il a écrit Et la lumière fut, un récit autobiographique passionnant.
Le voici interrogé par Pierre Desgraupes à propos du bonheur...
Cliquez ici
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Un extrait :
Mardi
"Un jour en Corse, près de Figari. Sur la plage nos hôtes ont organisé un spuntinu, comme on dit ici quand on prend du bon temps en même temps que le maquis. Autour du feu de bois, figatelle et vin de Sartène. Le ciel est une flanelle mitée de trouées solaires. La mer est en peau de taupe. Des blocs de granit roses encadrent la forêt d'arbousiers. Le genre de paysage que n'aiment pas les peintres : le travail est déjà fait. Une tour génoise veille, elle nous survivra. Soudain les invités lèvent la main dans un même mouvement. Ils prennent des photos, brandissent l'appareil à bout de bras. Ce geste, c'est le symbole de notre temps, la liturgie moderne. La société du spectacle a fait de nous des cameramen permanents. Quelle étrange chose, cette avidité de clichés chez des gens qui se pensent originaux. Quelle indigestion, quelle boulimie d'images. Plus tard, ils regarderont les photos et regretteront que le moment consacré à les prendre leur ait volé le temps où ils auraient pu s'incorporer au spectacle, en jouir de tous leurs sens et, le regard en haleine, célébrer l'union de l'oeil avec le réel."
Une très légère oscillation
Sylvain Tesson
Ed Pocket p 14
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" Si vous accueillez le bonheur qui est don de Dieu, pourquoi ne pas accepter de même le malheur ?"
Job 2,7
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