A l'attention du deuxième groupe en pleine préparation pour le Hoggar, de la part de Didier.
Sera comblé
Celui pour qui l'espace
Ne sera pas dehors.
.(Guillevic - 1981?)
Au hasard des petits poèmes d'un contemporain
lapidaires comme un haïku
direct, renversant, tranchant comme un sabre zen.
J'aime trouver cette parole en dehors des cercles "répertoriés"
et qui me rappelle tant la parole incisive de Douglas.
A bientôt
Je vous embrasse tous
Didier
et un autre
Le silence
Est le seul bruit
Qui te ramène à toi
Et te dilate.
6 commentaires:
Merci Didier.
Je t'embrasse aussi.
Bises a tous ceux et celles qui lisent ces lignes!
Jacques
oui on peut tomber mais en gardant l' équilibre.
on peut ramper mais en restant debout.
on peut souffrir mais en restant joyeux
JE m'emmerveille devant tant de talents de ce blog!
une parole qui ne dit plus ni rien ni tiens
un silence trop bruyant
la poésie oui toujours est là
merci les amis poètes
et à ceux qui marchent
mabes
le silence
mais quel silence?
celui qui est fermé, dérangé par le bruit, "murer dans son silence"
ou le silence ouvert, qui accueille ce qui est, bruit ou sans bruit, sans différence de joie.
Ok
le silence comme fontaine de vie et de joie
point nodal et point de réception, point de départ
la focale pas de focalisation
la pratique et ce blog me tient debout
bises à tous d'un bois ensoleillé, fleuri
M
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