Une fois n'est pas coutume, cette citation est en fait un extrait du livre dont j'ai parlé mardi 28 juin.Une incitation à la paix et à la contemplation des arbres, le Peuple Debout, comme disent les amérindiens...
"Petit à petit, sur son rondin, il se détendit d'une manière qu'il ne pouvait connaître que dans la solitude. Il aimait observer les arbres et aimait les voir suivre le cycle des saisons, leurs feuilles se parant d'un vert intense lorsqu'elles se dépliaient, puis virant au rouge vif et au brun avant de tomber enfin. Les arbres ne répondaient pas avec insolence, ils ne faisaient pas exprès de désobéir et ils ne se moquaient pas de lui. S'ils étaient là, ce n'était pas pour le tourmenter; s'ils étaient là, ce n'était pas pour lui du tout. Peu leur importait que James soit assis sous leur frondaison, et de cela James leur était profondément reconnaissant."
À l'orée du verger, Tracy Chevalier, Ed L'aube p 60/61
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1 commentaire:
Ce qui me parle dans ce texte, c'est que les arbres ne nous accordent pas d'attention, (ils en ont peut-être une?).
Cependant nous, nous pouvons revenir à cette Attention, qui elle aussi, n'est pas là pour "nous"...
JP gepetto
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