Tu prends un pinceau
Et compose un portrait
Tes yeux y contemplent la lune
Qui flotte par dessus les toits
Et l'encre trace un poème en chinois
Tu t’y pressens nuage,
Sans attache ni séjour
Dérivant par le ciel en haut, en bas
Partout
moi-nuage sans plus de demeure ni de rêves
Carpe agile et nerveuse fouettant l'air
Pas une écaille qui ne soit libre
D'elle même
Le glaire de l'œil
Miroir poli
retourne à l'eau qui l'a fait naître
2 commentaires:
Merci Corinne,
C est beau
Karl
Transparence......notre véritable nature.
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