I love you /Omer Faruk Tekbilek /Hasan Isakkut / Farah Fersi

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Tigres...

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Il construit un fauteuil roulant pour le pape François avec du bois de N...

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Quelle merveille de créativité : comment transformer des poutres incendiées et un accident dans les Calanques en une oeuvre d'art et de vie...

Bravo à ce jeune homme !

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Les enquêtes du capitaine Anato en Amazonie française / Colin Niel

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Voici encore une série policière,  à lire dans l'ordre :

Les hamacs de carton

Ce qui reste en forêt

Obia

Sur le ciel effondré

Le capitaine Anato est d'origine Guyannaise bien qu'il ait vécu son enfance et toute sa formation de gendarme en France. Dans le premier tome, il revient s'installer en Guyane et découvre sa terre. Les quatre opus vont nous la faire connaître à travers quatre enquêtes mais aussi à travers le regard d'Anato et sa métamorphose. Au fur et à mesure du temps, il découvre  son passé familial, la culture des Noirs marron plus précisément celle des Ndjukas, leur langue et leur spiritualité, le monde des orpailleurs, des trafiquants de l'or, celui des Créoles, l'immensité de la forêt et la vie des Amérindiens qui tentent d'y vivre encore...C'est foisonnant, dense comme la végétation de l'Amazonie, complexe et nuancé. L'écriture très riche de Colin Niel nous plonge dans la moiteur de l'air saturé de pluie. On entend le cri des oiseaux sentinelle, les musiques des bidonvilles où échouent les réfugiés des guerres  et de la misère, on sent la puissance du fleuve, l'entrelacement des langues, des cultures, des couleurs de peaux, la présence de l'histoire - esclavage, colonisation - et de la géographie avec le Suriname et le Brésil, tout proches. C'est parfois noir mais les personnages sont attachants, tellement humains jusque dans leurs dérives. C'est un roman policier bien sûr mais aussi un roman d'initiation. Anato, le capitaine de gendarmerie élevé en banlieue parisienne dans une rationalité à la française, structurante mais un peu courte  va devoir intégrer la part plus féminine, irrationnelle, la puissance du mythe et du sacré de ses origines noires marron. Cette intégration passe par des morts symboliques et des renaissances. Il est jeune encore mais fait partie de ce que l'on appelle les hommes de bonne volonté. De ceux qui, face à la misère du monde, gardent espoir et essaient ... C'est d'ailleurs ainsi que se termine le quatrième tome - pour moi le meilleur - : "Au moins faire cela : essayer."

Bonne lecture !

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La paresse ...

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La paresse est une valeur humaine qui est en train de disparaître. C'est fou ce qu'à notre époque les gens peuvent être actifs. Que quelques amis se réunissent le dimanche pour un bon déjeuner, à peine la dernière bouche avalée, il se trouve toujours quelqu'un pour demander: "Alors, qu'est-ce qu'on fait?" Une espèce d'angoisse bouleverse ses traits, tant est grand son désir de faire quelque chose. Et il insiste: "Qu'est-ce qu'on fait? - Mais rien!", ai-je toujours envie de répondre. Pour l'amour de Dieu, ne faisons rien. Restons un bon après-midi sans rien faire du tout. Çà ne suffit donc pas d'être avec de bons amis, de jouer à sentir cet invisible courant qui, dans le silence, règle les cœurs à la même cadence, de regarder le jour décroître sur les toits, sur la rivière, ou plus simplement sur le coin du trottoir?

J'exagère sans doute. C'est que j'aime tant la paresse, mais la vraie paresse, consciente, intégrale, que je voudrais bien lui trouver toutes les bonnes vertus. Bien sûr elle est comme toutes les bonnes choses, comme le vin, comme l'amour; il faut la pratiquer avec modération. Mais croyez-moi, la terre ne tournerait pas moins rond si ses habitants avaient le courage de se forcer chaque semaine à rester quelques heures bien tranquilles, sans occupation apparente, à guetter les signaux invisibles et puissants que vous adresse le monde vaste et généreux.

Jean Renoir

Photo de Robert Doisneau (1959)

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La citation du lundi

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"Il est possible que le progrès soit le développement d'une erreur."

Jean Cocteau

Cité par Sylvain Tesson

Les Chemins noirs

Folio p71

Ave Verum /Karl Jenkins

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Somewhere Over The Rainbow | Tommy Emmanuel

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Rendez-vous le 23 septembre

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Le parc de la Source Bleue

Le blog est en vacances jusqu'au 23 septembre pour cause de retraite de méditation dans le Lot...

C'est un grand bonheur pour nous de retrouver la Source Bleue 

pour cinq jours  de silence et de douceur.

La bambouseraie le long du Lot

Si vous êtes intéressé par une prochaine session, nous contacter par mail.

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"I'm getting sentimental over you" /Swing Road

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Le quartet où joue notre ami JFL ....

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"Ile de Ré"/Nougaro & Pontieux / Anna Pietrzak

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Merci Monique !

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Santé...

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Samarra

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À Bagdad, un serviteur se rend au marché. Là, il tombe sur une vieille femme. En se retournant, il reconnaît la Mort. La Mort le foudroie du regard et le serviteur, effrayé, s'enfuit en courant. Il va tout droit voir son maître et lui explique qu'il a croisé la Mort au marché et qu'il doit partir au loin pour sauver sa vie. Le maître lui donne un cheval et le serviteur galope sans s'arrêter jusqu'à Samarra, où il sait que la Mort ne le trouvera pas.

Plus tard, le même jour, le maitre se rend au marché et il y rencontre la Mort à son tour. il lui demande pourquoi elle a effrayé son serviteur et la Mort lui explique qu'elle n'avait pas l'intention de l'effrayer. Elle a seulement été surprise.

La Mort dit : "J'ai seulement été surprise de le voir au marché. Parce que j'ai rendez-vous avec lui ce soir. À Samarra."

Somerset Maugham d'après une histoire ancienne.

 cité dans Un long retour de Louise Penny

Ed Babel noir p 106-107

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La nuit du cerf HD/ Vincent Munier

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Cheika Nur invitée du Forum de À ciel Ouvert

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La citation du lundi

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"Lorsque nous est donnée la grâce de dire OUI ! aux circonstances dans lesquelles nous nous trouvons, de consentir activement, plutôt que de se résigner passivement à tout ce qui advient, alors jaillit cette joie réelle et durable que la tradition orientale nomme ananda."

 

Douglas Harding

Cité par Gilles Farcet L'homme  se lève à l'ouest Albin Michel 1992

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One Silver Dollar /Erik Truffaz /Camélia Jordana

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Farewell Angelina (1965) /Joan Baez

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Les vagues et l'Océan...

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Le début de la sagesse

 

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Dans la série policière de Louise Penny, les enquêtes de l'inspecteur chef Armand Gamache, voici les quatre phrases que selon Gamache tout individu doit savoir dire : c'est LE conseil qu'il donne aux jeunes recrues qu'il forme...

- Je ne sais pas

- Je suis désolé

- J'ai besoin d'aide

- Je me suis trompé

À méditer...

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