Ryan Hipwood tombe dans un mur sur le spot de Shipsterns Bluff sur la côte de Tasmanie le 11 octobre 2008. Cette photo a été retenue aujourd'hui par le jury du Oakley-Surfing Life Big Wave Awards..
dimanche 30 novembre 2008
Grosse vague !
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Ryan Hipwood tombe dans un mur sur le spot de Shipsterns Bluff sur la côte de Tasmanie le 11 octobre 2008. Cette photo a été retenue aujourd'hui par le jury du Oakley-Surfing Life Big Wave Awards.
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Ryan Hipwood tombe dans un mur sur le spot de Shipsterns Bluff sur la côte de Tasmanie le 11 octobre 2008. Cette photo a été retenue aujourd'hui par le jury du Oakley-Surfing Life Big Wave Awards..
Et le temps passe.......
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Ce texte écrit par une personne atteint de la maladie de parkinson a été lu à l'orangerie par Laurent Darmon qui nous le transmet :
Ce texte écrit par une personne atteint de la maladie de parkinson a été lu à l'orangerie par Laurent Darmon qui nous le transmet :
Le temps passe,
Je regarde le présent en m’efforçant de l’accepter tel qu’il est.
J’apprends à apprécier les capacités qui me restent,
Et ce qu’il m’est donné de vivre, au lieu de considérer mes manques.
Demain est un autre jour, qu’il garde son mystère.
Demain n’est pas utile à aujourd’hui.
Demain est un mythe
Il est chargé de croyances en ce qu’il me faudrait maintenant,
Mais il demeure éternellement « à venir ».
En misant tout sur « demain »
Je n’ai plus rien à attendre pour « aujourd’hui »,
Et je laisse passer sans les voir, sans les entendre et sans les goûter,
Mille et un bonheurs qui ne seront peut-être plus là demain
Dans ce tourbillon du temps absent,
Quand j’en aurai fini avec « demain », il me restera « hier ».
Oui vraiment, c’était bien « hier »
Et dire que « demain » est devenu « hier »
Mais où est donc passé « aujourd’hui…?
Qu’en ai-je fait…?
Jacqueline Montigny
Mars 1996
Alleluhia !
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Et oui, désolé, le feuilleton n'est pas terminé. La bonne nouvelle c'est qu'il devrait se terminer en janvier (prochain!) Hier deux heures de cours dont une heure de circulation par une température d'environ 1 ou 2 degrés. C'était bien, sauf pour les mains que j'essayais de réchauffer tant bien que mal sur le moteur aux feux rouges ! (avec les gants!)
Je crois pouvoir dire que le fameux "déclic" dont parlait Mr Legendre, c'est produit hier sur le parcours lent. Facile, plutôt à l'aise, agréable même, je sens maintenant que c'est devenu possible. Serge est content de moi. Je bosse mes fiches. A suivre........
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Et oui, désolé, le feuilleton n'est pas terminé. La bonne nouvelle c'est qu'il devrait se terminer en janvier (prochain!) Hier deux heures de cours dont une heure de circulation par une température d'environ 1 ou 2 degrés. C'était bien, sauf pour les mains que j'essayais de réchauffer tant bien que mal sur le moteur aux feux rouges ! (avec les gants!) Je crois pouvoir dire que le fameux "déclic" dont parlait Mr Legendre, c'est produit hier sur le parcours lent. Facile, plutôt à l'aise, agréable même, je sens maintenant que c'est devenu possible. Serge est content de moi. Je bosse mes fiches. A suivre........
Miracle Maker : le texte
Je viens de découvrir "par hasard" cette chanson et la vidéo qui l'accompagne. Miracle Maker par le groupe Delirious. La personne qui a fait le montage a bien pris soin d'associer images et paroles. C'est très bien fait. Beau récit de l'évolution du disciple également
En voici, ma version bilingue.
Olivier
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Miracle Maker
I’m waiting here for my life to change,
J’attends ici que ma vie change,
When the waters stir you can rearrange me.
Quand les eaux sont agitées tu peux me reconstruire
Just one touch is all I need,
Un seul contact est tout ce dont j’ai besoin,
I’m nothing much but the wounds I feel,
Je ne suis guère plus que les blessures que je ressens
I’m looking for the hand of the miracle man.
Je recherche la main de l’homme-miracle
Holy, you are holy,
Saint, tu es saint
Who was and is and is to come.
Qui était, qui est, qui est à venir
Holy, you are holy, Saviour, Healer,
Saint, tu es saint, Sauveur, Guérisseur
I’m standing at the feet of the miracle maker.
Je suis aux pieds du créateur de miracle
I’m holding on, with your life in mine,
Je tiens bon, avec ta vie dans la mienne
Living water’s come,
Les Eaux Vivantes sont arrivées
And you’ve rearranged me.
Et tu m’as reconstruit
Holy you are holy,
Saint, tu es saint
Who was and is and is to come.
Qui était, qui est, qui est à venir
Holy, you are holy,
Saint, tu es saint
Saviour, healer,
Sauveur, guérisseur
I’m staring in the face of the miracle maker.
Je fixe le regard du créateur de miracle
Holy, you are holy,
Saint, tu es saint
Who was and is and is to come.
Qui était, qui est, qui est à venir
Jesus, precious Jesus,
Jésus, précieux Jésus,
Thank you, Saviour,
Merci, Sauveur,
I’m walking in the shoes of my miracle maker.
Je marche dans les pas de mon créateur de miracle
I’m standing with the faith of a miracle maker.
Je suis debout avec la foi d’un créateur de miracle
Olivier
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samedi 29 novembre 2008
And the Winner is ......
.....LA COCCINELLE !!!
Après un coude-à-coude acharné avec son amie la souris, c'est finalement la coccinelle qui remporte notre grand sondage !
Un grand merci aux 176 participants ! Franchement nous ne nous attendions pas à un tel succès ! Vous avez été formidables de tous jouer le jeu...
Et puis pour rien vous cacher, de ce côté ci de l'écran, on est content que ce soit la ptite bête à bon dieu qui ait remporté la course... elle faisait partie de nos favorites ;-)
Il vous faudra maintenant patienter jusqu'au 21 décembre, jour des 1 an de notre petit Gabin, pour avoir LA photo sur votre blog favori.
En attendant, Gabin prend son micro-arrosoir (rouge, comme vous pourrez le remarquer !) pour vous remercier !
Beau we à tous et à bientôt pour un nouveau sondage ;-)
Plus que 8 heures !
Plus que 8 heures pour notre grand sondage pour Gabin. 166 participations, c'est impressionnant!Nous avons assisté ces derniers jours à un chassé-croisé entre la Souris et la Coccinelle. La Souris est restée deux ou trois jours en tête. Mais l'avance prise par la Coccinelle semble définitive. Mais ce n'est pas fini. Avez-vous voté ?
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La leçon des oies
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Fait N° 1 : en battant des ailes, chaque oie provoque un courant ascendant pour celles qui suivent. En volant en formation en V, la volée d'oies augmente d'au moins 71% sa durée de vol par rapport à un oiseau qui vole seul.
Leçon : les personnes qui vont dans la même direction et partagent un esprit d'équipe peuvent se rendre plus rapidement et plus facilement à destination, puisqu'elles se déplacent en s'appuyant sur leur poussée mutuelle.
Fait N° 2 : quand une oie sort de la formation, elle ressent soudainement la résistance qu'il y a à voler seule. Elle revient vite dans la formation pour profiter de la force ascendante produite par l'oiseau qui la précède.
Leçon : si nous avons autant de bon sens qu'une oie, nous resterons en formation avec ceux qui vont dans la même direction que nous.
Fait N° 3 : quand l'oie de tête est fatiguée, elle fait une rotation vers l'arrière et une autre oie prend sa place.
Leçon : ça vaut la peine d'assumer les tâches difficiles à tour de rôle et de partager le leadership. Comme les oies, les gens dépendent mutuellement des compétences et aptitudes qu'ils possèdent, comme du mélange unique de dons, de talents et de ressources qui sont propres à chacun.
Fait N° 4 : les oies de derrière cacardent (klaxonnent) pour encourager celles de devant à maintenir leur vitesse.
Leçon : veillons à ce que nos propres « coups de klaxon » soient réellement encourageants. Dans les groupes où l'on s'encourage mutuellement, la productivité est toujours beaucoup plus importante. Le pouvoir que nous donnent les encouragements (s'en tenir à ses valeurs fondamentales et à ce que dit son cœur, et encourager les valeurs et la fidélité au cœur des autres), voilà la qualité de « klaxon » que nous devons viser.
Fait N° 5 : quand une oie est malade, blessée ou touchée par des balles de fusil, deux autres oies sortent de la formation et la suivent jusqu'à terre, pour l'aider et la protéger. Elles restent avec l'oie blessée jusqu'à ce qu'elle soit capable de voler ou qu'elle meure. Ensuite, elles repartent avec une autre formation ou rejoignent leur groupe.
Leçon : si nous avons autant de bon sens qu'une oie, nous ne nous abandonnerons pas les uns les autres quand cela va mal.
Marie-José Bernaille
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vendredi 28 novembre 2008
Et toi pour Noël ?
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Joseph nous présente sa ménagerie
et aussi la crèche en boites d'œufs dont il est très fier.......
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Joseph nous présente sa ménagerie et aussi la crèche en boites d'œufs dont il est très fier.......
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Rumi encore et toujours
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La source des eaux vives est dans ta tête, et dans tes yeux;
Occupe-toi de ta tête - mais en réalité tu en as deux : Cette tête d'argile vient de la terre, et cette tête pure vient du ciel.
Oh! combien de têtes pures ont roulé dans la poussière, Pour que tu saches que c'est de cette autre tête que dépend celle-ci!
Cette tête originelle est cachée, cette tête dérivée est manifeste:
Derrière ce monde-ci, se trouve l'univers infini.
jeudi 27 novembre 2008
Djalâl-od-Dîn-Rûmî
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Veux-tu que se dévoile pour toi l'existence du Bien-Aimé?
Renonce aux apparences, pénètre dans le réel.
Quand tu deviendras pur de toi-même,
Tu pourras te voir grâce à ton ancien ami.
Sans miroir, tu ne peux voir ton visage.
Regarde le Bien -Aimé : pour toi, c'est un miroir.
Si tu regardes l'extérieur, tu vois le visage de l'homme
Tu vois les créatures étranges de Bysance et de Khorassan
Dieu a dit "Retourne-toi", et se retourner, c'est ceci:
Regarder à l'intérieur, pour voir autre chose que l'homme.
mercredi 26 novembre 2008
Jean-François
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On me demande souvent si le iPapy me prend du temps, sous entendu beaucoup de temps. La réponse est oui et non.
Bien sûr, je passe pas mal d’heures chaque semaine devant l’écran de mon MacBook mais vous l’avez bien compris le Blog est surtout une affaire de collaboration, une histoire de groupe, d’équipe, et c’est bien ce qui me réjouis.
C’est d’abord une histoire de couple, Corinne est très active sur le Blog et elle me soutient, m’encourage et me conseille dans cette tâche quotidiennement. C’est aussi, vous le savez une histoire de famille. Vous connaissez bien Valérie, Adrien et Julie qui vient d’assurer le dernier intérim avec brio.
Mais c’est aussi et surtout une histoire de fraternité et d’amitié avec vous toutes et vous tous. Vous êtes de plus en plus nombreux à m’envoyer chaque jour des documents. Il m’arrive quelquefois de recevoir le même une dizaine de fois. Mon « job » consiste alors à lire, visionner, écouter et publier en fonction de ma propre sensibilité, de mes propres goûts. C’est vous toutes et vous tous qui faites le Blog et j’aime ça.
Parmi tous ces collaborateurs et collaboratrices, plusieurs ont une place particulière. Ce sont les grands pourvoyeurs de documents et surtout on peut le dire : les programmateurs musicaux du ipapy.
Puisque la catégorie la mieux fournie (et de loin), est la catégorie musicale. Ces collaborateurs je souhaite vous les présenter.
Aujourd’hui je commence par mon ami Jean-François Loué. Je connais Jean-François depuis trente ans, bien avant l’aventure d’Ardenne à laquelle il a largement participé et un lien profond et subtil nous unit.
Jean-François a 54 ans, il enseigne les arts plastiques mais c’est avant tout un musicien dans l’âme, un grand batteur de jazz et un pianiste.
Jean-François aurait pu facilement être un professionnel de la musique mais la vie en a pour l’instant décidé autrement et d’ailleurs pour l’essentiel cela n’a pas d’importance. Jean-François est un disciple et un guerrier toujours en quête d’impeccabilité et de justesse. Je rends grâce au Blog qui nous a permis de renouer notre relation et de découvrir une belle et fraternelle collaboration.
Merci Jean-François continue à nous régaler avec tes connaissances musicales et tes découvertes.
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Bien sûr, je passe pas mal d’heures chaque semaine devant l’écran de mon MacBook mais vous l’avez bien compris le Blog est surtout une affaire de collaboration, une histoire de groupe, d’équipe, et c’est bien ce qui me réjouis.
C’est d’abord une histoire de couple, Corinne est très active sur le Blog et elle me soutient, m’encourage et me conseille dans cette tâche quotidiennement. C’est aussi, vous le savez une histoire de famille. Vous connaissez bien Valérie, Adrien et Julie qui vient d’assurer le dernier intérim avec brio.
Mais c’est aussi et surtout une histoire de fraternité et d’amitié avec vous toutes et vous tous. Vous êtes de plus en plus nombreux à m’envoyer chaque jour des documents. Il m’arrive quelquefois de recevoir le même une dizaine de fois. Mon « job » consiste alors à lire, visionner, écouter et publier en fonction de ma propre sensibilité, de mes propres goûts. C’est vous toutes et vous tous qui faites le Blog et j’aime ça.
Parmi tous ces collaborateurs et collaboratrices, plusieurs ont une place particulière. Ce sont les grands pourvoyeurs de documents et surtout on peut le dire : les programmateurs musicaux du ipapy.
Puisque la catégorie la mieux fournie (et de loin), est la catégorie musicale. Ces collaborateurs je souhaite vous les présenter.Aujourd’hui je commence par mon ami Jean-François Loué. Je connais Jean-François depuis trente ans, bien avant l’aventure d’Ardenne à laquelle il a largement participé et un lien profond et subtil nous unit.
Jean-François a 54 ans, il enseigne les arts plastiques mais c’est avant tout un musicien dans l’âme, un grand batteur de jazz et un pianiste.
Jean-François aurait pu facilement être un professionnel de la musique mais la vie en a pour l’instant décidé autrement et d’ailleurs pour l’essentiel cela n’a pas d’importance. Jean-François est un disciple et un guerrier toujours en quête d’impeccabilité et de justesse. Je rends grâce au Blog qui nous a permis de renouer notre relation et de découvrir une belle et fraternelle collaboration.
Merci Jean-François continue à nous régaler avec tes connaissances musicales et tes découvertes.
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Invitation pour le Salon “Bâtir Ecologique”
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Le salon National de la construction Ecologique et de l’Habitat sain à Paris Les 28, 29 et 30 novembre 2008 Où : A la grande Halle de la Villette, Espace Charlie Parker Depuis 5 ans, le salon Bâtir Ecologique est le rendez vous national des passionnés de la construction écologique et de l’habitat sain.
C’est aussi un rendez vous pour les maîtres d’ouvrage public et privé, les auto-constructeurs et les curieux qui auront peut être un jour un projet de construction. Des conférences, des ateliers, un grand espace de démonstration de construction en paille, en terre, en bois et autres matériaux, qui aideront les décideurs comme le grand public à prendre conscience que construire sain et écologique c’est vital pour la santé et pour l’environnement et que techniquement c’est possible et financièrement accessible.
Après cette "page de publicité", je vous invite à visiter le site bâtir écologique sur lequel vous trouverez, le programme des conférences, des ateliers et toutes les informations utiles pour vous y rendre : http://www.batirecologique.com
Exposante sur le salon, je peux faire profiter ceux qui le souhaitent, d’invitations gratuites, faites le moi savoir par mail. contact@geobiologue.fr
Marie-Laure Duigou
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Désert et Hutte à Sudation
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J’ai souvent à répondre à la question suivante : mais pourquoi est-ce que tu aimes tant aller dans le désert ?
Merci Martine car dans « Fleurs du Désert » que tu m’as envoyé j’ai trouvé une histoire qui répond parfaitement à cette question. Elle est racontée par Christiane Singer.
« Voici l’histoire du jeune rabbi Yaakou-Vizthak, qui est appelé aussi le Voyant de Lublin. À l’âge de trois ans, il s’échappe toujours et un jour son maître lassé de le punir, le suit là où il va. Il s ‘aperçoit qu’il disparaît dans la forêt et qu’au milieu d’une clairière, cet enfant de quatre ans crie : « Écoute, écoute, Israël, Dieu est ton Dieu. » Depuis ce jour, ses fugues ne sont plus punies. Mais son père qui veut comprendre aussi lui demande :
« Pourquoi t’échappes-tu sans cesse dans la forêt ?
- Je cherche Dieu », dit l’enfant.
« Mais, dit le père, Dieu n’est-Il pas partout ?
- Oui, dit l’enfant, Dieu est partout.
- Dieu n’est-il pas partout le même !
- Oui, dit l’enfant, Dieu est partout le même. Mais moi, je ne suis pas le même partout. »
Voilà, c’est aussi simple que ça. Un petit enfant le sait : Dieu est partout le même, mais nous ne sommes pas partout ouverts, simples, réceptifs, prêts à honorer et à vivre Sa Présence.
Et j’ai découvert ce WE un autre lieu, ou non-lieu qui permet de vivre l’Ouvert : c’était dans une Hutte à Sudation. Rien à voir en apparence avec le désert si ce n’est qu’on y est aussi nu et vulnérable !
Corinne
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J’ai souvent à répondre à la question suivante : mais pourquoi est-ce que tu aimes tant aller dans le désert ?
Merci Martine car dans « Fleurs du Désert » que tu m’as envoyé j’ai trouvé une histoire qui répond parfaitement à cette question. Elle est racontée par Christiane Singer.
« Voici l’histoire du jeune rabbi Yaakou-Vizthak, qui est appelé aussi le Voyant de Lublin. À l’âge de trois ans, il s’échappe toujours et un jour son maître lassé de le punir, le suit là où il va. Il s ‘aperçoit qu’il disparaît dans la forêt et qu’au milieu d’une clairière, cet enfant de quatre ans crie : « Écoute, écoute, Israël, Dieu est ton Dieu. » Depuis ce jour, ses fugues ne sont plus punies. Mais son père qui veut comprendre aussi lui demande :
« Pourquoi t’échappes-tu sans cesse dans la forêt ?
- Je cherche Dieu », dit l’enfant.
« Mais, dit le père, Dieu n’est-Il pas partout ?
- Oui, dit l’enfant, Dieu est partout.
- Dieu n’est-il pas partout le même !
- Oui, dit l’enfant, Dieu est partout le même. Mais moi, je ne suis pas le même partout. »
Voilà, c’est aussi simple que ça. Un petit enfant le sait : Dieu est partout le même, mais nous ne sommes pas partout ouverts, simples, réceptifs, prêts à honorer et à vivre Sa Présence.
Et j’ai découvert ce WE un autre lieu, ou non-lieu qui permet de vivre l’Ouvert : c’était dans une Hutte à Sudation. Rien à voir en apparence avec le désert si ce n’est qu’on y est aussi nu et vulnérable !
Corinne
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mardi 25 novembre 2008
Wittgenstein
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Voici un texte de Ludwig Wittgenstein proposé par Julien, il est un peu difficile mais se laisse "comprendre" de façon expérimentale avec la clé de la "flèche rouge" ( cf: groupe d'approfondissement Hautevillien..) c'est une façon de dire que nous ne sommes pas une chose (mais la "limite du monde") et que le moi pensant n'existe que comme... pensée.
« 5.631 – Il n'y a pas de sujet pensant, capable de représentation.
Si j'écrivais un livre « le monde tel que je l'ai trouvé », il faudrait aussi y parler de mon corps et dire quels sont les membres soumis à ma volonté, quels autres ne sont pas, etc.; c'est là en effet une méthode qui consiste à isoler le sujet ou plutôt à montrer qu'en un sens important il n'y a pas de sujet: c'est la seule chose dont il ne saurait être question dans ce livre.
5.632 – Le sujet n'appartient pas au monde, mais il constitue une limite du monde.
5.633 – Où dans le monde remarquerait-on un sujet métaphysique?
Vous dites que le rapport est ici tout semblable à celui de l'oeil et du champ de vision. Mais vous ne voyez réellement pas l'oeil.
Et rien dans le champ de vision ne permet de conclure qu'il est vu par l'oeil.
(...)
« 5.641 – Il y a donc réellement un sens dans lequel il peut être question d'un moi non psychologique en philosophie...
Le moi philosophique n'est pas l'homme, ni le corps humain, ni l'âme humaine dont traite la psychologie, mais le sujet métaphysique, la limite -non pas une partie du monde. »
L. Wittgenstein Tractatus Logico-Philosophicus (p.141.. de coll tel gallimard)
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lundi 24 novembre 2008
Bonne journée Romane...
La neige c'était un rêve pour toi...Le voilà réalisé !
Profites-en pleinement.
Et garde la leçon : les rêves sont faits pour être réalisés.
Témoignage de Karl
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Par où commencer ? Mon intention première : me ‘nourrir ‘.
Me nourrir du désert, de son espace, de sa beauté, de son silence, de tout ce qui se présente.
Et effectivement le désert m’a nourri bien au-delà de mes espérances.
Moi qui ne suis pas un ‘caillouteux’, je suis tombé amoureux dès les premiers instants de ces énormes massifs rocheux !
Ils sont incroyables et il y en a partout, plus beaux les uns des autres !
La beauté des paysages est à couper le souffle, vraiment !
Par moment je ne savais plus où j’étais : sur la lune ? Dans un film d’aventure ? Les indiens allaient ils nous attaquer ? Etais je en train de rêver ?
Je suis maintenant certain que la beauté a un pouvoir transformateur.
Il suffit pour cela de voir à quel point cette aventure a ouvert les visages des participants : une métamorphose !
La rencontre avec ces paysages a donc été pour moi très forte.
Mais cela ne s’est pas arrêté là : j’ai aussi fait connaissance avec notre guide Entayent.
Ce guide Touareg de 72 ans vaut à lui seul le déplacement !
Sa démarche est une leçon de vie : parfaitement régulière, il ne dépense pas une once d’énergie de plus que nécessaire et il est infatigable. Mais ce qui est le plus marquant chez lui ce sont ses qualités humaines : l’attention à l’autre, la disponibilité, la patience, la gentillesse…
En le regardant on a une illustration vivante de ‘faites ce que vous paraissez faire’ : quand il marche il marche, quand il s’occupe de la caravane il s’occupe de la caravane … Aucune précipitation mais ce qui doit être fait est fait.
Le mode de vie Touareg est en complète harmonie avec le milieu : pas de déchet, rien d’inutile et l’on prend à la nature que ce qui est nécessaire et rien de plus. Quelle leçon !
J’ai aimé regarder les Touaregs le soir autour feu avec la lune dans le ciel et écouter Entayent nous raconter ses histoires d’antan quand il y avait encore les grandes caravanes. Que de moments magiques !
Et puis le groupe ! C’est ce qui m’a le plus étonné moi qui ne suis pas trop ‘groupe’.
J’ai vu un vrai groupe se former et cela m’a beaucoup touché : plein d’attentions les uns pour les autres alors que nous étions tous si différents. Les prises du paroles du soir que je n’aimais pas trop au début sont devenues une vraie nourriture : un échange vrai.
Pour conclure je dois dire que cette aventure est pour moi la plus belle que j’ai vécu.
Elle a constitué pour moi une vraie nourriture, très fine.
Le désert résonne encore en moi.
Je ne remercierai jamais assez Corinne et Alain sans qui cette aventure n’aurait pas été possible. Ils ont toujours été très disponibles et à l’écoute de chacun de nous.
Je suis convaincu que le désert a donné à chacun ce dont il avait besoin et a dénoué définitivement certains nœuds pour plusieurs d’entre nous.
Personnellement cela m’a nourri profondément, m’a redonné beaucoup d’énergie et l’envie d’oser essayer de réaliser certains rêves qui me sont chers.
Je sais que c’est la crise financière mais mon mot final est : ALLEZ Y ! VOYEZ PAR VOUS-MEME !
La vie est courte et ça en vaut vraiment la peine.
Personnellement je suis partant pour renouveler l’expérience, Inch Allah !
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Me nourrir du désert, de son espace, de sa beauté, de son silence, de tout ce qui se présente.
Et effectivement le désert m’a nourri bien au-delà de mes espérances.
Moi qui ne suis pas un ‘caillouteux’, je suis tombé amoureux dès les premiers instants de ces énormes massifs rocheux !
Ils sont incroyables et il y en a partout, plus beaux les uns des autres !
La beauté des paysages est à couper le souffle, vraiment !
Par moment je ne savais plus où j’étais : sur la lune ? Dans un film d’aventure ? Les indiens allaient ils nous attaquer ? Etais je en train de rêver ?
Je suis maintenant certain que la beauté a un pouvoir transformateur.
Il suffit pour cela de voir à quel point cette aventure a ouvert les visages des participants : une métamorphose !
La rencontre avec ces paysages a donc été pour moi très forte.
Mais cela ne s’est pas arrêté là : j’ai aussi fait connaissance avec notre guide Entayent.
Ce guide Touareg de 72 ans vaut à lui seul le déplacement !
Sa démarche est une leçon de vie : parfaitement régulière, il ne dépense pas une once d’énergie de plus que nécessaire et il est infatigable. Mais ce qui est le plus marquant chez lui ce sont ses qualités humaines : l’attention à l’autre, la disponibilité, la patience, la gentillesse…
En le regardant on a une illustration vivante de ‘faites ce que vous paraissez faire’ : quand il marche il marche, quand il s’occupe de la caravane il s’occupe de la caravane … Aucune précipitation mais ce qui doit être fait est fait.
Le mode de vie Touareg est en complète harmonie avec le milieu : pas de déchet, rien d’inutile et l’on prend à la nature que ce qui est nécessaire et rien de plus. Quelle leçon !
J’ai aimé regarder les Touaregs le soir autour feu avec la lune dans le ciel et écouter Entayent nous raconter ses histoires d’antan quand il y avait encore les grandes caravanes. Que de moments magiques !
Et puis le groupe ! C’est ce qui m’a le plus étonné moi qui ne suis pas trop ‘groupe’.
J’ai vu un vrai groupe se former et cela m’a beaucoup touché : plein d’attentions les uns pour les autres alors que nous étions tous si différents. Les prises du paroles du soir que je n’aimais pas trop au début sont devenues une vraie nourriture : un échange vrai.
Pour conclure je dois dire que cette aventure est pour moi la plus belle que j’ai vécu.
Elle a constitué pour moi une vraie nourriture, très fine.
Le désert résonne encore en moi.
Je ne remercierai jamais assez Corinne et Alain sans qui cette aventure n’aurait pas été possible. Ils ont toujours été très disponibles et à l’écoute de chacun de nous.
Je suis convaincu que le désert a donné à chacun ce dont il avait besoin et a dénoué définitivement certains nœuds pour plusieurs d’entre nous.
Personnellement cela m’a nourri profondément, m’a redonné beaucoup d’énergie et l’envie d’oser essayer de réaliser certains rêves qui me sont chers.
Je sais que c’est la crise financière mais mon mot final est : ALLEZ Y ! VOYEZ PAR VOUS-MEME !
La vie est courte et ça en vaut vraiment la peine.
Personnellement je suis partant pour renouveler l’expérience, Inch Allah !
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Avis de recherche
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Ce coupeur de tête multi-récidiviste a été signalé avec un groupe de complices et(ou) de victimes (?) dans le massif de l'Attakor, région du Hoggar, dans le Grand Sud Algérien.
Mais il sévit aussi dans d'autre région, particulièrement en Ardèche. Récompense pour tous renseignements sur ce dangereux personnage.
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Ce coupeur de tête multi-récidiviste a été signalé avec un groupe de complices et(ou) de victimes (?) dans le massif de l'Attakor, région du Hoggar, dans le Grand Sud Algérien.Mais il sévit aussi dans d'autre région, particulièrement en Ardèche. Récompense pour tous renseignements sur ce dangereux personnage.
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dimanche 23 novembre 2008
MON DIEU !!!
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Un jeune novice arrive au monastère. La tâche qui lui est assignée est d'aider les autres moines copistes à recopier les anciens canons et règles de l'église. Il remarque que ces moines effectuent leur travail à partir de copies et non des manuscrits originaux. Il va voir le Père abbé, lui faisant remarquer que si quelqu'un a fait une petite erreur dans la première copie, elle va se propager dans toutes les copies ultérieures.Le Père abbé lui répond :
- Cela fait des siècles que nous procédons ainsi, que nous copions à partir de la copie précédente, mais ta remarque est très pertinente, mon fils. Aussi j'irai vérifier moi-même les originaux dès demain.Le lendemain matin, le Père abbé descend dans les profondeurs du
sous-sol du monastère, dans une cave voûtée où sont précieusement
conservés les manuscrits et parchemins originaux. Cela fait des siècles que personne n'y a mis les pieds et que les scellés des coffres sont intacts.Il y passe la journée toute entière, puis la soirée, puis la nuit, sans donner signe de vie.Le jeune moine se précipite et demande : Père abbé, que se passe-t-il donc ?Les heures passent et l'inquiétude grandit. À tel point que le jeune novice se décide à aller voir ce qui se passe. Il descend et trouve le Père abbé complètement hagard, les vêtements déchirés, le front ensanglanté, se cognant sans relâche la tête contre le mur de pierres vénérables.
- AAAAAAAAAAHHHHH!!!! Quels CONS !!!! Mais quels CONS !!!!...C'était vœux de "charité"... pas de "chasteté" !!!
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Alan Watts : Conversation avec moi-même
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"Il faut que nous revenions à, disons, une vision de notre propre vie qui représente ce que nous sommes réellement ; un organisme fonctionnant dans la totalité de l’environnement, avec l’environnement entier, à la place de cette petite personnalité séparée.
Mais comment allons-nous faire cela ? Les gens disent : « Et bien, on ne peut pas changer la nature humaine du jour au lendemain. Vous nous demandez d’abandonner l’ego et c’est la plus difficile des choses à faire ». En fait, ça ne l’est pas, parce que l’ego n’existe pas mais bien sûr, si vous essayez d’abandonner votre ego avec votre ego, ça vous prendra jusqu’à la fin des temps.
Parce que voilà ce qu’il faut vraiment comprendre : Vous ne pouvez pas vous transformer, vous ne pouvez pas vous rendre sain, vous ne pouvez pas vous rendre bon, vous ne pouvez pas vous rendre non-égoïste et pourtant il est absolument nécessaire que nous so
yons ainsi. C’est absolument nécessaire si nous voulons transmettre la direction de nature à nature, ce à quoi tout ceci revient en fait. Il est absolument nécessaire que nous abandonnions notre identité et cela ne peut pas se faire, par quoi que ce soit que nous appelions faire, agir, vouloir ou même juste en acceptant les choses. Vous ne pouvez pas y arriver.
Pourquoi ? Parce que vous n’existez pas vraiment en tant qu’ego séparé ou en tant que personnalité. C’est juste une idée fondée sur un sentiment erroné. Et c’est une nouvelle terrible pour nous que d’apprendre cela. C’est terrible pour l’humanité, pour notre fierté. Vous ne faîtes que plus de désordre en essayant d’arranger les choses. Vous essayez de redresser un monde qui ne cesse de bouger et ce n’est pas étonnant que vous soyez en difficulté ! Donc vous ne pouvez rien faire, vous ne pouvez pas vous transformer.
Qu’est-ce vous pouvez faire alors ? Que se passe t-il si vous vous rendez compte que vous vous trouvez dans une impasse, et l’humanité se trouve dans une impasse selon moi. Que faire alors ? Se suicider ? Ou bien y a-t-il autre chose ? Que se passe t-il lorsque vous attendez simplement ? Il n’y a rien que vous puissiez faire. Vous regardez. Et tout ce que vous voyez est ce qui se produit par soi-même. Vous respirez, le vent souffle, les arbres bougent, votre sang circule, vos nerfs ressentent. Tout se produit automatiquement. Mais vous savez que c’est vous, que c’est votre véritable nature qui se produit d’elle-même. Ce n’est pas le symbole, ce n’est pas la personne, c’est vous comme lorsque que vous respirez. Il est vrai qu’on peut avoir le sentiment que je respire en contrôlant la respiration, mais votre respiration continue à longueur de journée sans vous fassiez quoi que ce soit, sans même que vous y pensiez. De même que votre cerveau fonctionne sans que vous le forciez.
Donc lorsque vous vous trouvez dans une impasse, et nous sommes individuellement et socialement dans une impasse aujourd’hui, vient le moment où il est dit « Quand l’homme en est réduit à sa dernière extrémité, Dieu a enfin sa chance ».
Parce que nous devons arrêter, et quand nous arrêtons, nous trouvons un monde qui se produit plutôt qu’un monde que l’on fait, que l’on façonne. Le déroulement par opposition à l’action est notre Soi véritable, et notre Soi fondamental n’est pas juste quelque chose à l’intérieur dans notre corps, c’est tout ce qui nous entoure et à quoi nous nous connectons. Quand vous regardez la nature autours de vous avec vos yeux, c’est vous que vous regardez. Je ne vais pas dire ce que nous devrions faire à présent, mais simplement, qu’avant de songer à faire quoi que ce soit, nous prenions conscience de la nature totalement illusoire des créatures que nous pensons être et que nous revenions aux êtres que nous sommes réellement, ce qui inclue tout ceci (Alan Watts montrant la nature tout autours) : le monde extérieur qui n’est plus laissé à l’extérieur."
Traduit spécialement de l’anglais pour le ipapyblog par Olivier Anton
à partir de vidéo sur Youtube. Merci ami Olivier c'est un beau cadeau!
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"Il faut que nous revenions à, disons, une vision de notre propre vie qui représente ce que nous sommes réellement ; un organisme fonctionnant dans la totalité de l’environnement, avec l’environnement entier, à la place de cette petite personnalité séparée.
Mais comment allons-nous faire cela ? Les gens disent : « Et bien, on ne peut pas changer la nature humaine du jour au lendemain. Vous nous demandez d’abandonner l’ego et c’est la plus difficile des choses à faire ». En fait, ça ne l’est pas, parce que l’ego n’existe pas mais bien sûr, si vous essayez d’abandonner votre ego avec votre ego, ça vous prendra jusqu’à la fin des temps.
Parce que voilà ce qu’il faut vraiment comprendre : Vous ne pouvez pas vous transformer, vous ne pouvez pas vous rendre sain, vous ne pouvez pas vous rendre bon, vous ne pouvez pas vous rendre non-égoïste et pourtant il est absolument nécessaire que nous so
yons ainsi. C’est absolument nécessaire si nous voulons transmettre la direction de nature à nature, ce à quoi tout ceci revient en fait. Il est absolument nécessaire que nous abandonnions notre identité et cela ne peut pas se faire, par quoi que ce soit que nous appelions faire, agir, vouloir ou même juste en acceptant les choses. Vous ne pouvez pas y arriver.Pourquoi ? Parce que vous n’existez pas vraiment en tant qu’ego séparé ou en tant que personnalité. C’est juste une idée fondée sur un sentiment erroné. Et c’est une nouvelle terrible pour nous que d’apprendre cela. C’est terrible pour l’humanité, pour notre fierté. Vous ne faîtes que plus de désordre en essayant d’arranger les choses. Vous essayez de redresser un monde qui ne cesse de bouger et ce n’est pas étonnant que vous soyez en difficulté ! Donc vous ne pouvez rien faire, vous ne pouvez pas vous transformer.
Qu’est-ce vous pouvez faire alors ? Que se passe t-il si vous vous rendez compte que vous vous trouvez dans une impasse, et l’humanité se trouve dans une impasse selon moi. Que faire alors ? Se suicider ? Ou bien y a-t-il autre chose ? Que se passe t-il lorsque vous attendez simplement ? Il n’y a rien que vous puissiez faire. Vous regardez. Et tout ce que vous voyez est ce qui se produit par soi-même. Vous respirez, le vent souffle, les arbres bougent, votre sang circule, vos nerfs ressentent. Tout se produit automatiquement. Mais vous savez que c’est vous, que c’est votre véritable nature qui se produit d’elle-même. Ce n’est pas le symbole, ce n’est pas la personne, c’est vous comme lorsque que vous respirez. Il est vrai qu’on peut avoir le sentiment que je respire en contrôlant la respiration, mais votre respiration continue à longueur de journée sans vous fassiez quoi que ce soit, sans même que vous y pensiez. De même que votre cerveau fonctionne sans que vous le forciez.
Donc lorsque vous vous trouvez dans une impasse, et nous sommes individuellement et socialement dans une impasse aujourd’hui, vient le moment où il est dit « Quand l’homme en est réduit à sa dernière extrémité, Dieu a enfin sa chance ».
Parce que nous devons arrêter, et quand nous arrêtons, nous trouvons un monde qui se produit plutôt qu’un monde que l’on fait, que l’on façonne. Le déroulement par opposition à l’action est notre Soi véritable, et notre Soi fondamental n’est pas juste quelque chose à l’intérieur dans notre corps, c’est tout ce qui nous entoure et à quoi nous nous connectons. Quand vous regardez la nature autours de vous avec vos yeux, c’est vous que vous regardez. Je ne vais pas dire ce que nous devrions faire à présent, mais simplement, qu’avant de songer à faire quoi que ce soit, nous prenions conscience de la nature totalement illusoire des créatures que nous pensons être et que nous revenions aux êtres que nous sommes réellement, ce qui inclue tout ceci (Alan Watts montrant la nature tout autours) : le monde extérieur qui n’est plus laissé à l’extérieur."
Traduit spécialement de l’anglais pour le ipapyblog par Olivier Anton
à partir de vidéo sur Youtube. Merci ami Olivier c'est un beau cadeau!
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Un Mac pour Noël
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Noël approche et vous songez sérieusement ( comme Jean-François ) à changer votre vieux PC pour pouvoir vraiment profiter du Ipapy. Mais quel modèle choisir ? De quoi avez-vous besoin ?
Si vous vous déplacez régulièrement avec votre machine un portable s'impose évidemment, il s'impose aussi si vous manquez de place. Dans le cas contraire prenez un fixe. La bonne affaire en portable c'est le Macbook de base qui vient d'être amélioré. Le MacBookpro est cher et réservé aux pro ou aux plus fortunés. Quand au Macbook Air, je ne le conseille pas pour plusieurs raisons, surtout le prix.
Si vous optez pour un fixe le premier prix en Imac est aussi une très bonne affaire. Superbe machine, écran de 20' et pas d'unité centrale car tout le système est incorporé dans le boitier de l'écran. Quant aux logiciels, rien à prévoir en plus, vous avez le meilleur des logiciels dans le boite. Sauf peut être la suite bureautique de Microsoft avec les incontournables Word, Excel et Powerpoint.
Faites vous plaisir
Bon surf avec Apple
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Si vous vous déplacez régulièrement avec votre machine un portable s'impose évidemment, il s'impose aussi si vous manquez de place. Dans le cas contraire prenez un fixe. La bonne affaire en portable c'est le Macbook de base qui vient d'être amélioré. Le MacBookpro est cher et réservé aux pro ou aux plus fortunés. Quand au Macbook Air, je ne le conseille pas pour plusieurs raisons, surtout le prix.
Si vous optez pour un fixe le premier prix en Imac est aussi une très bonne affaire. Superbe machine, écran de 20' et pas d'unité centrale car tout le système est incorporé dans le boitier de l'écran. Quant aux logiciels, rien à prévoir en plus, vous avez le meilleur des logiciels dans le boite. Sauf peut être la suite bureautique de Microsoft avec les incontournables Word, Excel et Powerpoint.
Faites vous plaisir
Bon surf avec Apple
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samedi 22 novembre 2008
Sondage pour Gabin
Gabin est trop jeune pour avoir une moto, Valérie, Guillaume et Joseph ont décidé de lui offrir un trotteur Wheelybug omnidirectionnel. Mais voilà lequel choisir ? Nous avons besoin de vous, votez.
Vous avez la fenêtre du sondage à gauche. Oui, je sais c'est difficile, qui va l'emporter ?
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Vous avez la fenêtre du sondage à gauche. Oui, je sais c'est difficile, qui va l'emporter ?
Qor'ân
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La vision implique l'unification de l'Homme qui consiste à demeurer complètement absorbé dans la contemplation de l'être unique. Rûmî cite à ce propos un verset du Qor'ân :
Toutes choses périssent et s'anéantissent et disparaissent, sauf Mon Visage, à Moi Dieu. Ne vous détournez pas de cette Face, car, chaque visage qui se tourne d'un autre côté et voit autre chose que Moi, considérez ce visage comme une nuque. Ma Face n'a pas de revers. Je suis tout entier Face. Je suis tout entier Lumière. Je suis tout entier Regard, je suis tout entier Flambeau, je suis tout entier Connaissance.
Tout ce qui existe disparaîtra, sauf Moi. Votre visage est un visage au moment où il se tourne vers Moi. Vos yeux sont des yeux au moment où ils se posent sur Mon Visage. Prenez garde, ne vous séparez pas de cette Ombre puissante et ne vous éloignez pas, afin que le soleil brûlant de la séparation ne vous consume pas dans ces vallées dépourvues de refuge, et qu'il ne vous détruise pas. Soyez mes amis à Moi, Dieu, revêtez-vous de Mes attributs, et devenez semblables à Moi.
page 140, Le chant du Soleil, Eva de Vitray-Meyerovitch La Table Ronde
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" Toute chose périt, à l'exception de Sa Face."
Toutes choses périssent et s'anéantissent et disparaissent, sauf Mon Visage, à Moi Dieu. Ne vous détournez pas de cette Face, car, chaque visage qui se tourne d'un autre côté et voit autre chose que Moi, considérez ce visage comme une nuque. Ma Face n'a pas de revers. Je suis tout entier Face. Je suis tout entier Lumière. Je suis tout entier Regard, je suis tout entier Flambeau, je suis tout entier Connaissance.
Tout ce qui existe disparaîtra, sauf Moi. Votre visage est un visage au moment où il se tourne vers Moi. Vos yeux sont des yeux au moment où ils se posent sur Mon Visage. Prenez garde, ne vous séparez pas de cette Ombre puissante et ne vous éloignez pas, afin que le soleil brûlant de la séparation ne vous consume pas dans ces vallées dépourvues de refuge, et qu'il ne vous détruise pas. Soyez mes amis à Moi, Dieu, revêtez-vous de Mes attributs, et devenez semblables à Moi.
"Conformez-vous aux attributs de Dieu."
page 140, Le chant du Soleil, Eva de Vitray-Meyerovitch La Table Ronde
La mosaïque de la Sangha
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Vous avez depuis peu la possibilité de vous inscrire dans la rubrique ci-dessus qui est à gauche de la page d'accueil. Merci Blogspot de cette fonction que je trouve fort sympathique.
Il y a juste un problème que notre "service technique" va s'efforcer de résoudre : le programme refuse pour l'instant d'afficher plus de 18 photos. Résultat : chaque nouvelle inscription fait disparaitre la photo la plus ancienne. Continuez à vous inscrire, notre Cher Adrien va plonger dans le HTML.
Pour les premiers inscrits pas d'émotion, nous n'avons pas éliminé votre photo.
Un grand merci a Donna Quesada, une lectrice de Californie, qui a initié cette mosaïque de la Sangha. Je rêve de voir affiché vos 5 ou 600 photos, mais ça c'est un rêve. Bon WE les amis, c'est l'heure de la méditation.
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Vous avez depuis peu la possibilité de vous inscrire dans la rubrique ci-dessus qui est à gauche de la page d'accueil. Merci Blogspot de cette fonction que je trouve fort sympathique.Il y a juste un problème que notre "service technique" va s'efforcer de résoudre : le programme refuse pour l'instant d'afficher plus de 18 photos. Résultat : chaque nouvelle inscription fait disparaitre la photo la plus ancienne. Continuez à vous inscrire, notre Cher Adrien va plonger dans le HTML.
Pour les premiers inscrits pas d'émotion, nous n'avons pas éliminé votre photo.
Un grand merci a Donna Quesada, une lectrice de Californie, qui a initié cette mosaïque de la Sangha. Je rêve de voir affiché vos 5 ou 600 photos, mais ça c'est un rêve. Bon WE les amis, c'est l'heure de la méditation.
vendredi 21 novembre 2008
Ramesh Balsekar
"seuls ceux qui sont capables de voir leur vrai visage sans un miroir, seront capables de voir leur vraie nature. Quelle sorte de vision est-ce là ? Voir sans le miroir est voir non pas avec des yeux qui voient des objets mais en tant que CELA qui voit, c'est l'introspection ou inspection de la conscience par elle-même, là où il n'y a personne qui regarde"
Voir vraiment n’est pas seulement un changement dans la direction de la vision, mais un changement en son centre même, dans lequel le voyant lui-même disparaît.
Pour que l’illumination ait lieu le percevant doit juste se retourner et s’éveiller au fait qu’il est "face à face" avec sa propre nature – qu’ IL EST CELA.
Le chercheur spirituel trouve finalement qu’il était déjà à destination, qu’il est lui-même ce qu’il cherchait et qu’il était en fait déjà à la maison. ”
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