Méditation avec Jean-Yves Leloup

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Qu'est ce qui est là, qu'est ce qui respire en nous ?

Je vous propose d'être là, d'être un peu plus là

Et cela commence dans le corps que nous sommes

En sentant le contact de notre corps sur la chaise

En sentant le contact de nos pieds sur le sol

En sentant notre colonne vertébrale

Notre colonne vertébrale qui est comme l'Arbre de Vie

Cet arbre qui relie la terre et le ciel, cet axe, notre droiture

Notre corps n'est pas le tombeau de l'âme

C'est le temple de l'Esprit

C'est une maison pour abriter le vent

Pour accueillir le souffle

Accueillir l'inspir et l'expir

Inspirez plus doucement, expirer plus doucement

Ne faire qu'un avec ce souffle

Ce souffle qui nous inspire et qui nous expire

Entrez simplement dans cette conscience du souffle

Et ne pas avoir peur d'aller au fond de l'expir

Expirez profondément et doucement et restez là un petit moment

Ecoutez, goûtez les saveurs du Silence

Un je ne sais quoi, un presque rien

Et c'est de ce Silence que va naître un nouvel inspir

Laissez le venir comme un cadeau

Simplement respirez, consciemment, doucement, profondément

Et peut être sur le rythme même du souffle,

Accordez l'invocation qui est la votre si vous avez une tradition particulière

Ou simplement 'je suis' Etre là, je suis là

Laissez dans ce je, dans ce petit je, laissez être la grande Présence

Celui qui est plus intelligent que nous, en nous

L'intelligence créatrice, la Conscience première

Laissez être au cœur de notre vie, une vie plus vaste

Sentir que notre souffle vient de l'infini et retourne à l'infini

Et au niveau du cœur, laissez venir cette simple gratitude, cette bonté

Quelque chose comme un soleil qui éclaire, qui réchauffe

Plus moi que moi-même, tout autre que moi-même

Et méditez vous savez,

Ce n'est pas courir après le soleil

C'est se laisser ensoleiller

Quelques instants, se laisser ensoleillé par la Présence silencieuse

Pour notre bien être et le bien être de tout et de tous.

Jean-Yves Leloup lors d'un stage

Merci à Séraphim

Giulia Enders et l'intestin

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Merci Patrick

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La citation du lundi

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" Le temps est venu pour les hommes de démissionner"

cité par Mathieu Ricard

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Humour à l'église

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Merci Michel

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Aurora Murder song - Running with wolves

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JFL

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Rencontre avec Frère Jean (2)

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Séraphim

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Rites en mer

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Le fameux rite de Garbareck

et la mer

Merci Monique

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Some news from India

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Tout va très bien mais nous avons peu de temps pour donner des nouvelles.

 Nous sommes encore dans l'énergie d'un séjour exceptionnel à Dongyu Gatsal Ling.

Nous sommes à Rishikesh et serons à Sadhana Kendra Ashram demain.

Belle semaine à tous...

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Le jardin de l'aveugle.

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Un très beau roman qui commence par cette phrase lapidaire et d'une grande justesse : "Le troisième parent c'est l'histoire". Et en effet, le récit montre comment chacun des personnages est façonné par l'histoire et comment nous aussi, lecteurs occidentaux sommes façonnés par l'histoire, la nôtre et celle qu'on nous a racontée. Peu après le 11 septembre 2001 deux frères pakistanais dont l'un est étudiant en médecine quittent leur village pour se porter au secours de leurs frères afghans bombardés par les américains.  Sans manichéisme, avec le souci d'entrer dans la logique de chaque personnage, l'auteur nous fait voir, sentir, dans une langue somptueuse, toutes les contradictions d'une région et d'une époque non révolue, hélas, ou s'affrontent les cultures, les religions, les mentalités. Ce livre de Nadeem Aslam a le très grand mérite de décaler  notre point de vue habituel et par là même de rendre évident à quel point il est occidentalo centré. Ce qui est évident aussi, c'est comment chaque camp est dans une ignorance complète du point de vue de l'autre. Dans une guerre envisagée des deux côtés comme une croisade, le fanatisme  est partout. Garder des repères simplement humains sans se laisser emporter dans une vision fanatisée de "l'ennemi" relève de l'héroïsme.

Nadeem Aslam est né en 1964 au Pakistan d'où sa famille a émigré lorsqu'il avait 14 ans pour échapper au régime du Général Zia. Il a fait ses études et réside en Angleterre mais passe plusieurs mois par an dans son pays d'origine. Le jardin de l'aveugle est son troisième roman.

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La citation du lundi

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" C'est notre planète, arrêtez de déconner"

in Libération

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Albert et Charlie

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Ce que j'admire le plus dans votre art dit Albert Einstein, c'est son universalité. 

Vous ne dites pas un mot, mais pourtant le monde entier vous comprend.

C'est vrai, réplique Chaplin. Mais votre gloire est plus grande encore: 

le monde entier vous admire alors que personne ne vous comprend.

JFL

posté ce jour depuis Mac Leod Ganj

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Rencontre avec Frère Jean (1)

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Merci Séraphim

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Sans commentaire

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ParisMatch 2015

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Tibet, Tibet/ Patrick French / extrait

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"A l'issue de notre rencontre, le Dalaï-Lama me demanda de lui parler de mon voyage au Tibet, de ce que j'avais vu, des opinions que je m'étais faites. Je le lui dis, assez en détail. Sa réaction fut pénétrante. Il savait de manière très précise ce qui se passait dans sa patrie. Rien de ce que je lui dis ne le surprit et, contrairement à nombre d'exilés, il ne croyait pas à la propagande tibétophile qui remplissait Dharamsala.

Je restai avec l'impression que la vie intérieure du Dalaï-Lama était quelque chose de transcendant, à la racine de tout ce qu'il faisait, et que son cœur était encore solidement ancré au Potala. Ses pratiques spirituelles et ses devoirs religieux venaient avant tout : Les prosternations et les récitations lui prenaient à elles seules quatre heures par jour. Pour lui, le soleil et la lune étaient équivalents et, comme il me l'avait dit, ce n'est pas le combat d'un homme ni même d'une génération, mais d'une nation. En repensant à la façon dont tout cela avait commencé, en le revoyant sous le crachin anglais de mon enfance, porteur d'une manière d'être différente, je trouvais qu'il y avait dans cela, au moins pour moi, une force de rédemption, l'assurance qu'existait quelque chose de plus vaste et de plus durable que la place politique actuelle du Tibet dans un monde troublé."

Tibet, Tibet page 133

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Tarkovsky quartet : A celui qui a vu l'ange

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JFL

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Pour l'humour de Dieu !

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Un numéro très intéressant !

Lu p 53 :

Athéïsme :

Il n'y a pas d'ennuis.

Bouddhisme :

Quand les ennuis t'arrivent, s'agit-il vraiment d'ennuis ?

Catholicisme :

Si j'ai des ennuis, c'est que je les ai mérités.

Hindouisme :

Ces ennuis se sont déjà produits auparavant.

Judaïsme :

Pourquoi les ennuis m'arrivent-ils toujours à moi ?

Islam :

S'il t'arrive des ennuis, la solution est dans le Coran.

Taoïsme :

Il se peut que les ennuis arrivent.

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La citation du lundi

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Je ne suis rien, mais avec ce rien,je

bousculerai le monde entier.

Laërte in William Shakespeare

Hamlet, acte IV, scène V

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Banda Magda - Cucurrucucú Paloma

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Karl on tweet

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La palette de tuiles

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JFL

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Miyajima - Japon

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Coucher de soleil sur Miyajima

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Delhi, India

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Nous sommes tous bien arrivés !

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Les causeuses / Camille Claudel

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Quatre femmes qui parlent sur un banc...

Un sujet simple, rendu mystérieux par la matière - onyx et bronze - le traitement quasi onirique, la nudité des personnages.

C'est la version de 1897 présentée au musée Rodin à Paris dans la section consacrée à l'artiste qui resta longtemps dans l'ombre de son illustre maître.

J'ai passé beaucoup de temps dans cette salle...

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Tibet, Tibet / Patrick French

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Le récit d'un long séjour au Tibet à la fin des années 90 d'un grand voyageur et journaliste anglais très impliqué dans la cause tibétaine. Mêlant, le récit de son voyage et de ses rencontres avec des chinois au Tibet et en Chine , des tibétains au Tibet et en Inde, avec des rappels historiques sur les longues relations entre le Tibet et la Chine ou le rôle de l'Empire Britannique dans cette partie du monde, l'auteur dresse un portrait du Tibet précis, vivant, contrasté, allant parfois à l'encontre des idées reçues. C'est passionnant. 

Merci Alison.

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Back to Delhi

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Fini le repos bien mérité en House-boat.

Vol pour Delhi aujourd'hui

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Everybody's a therapist/ Innocence/ SONJE

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Le petit dernier de notre ami Pascal !

Bien sûr, tout commentaire personnel est plus que bienvenu!

 Enfin, faites comme vous voulez!

Mille mercis!

Peace, 

P

House-boat de Dhal Lake

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Srinagar est située dans la vallée du Cachemire, à 1 768 mètres d'altitude, sur le lac Dhal.

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La citation du lundi

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" Jadis, j'étais empli de crainte en voyant que chaque pas dans ce monde pouvait être un faux pas, 
mais quand je réalisai qu'Il m'avait tout au long tenu la main,

 toutes mes inquiétudes se dissipèrent"

Chandra Swami Udasin

Instructions spontanées

17

Le Relie Poche



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On the road to Srinagar

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La route de Kargil à Srinagar

Vous avez le coeur bien accroché?

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Que voyez-vous de votre fenêtre ?

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Sans commentaire...

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Kargil, ce soir

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Le plaisir ne saurait attendre / Tishani Doshi

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Un roman plein de charme qui  a le goût, l'odeur, l'atmosphère de l'Inde du Sud...

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Lamaruyu 2

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Deuxième jour au monastère 

Avant Srinagar

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Sweet Darling Pain / Melanie de Biasio

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On ne la présente plus...

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Lamayuru

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Plus de contacts  avec nos voyageuses

Aujourd'hui elles doivent être en route

pour Lamayuru le plus ancien

monastère tibétain du Ladakh.

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Kyoto

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Afin de préparer notre futur séjour au Japon, j'ai beaucoup fureté sur Internet...

Pour les amoureux du Japon traditionnel, 17' dans les temples et jardins de Kyoto !

Bon voyage. 

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Ne pas mourir comme des idiots

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Éducation

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Quelques repères pour la rentrée des classes...

Esquisse d’une éducation

« Je condamne l’ignorance qui règne en ce moment dans les démocraties aussi bien que dans les régimes totalitaires. Cette ignorance est si forte, souvent si totale, qu’on la dirait voulue par le système, sinon par le régime. J’ai souvent réfléchi à ce que pourrait être l’éducation de l’enfant. Je pense qu’il faudrait des études de base, très simples, où l’enfant apprendrait qu’il existe au sein de l’univers, sur une planète dont il devra plus tard ménager les ressources, qu’il dépend de l’air, de l’eau, de tous les êtres vivants, et que la moindre erreur ou la moindre violence risque de tout détruire. Il apprendrait que les hommes se sont entretués dans des guerres qui n’ont jamais fait que produire d’autres guerres, et que chaque pays arrange son histoire, mensongèrement, de façon à flatter son orgueil. On lui apprendrait assez du passé pour qu’il se sente relié aux hommes qui l’ont précédé, pour qu’il les admire là où ils méritent de l’être, sans s’en faire des idoles, non plus que du présent ou d’un hypothétique avenir. On essaierait de le familiariser à la fois avec les livres et les choses ; il saurait le nom des plantes, il connaîtrait les animaux sans se livrer aux hideuses vivisections imposées aux enfants et aux très jeunes adolescents sous prétexte de biologie. ; il apprendrait à donner les premiers soins aux blessés ; son éducation sexuelle comprendrait la présence à un accouchement, son éducation mentale la vue des grands malades et des morts. On lui donnerait aussi les simples notions de morale sans laquelle la vie en société est impossible, instruction que les écoles élémentaires et moyennes n’osent plus donner dans ce pays. En matière de religion, on ne lui imposerait aucune pratique ou aucun dogme, mais on lui dirait quelque chose de toutes les grandes religions du monde, et surtout de celle du pays où il se trouve, pour éveiller en lui le respect et détruire d’avance certains odieux préjugés. On lui apprendrait à aimer le travail quand le travail est utile, et à ne pas se laisser prendre à l’imposture publicitaire, en commençant par celle qui lui vante des friandises plus ou moins frelatées, en lui préparant des caries et des diabètes futurs. Il y a certainement un moyen de parler aux enfants de choses véritablement importantes plus tôt qu’on ne le fait. » 

 Les yeux ouverts (1980)

 Marguerite Yourcenar

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Alchi

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Corinne et Véronique sont à Alchi ce soir

à 70km de Leh sur la rive gauche de l'Indus
Vous suivez ?

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REZA

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Un panneau de 370m de long sur les quais de Seine.

Le photo journaliste Reza expose à ciel ouvert du 24 juillet au 15 octobre 2015 les portraits de réfugiés qu'il photographie depuis 30 ans. Dans cette exposition aussi des photos de Ali Bin Thalith un photographe de Dubaï, ainsi que les photos réalisées par les enfants du camp de réfugié de Kawergosh au Kurdistan irakien à qui Reza a demandé de photographier leur quotidien.

Reza est non seulement un magnifique photographe, mais c'est aussi un homme de coeur qui n'a jamais renoncé à poser un regard bienveillant sur le monde .

Allez voir son site.

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