(…) Un jour, Arnaud m’a pris par surprise. Il était assis chez nous tout seul à la table e la salle à manger et, alors que je passais dans la pièce, il m’apostropha en me disant quelque chose dans le genre : « Éric, vous savez qu’il est possible de rester sans pensés. » Je m’approchai et le vis immédiatement s’intérioriser, mais en gardant les yeux grands ouverts devant lui. Une intense présence se dégagea alors de lui et son visage était baigné dans une brillance particulière. A cet instant- mais cela ne dura que qu’une quinzaine de secondes-, il était évident pour moi que plus aucune pensée ne lui traversait l’esprit. Par une sorte de pudeur, je ne lui posai aucune question et me comportait comme si, finalement, tout cela était on ne plus banal. Avec le recul, je réalise que s’il avait pris l’initiative de me montrer cette dimension, ce n’était certainement pas pour faire étalage de ses accomplissements personnels, mais plutôt me semble-il pour m’initier à ce que les tibétains appellent « la pure nature de l’esprit » … Eric Edelmann : La splendeur du vrai Voir avec le cœur dans un monde d’illusions page 128 Edition Le Relié Sagesses A suivre if you like…
Oui, en total accord avec les paroles d'Arnaud ! Voilà des années que je pratique le “ rien faire mais le bien faire “ ! πeu comprennent mais, comme dirait Daniel Morin...“ Où est le problème “ ? Le silence n'est pas l'envers du bruit Le silence est l'endroit où je suis.“ Il n'y a rien 0 comprendre ... Cela est. Point final. Philippe DERCKEL.
2 commentaires:
(…) Un jour, Arnaud m’a pris par surprise. Il était assis chez nous tout seul à la table e la salle à manger et, alors que je passais dans la pièce, il m’apostropha en me disant quelque chose dans le genre : « Éric, vous savez qu’il est possible de rester sans pensés. » Je m’approchai et le vis immédiatement s’intérioriser, mais en gardant les yeux grands ouverts devant lui. Une intense présence se dégagea alors de lui et son visage était baigné dans une brillance particulière. A cet instant- mais cela ne dura que qu’une quinzaine de secondes-, il était évident pour moi que plus aucune pensée ne lui traversait l’esprit. Par une sorte de pudeur, je ne lui posai aucune question et me comportait comme si, finalement, tout cela était on ne plus banal.
Avec le recul, je réalise que s’il avait pris l’initiative de me montrer cette dimension, ce n’était certainement pas pour faire étalage de ses accomplissements personnels, mais plutôt me semble-il pour m’initier à ce que les tibétains appellent « la pure nature de l’esprit » …
Eric Edelmann : La splendeur du vrai Voir avec le cœur dans un monde d’illusions page 128 Edition Le Relié Sagesses
A suivre if you like…
Oui, en total accord avec les paroles d'Arnaud ! Voilà des années que je pratique le “ rien faire mais le bien faire “ !
πeu comprennent mais, comme dirait Daniel Morin...“ Où est le problème “ ?
Le silence n'est pas l'envers du bruit
Le silence est l'endroit où je suis.“
Il n'y a rien 0 comprendre ...
Cela est. Point final.
Philippe DERCKEL.
Enregistrer un commentaire