dimanche 1 juin 2014

Viens, Vis, Aime !

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Viens, vis, aime!

"Nous sommes nés pour grandir et nous déployer, non pour croupir et végéter. Mais qui, à vrai dire, nous enseigne le droit et le privilège d'être vivants? Et la joie d'être, tout simplement? Qui nous donne les clés pour sortir de nos tombeaux et boire à la source vive de tout notre soûl?
Ne flanchons pas; restons debout. N'avons-nous pas, chacune et chacun, un Ami qui nous veut du bien? Un Ami qui nous tend la main? Qui que nous soyons, où que nous allions, Il ne nous oublie ni ne nous abandonne. Avec bonté et génie, souvent de façon inattendue et alors que nous nous perdons dans le noir, Il met sur nos chemins des étincelles, des flammes, des flambeaux pour raviver en nous le feu sacré que nous tendons à étouffer sous nos vêtements trop serrés et nos idées trop étroites.
Peu importe, en finalité, les sentiers que nous empruntons; pourvu que, toutes et tous ensemble, riches de nos différences et ressemblances, mus par nos convergences, nous marchions en communion et librement vers ce que nous sommes en vérité: les enfants du même souffle, les héritiers du même royaume.
Ce récit retrace les étapes marquantes – et providentielles – qui m'ont menée de l'errance au baptême, de la nuit à la lumière. Puisse-t-il, en toute humilité et au fil de ses pages, nous conduire chacune et chacun à l'Ami qui, au-delà du temps et des tourments, nous tend Sa main et nous dit: «Viens, vis, aime!»"

Installée dans un petit village proche des montagnes, c'est dans la solitude et la rencontre, dans le silence et la Parole, qu'Isabelle Perrenoud, en catholique engagée, nourrit sa foi, sa quête de sens et son espérance en une humanité réconciliée.

Nous connaissons bien Isabelle fidèle lectrice du Blog. 
Je viens de lire son livre avec beaucoup d'émotions et de plaisir. 
Une belle écriture qui parle au coeur et qui réveille en nous la nostalgie fondamentale.
 Un livre a lire, à méditer, un livre pour Être.
 Merci Isabelle

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samedi 31 mai 2014

vendredi 30 mai 2014

Misa Criolla Mercedes Sosa

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Hommage à l'Afrique, Olivier Föllmi

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Au Mali, Guegnemo Kassogue, grand père dogon, pose fièrement avec son petit fils qu'il garde les jours où ses parents sont aux champs. Il joue le rôle d'éducateur, de gardien de la morale et de la famille. Avec sa barbe blanche et sa pipe magique, Guegnemo Kassogue est coiffé d'un chapeau à quatre côtés, symbole des quatre points cardinaux et des quatre grandes familles dogon.

Un livre vraiment superbe.

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jeudi 29 mai 2014

Quiet Temple


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Un très beau thème , écrit par le pianiste Mal Waldron 
 et joué au sax par Barney Willem... il y a déjà quelques décennies!
Monique

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Bikers only


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Cantique des plaines Nancy Huston

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"Quatre générations d’une famille d’immigrants, les Sterling, ont pris souche dans les plaines de l’Alberta (Canada), entre la fin du XIXe siècle et le milieu du XXe. L’un d’entre eux, Paddon, a tout connu de leur existence. Mais, quand commence ce roman, Paddon vient de mourir. Et c’est à ce grand-père adoré, fils de pionniers en terre indienne, que la narratrice, Paula, adresse un ample récit en forme d’adieu.
L’enfance de Paddon, ses démêlés avec son père, son mariage avec la vertueuse Karen, ses déconvenues de chef de famille, ses déboires d’enseignant, son chimérique projet d’écrire un traité philosophique du temps, sa rencontre avec l’Indienne Miranda, amante prodigue qui le bouleverse en lui révélant enfin l’envers de la civilisation blanche et la vraie beauté du monde — tout ce qu’a vécu cet homme si magnifiquement, si exemplairement ordinaire est ici évoqué avec un lyrisme sans pareil."

Je lis peu de romans. 
Celui-ci est plein de souffle et de tendresse pour des humains, si humains...



Before they pass away / Avant qu'elles ne disparaissent (4)

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mercredi 28 mai 2014

Marcel est content

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Dimanche soir le vieux port de La Rochelle était envahie par une foule
de supporters enthousiastes venue fêter la victoire de leur équipe de rugby
et l'accession au Top 14, l'élite du rugby français.
Mon père est très content, mes frères aussi et,....ben, moi aussi
Allez le Stade ;-))

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Mugello

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Grand Prix d'Italie ce WE pour les amis motards.
Valentino prophète en son pays dans son jardin de Toscane, 
ou Marc l'extraterrestre pour la passe de six ?

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Bon Iver


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Karl on Twittter

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Hommage à l'Afrique, Olivier Föllmi

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Une merveille, comme tous les livres d'Olivier Föllmi.




Les photos sont superbes bien sûr mais il y a aussi à la fin une légende sur chacune d'elle. 
Certains de ces textes sont des perles . 
Voici le commentaire de la photo de la page 138-139 où l'on voit deux femmes Burkinabé

"Une femme d'honneur accompagne une jeune mariée. Dans la communauté peule, comme ici au Burkina Faso, la mariée est encadrée pendant quelques semaines par une femme d'honneur qui lui enseigne ce qu'est le mariage, ses fondements : le pardon, l'écoute, le considération, l'amour."

mardi 27 mai 2014

Before they pass away / Avant qu'elles ne disparaissent. (3)

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Pas moyen d'avoir des sous titres...

Pour ceux qui ne comprennent pas l'anglais, une idée du projet : 

 Jimmy Nelson  a parcouru la planète pour photographier les peuples et les cultures sur le point de disparaître. Plusieurs années, des conditions extrêmes. Il partage avec nous ce qu'il appelle trois leçons.
La première  concerne le jugement et les apparences. Il montre cette photo de trois magnifiques silhouettes élégantes et longilignes prises au nord du Kenya



Beaucoup pensent qu'il s'agit de femmes. Erreur, ce sont des hommes, des guerriers de la tribu des Samburus, qui sont capables de tuer un lion à mains nues
La deuxième leçon est celle du choix. Au bout du bout du monde au Nord Est de la Sibérie chez les Tchoutche, par moins cinquante degrés. À la question : "Pourquoi vivez-vous ici ," ils répondent que c'est un choix. Ils ont connu la ville, un appartement chauffé, l'alcool... Et ils sont retournés d'où ils venaient parce que là au moins, ils savaient qui ils étaient.
La troisième leçon concerne la vulnérabilité. Chez les Kazaks de Mongolie au petit matin, Jimmy Nelson s'apprête à prendre LA photo, celle qu'il a attendu toute sa vie. Il fait l'erreur d'ôter ses gants. Lorsqu'il met ses mains sur son appareil ses doigts gelés se collent au boîtier, il tire et s'arrache la peau. La douleur est fulgurante, il est à bout de froid et de fatigue. Il hurle et pleure. Derrière lui surgissent deux femmes qui ouvrent leur manteau, le prennent entre elles et le bercent comme un enfant.
La relation avec ce peuple s'est établie là, au moment de sa plus grande vulnérabilité. Et il a pris cette photo :


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lundi 26 mai 2014

Madredeus

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Un de mes morceaux préférés...

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Before They pass away / Avant qu'elles ne disparaissent (2)

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 Photo extraite du livre de Jimmy Nelson.

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samedi 24 mai 2014

John Matzick

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Seagull

Bering Sea, Alaska


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vendredi 23 mai 2014

L'immensité Intérieure

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Voici un texte retrouvé dans mes tablettes... Il date probablement de 2008 ou 2009...




« Au retour de presque un mois dans le Hoggar, je sens l’importance de la durée du séjour. Le désert rabote d’autant plus qu’on y reste plus longtemps, que la coupure a le temps de se faire par rapport à nos habitudes, à notre petit monde.Je mesure à quel point le dehors nous imprègne bien plus que ce que nous pensons. De la même manière qu’une certaine nourriture physique facilite l ‘apparition des maladies, certaines nourritures d’impressions font le lit du mental. Vivre dans le bruit et l’agitation d’une ville ajoute à la difficulté de contacter le calme et le silence. On en revient à l’histoire de l’enfant qui allait dans la forêt parce qu’il avait compris que Dieu est partout et partout le même mais que nous ne sommes pas partout les mêmes. Les sollicitations tous azimuts des télévisions, des ordinateurs, des magasins, des lumières, des affiches, des téléphones, des conversations où il n’est question que de refaire le monde chacun à sa façon entretiennent une excitation intérieure dont l’ampleur n’apparaît clairement que lorsque nous sommes brusquement plongés dans le monde moderne après un long séjour dans le calme de la nature, à la montagne ou dans le désert peu importe. Et l’excitation agissant comme une drogue, il faut une période de sevrage assez longue pour qu’elle disparaisse. C’est un phénomène que j’observe chez moi et chez les autres. Il faut quelques jours de silence et de vide pour qu’un groupe si impatient qu’il n’attend pas l’ascenseur de l’aéroport parce qu’il ne vient pas dans les deux premières minutes, se retrouve à attendre tranquillement en plein soleil le départ de la caravane. Les questions : « On a marché combien de temps, combien de kilomètres ? », « A quelle heure est-ce qu’on part le matin ? A quelle heure est-ce qu’on mange le soir ? » - j’ajoute que seuls le guide et Alain ont une montre - « ça date de quand ? », « c’est du grès ou du basalte ? » ces questions s’espacent, ne remplacent plus la contemplation du paysage, l’appréciation d’une pierre. Les gestes se font plus posés, plus lents, sans accélérations brusques. La chaleur à certains moments et la fatigue sont une aide précieuse pour accéder à la lenteur. La parole a de plus en plus trait à ce qui se vit là, maintenant. Chacun parle de soi et non des autres, d’ailleurs, d’avant ou de plus tard. Les comparaisons, les réflexions automatiques, l’expression irréfléchie de ce qui nous passe par la tête après le silence de la marche, tout cela s’amenuise, s’estompe. Je sais qu’un groupe est vraiment dans le désert lorsque les pauses au cours de la marche deviennent presque silencieuses : ce n’est plus la « consigne » qui impose le silence mais la Présence de chacun à soi-même et au monde. Et ce déclic se produit plus ou moins mais immanquablement : il y a une quasi-impossibilité à rester longtemps agité, compliqué et hors de soi dans un paysage de grande nature immobile et simple, dans une vie au rythme du soleil et de la lune. L’écran de pensées entre nous et le monde devient transparent et nous pouvons alors vraiment voir le monde et nous émerveiller. Lorsque la présence au paysage, au-dehors, est totale, alors la présence à soi-même est totale aussi. Et cette présence à soi-même n’est pas distincte de la présence à Dieu et aux autres.
Chaque matin avant de partir, nous nous rassemblons en cercle et Alain ou moi donnons une intention pour la journée. Ce qui est venu le deuxième jour : « Laisser le silence du dehors rencontrer celui du dedans ». Ou exprimé autrement : « Laisser l’immensité du désert nous rappeler notre immensité intérieure ». Juste laisser faire l’infini du paysage, s’ouvrir à cet infini, s’en nourrir et il va, c’est sûr, aller chercher le souvenir de l’infini qui est en nous.Le bruit du dehors va chercher celui du dedans.La paix du dehors va chercher celle du dedans.L’immensité immobile du dehors va chercher celle du dedans.C’est probablement ce qui nous attire au désert. Non pas comme nous le croyons d’abord, l’inconnu, le nouveau, l’ailleurs. Non. La nostalgie de quelque chose de déjà-vu, déjà goûté, ici. Le souvenir de notre essence divine, de notre nature spacieuse. Et nous venons l’expérimenter dans la marche, le corps en mouvement, les muscles qui tirent et les articulations qui grincent parfois, pour nous souvenir que cet infini n’est pas seulement celui d’avant l’incarnation, celui dont nous venons. Cet infini, c’est celui de maintenant. »
 Corinne



Libera me

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jeudi 22 mai 2014

Jaurès

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« Après avoir constaté qu'il y a dans tous les ordres de sensation, des idées et de l'être, que toute sensation est une vérité, nous constatons qu'il y a, dans toutes les consciences individuelles, une conscience absolue ; que cette conscience absolue est indépendante de tout organisme étroit et éphémère, qu'elle est présente partout sans être enchaînée nulle part, qu'elle n'a d'autre centre que l'infini lui-même, et qu'ainsi toutes les manifestations de l'infini, l'espace, la lumière, le son, trouvent en elle leur centre de ralliement et une garantie d'éternelle réalité. Aussi, quand nous nous représentons le monde, après notre disparition, éclatant encore, sonore et vivant, nous n'abusons pas de notre droit ; nous n'imposons pas aux choses, arbitrairement, les fantaisies de notre moi individuel à jamais évanoui ; mais nous savons que notre moi individuel ne fait pas la réalité. Nous savons qu'il ne dit moi que parce qu'il participe au moi absolu. (…) Dès lors, c'est du point de vue de cette conscience absolue et éternelle que, sans le savoir, nous contemplons le monde après l'évanouissement de notre moi. (…)
Qu'on imagine point que cette conscience absolue va absorber le monde et entraîner la réalité familière dans une sorte d'abîme mystique. La conscience absolue n'est pas un moi individuel élevé à l'infini. Dieu n'est pas un individu infini. »

Extraits cités dans un article de La vie n°3585 du 15 au 25 mai 2014.

Merci Simone.




mercredi 21 mai 2014

Francisco de Zurbaran

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Portrait de Saint François

Un petit clin d'oeil à nos amis de Belgique...
J'ai vu la magnifique exposition vendredi dernier.


Et toujours la même question : Qui suis-je ?
Un corps et une âme dont il ne restera qu'un crâne ?
Ou un corps et une âme manifestations éphémères de l'Esprit éternel 
c'est à dire non né, non fait non devenu, non composé ? 

Et toujours la même urgence : 
"Awake, the time is running out.
Remember the Divine.
Realize the Truth before life passes into death."
Chandra Swami Udasin

Et voici la musique qui va avec l'exposition : 




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mardi 20 mai 2014

Travail manuel et vie intérieure ou l'intégration de l'observation de soi

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Les prochains stages de Jean-Louis : 

8-13 juin 2014

24-29 août 2014


Nous en avons déjà parlé le 4 mars dans la rubrique stage.

Voici ce que disent des participants du mois d'avril... 


" J’ai reçu aussi beaucoup de bien dans les moments de présence fraternelle, dans les différentes actions et l’entraide, prendre soin les uns des autres.

Ressentir Jean-Louis comme le Frère ainé sur le chemin, qui me guide si nécessaire tantôt fermement, tantôt délicatement, en ressentant mon besoin (de fatigue ou maladresse non exprimées), et venant m’épauler silencieusement.
Je ne suis pas reconnu, parce que  je travaille « comme il faut », mais parce que  je suis un être humain relié à un autre.
C’est une nourriture profonde et précieuse pour mon cœur.
En résumé, une semaine intense, riche et profonde, des moments de réveil (l’endormissement reste puissant), et un retour avec des points d’appuis sur lesquels je m’appuie à Paris.
Toute ma gratitude à Jean-Louis, au lieu merveilleux, aux sœurs du stage, à la VIE."

J-P Gepetto 


"Merci à Ipapy pour l’ information concernant les stages organisés par Jean-Louis dans son beau domaine des Grangeasses.

Surplombant la vallée du Rhône, ce lieu de vie allie parfaitement le partage entre une pratique spirituelle quotidienne basée sur le ressenti corporel, et une activité pastorale qui permet de prendre soin et de développer ce lieu superbe : petit écrin  de nature magnifique!
Merci à Jean-Louis et Sabine pour leur accueil et la qualité du partage qui nous a été offert."
Sylvie Roche 

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lundi 19 mai 2014

Workin on it

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Enfin, un extrait disponible  du dernier CD de Pascal !





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La citation du lundi

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Extraite du film Yogis of Tibet, cette définition magnifique :

" A Yogi means one who enters into the Dharma or Buddhist Teachings and after that, one who does the practice which is about the mind. Training mind to be always at ease, always at peace. That is the definition of a Yogi."
Chenga Rinpoche 


"Un Yogi est celui qui s'engage dans le Dharma ou les Enseignements du Bouddhisme et qui ensuite s'adonne à la pratique qui concerne l'esprit. Entraîner l'esprit à être toujours à l'aise, toujours en paix. C'est cela la définition d'un Yogi."

Yogis of Tibet


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C'est un film de 2002 que je voulais acheter, mais il est introuvable.
( hormis sur amazon à 156 dollars...)

Rectification, on peut le commander sur le site :


Merci Olivier !

dimanche 18 mai 2014

Cristina Branco : Se não Chovesse

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Une merveille...

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samedi 17 mai 2014

Myanmar, Olivier Föllmi

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Un mélange de photos et d'images de film, 18'  hors de notre monde quotidien.
Bon voyage...


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vendredi 16 mai 2014

Misa Criolla Los Calchakis

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C'est la version andine que j'ai écoutée en boucle fin des  années  70 !

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Art Sacré près de Bruxelles


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La même exposition que celle de Paris ...près de Bruxelles !


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jeudi 15 mai 2014

Duerme negrito

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Pour Aurélie.
Tu dois connaître celle-ci alors ?

Mercedes Sosa remercie au début Atahualpa Yupanqui qui n'a pas composé cette chanson mais l'a recueillie du répertoire traditionnel Antillais. Elle dit que beaucoup d'enfants en Amérique Latine ont été bercés par cette chanson. Pas seulement en Amérique Latine, Mercedes, je l'ai souvent chantée à mes enfants aussi.

Byron Katie

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Ce qu'elle appelle "The Work", le travail , est une remise en question systématique de nos pensées à propos de ce qui nous arrive, de ce dont nous avons besoin, des autres, de ce que nous sommes...
Elle a publié plusieurs livres dont deux sont traduits en français : 

























Pour en savoir plus sur le Travail : 



Je me réjouis à la perspective de cette journée à Paris.
Merci Julie pour ce beau cadeau.


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mercredi 14 mai 2014

Alfonsina y el mar

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Mercedes Sosa, une grande voix d'Argentine...
Ses admirateurs l'appellent "La Negra", La Noire.

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Constellations Familiales

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Un nouveau séminaire de Constellations aura lieu à Valence au Centre de l'Épervière

Vendredi 23 mai 2014 (1)

Samedi 24 et dimanche 25 mai 2014 (2)

Il n'est pas trop tard pour s'inscrire...

Marie-Thérèse Bal Craquin donnera une conférence
 le vendredi soir de 19h30 à 22h sur le thème :

Consteller pour se réveiller, sortir des vieux cauchemars, des conflits stériles et des désespoirs.

(1) Journée plus spécifique pour les thérapeutes mais ouverte à tous
(2) Le week end est un tout indivisible


mardi 13 mai 2014

Ali Farka Touré et Sekou Bembeya Diabaté

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Une rencontre inédite et plein d'émotion entre deux légendes de la musique africaine: 
Ali Farka Touré (Mali) et Sekou Diabaté du Bembeya Jazz National (Guinée),
 lors du festival Jazz à Ouaga 2005


Merci Karl

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lundi 12 mai 2014

Kenny Barron et Charlie Haden



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Beaucoup de douceur 
pour commencer la semaine
Monique

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La citation du lundi

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"Le fait de percevoir de mieux en mieux la nature transitoire de la souffrance ne conduit pas à l'apathie, au sentiment que rien n'importe. Nous reconnaissons la souffrance en tant que telle, et nous attribuons à cette reconnaissance la vertu de susciter l'aspiration à s'en délivrer. Cela n'est point de l'apathie. Mais nous savons également qu'il est vain de céder à l'agitation ou de s'inquiéter de notre souffrance. Nous pouvons cesser de nous tourmenter au sujet de la souffrance ; simplement nous devons la reconnaître comme telle, et faire en sorte que cette reconnaissance favorise l'éclosion d'un désir de libération."

Sa Sainteté la Dalaï Lama - L'harmonie des mondes - Editions du Rocher page 54


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dimanche 11 mai 2014

Avishai Cohen


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KDL

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Pour calmer l'ego


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Voici une version récente du célèbre documentaire "Powers of ten" :
Les puissances de dix, paru il y a presque 40 ans.
Sans aucun doute le film (6mn) que j'ai visionné le plus souvent, indispensable.
Merci Karl et Patrick pour l'envoi.

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La guerre des graines


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Merci Mister K
Merci Brigitte


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samedi 10 mai 2014

vendredi 9 mai 2014

jeudi 8 mai 2014

mercredi 7 mai 2014

Le feu sous la neige


Ce livre montre l'ampleur de ce que le peuple tibétain a enduré et endure toujours. À la demande du Dalaï Lama, Päldèn Gyatso, moine tibétain raconte sa vie. Son enfance chez sa tante à la mort de sa mère, puis chez son père dans le village de Pa-Nam où sa famille possède une belle maison et des terres,  son entrée au monastère. Puis le jour où tout d'un coup son monde bascule. Päldèn Gyatso passera plus de trente ans dans les prisons chinoises. Il raconte avec sobriété le froid, la faim, la douleur des pieds enchaînés et des mains menottées dans le dos pendant des années, les interrogatoires où alternent torture morale et torture physique, un système où l'arbitraire règne, où les prisonniers sont changés sans cesse de cellule pour qu'aucun lien ne puisse s'établir entre eux, où chaque parole est déformée, les interminables séances de rééducation et les séances de dénonciation organisées, les insultes et la peur omniprésente, la destruction systématique de la culture et des valeurs du Tibet traditionnel. Dans l'extrait que j'ai choisi, Päldèn Gyatso est emprisonné depuis 7 ou 8 ans et il a changé déjà plusieurs fois de lieu de détention.




" On nous remit un petit recueil contenant les directives en seize points du président Mao. L'officier nous avertit d'un ton ferme que nous devions les apprendre par coeur. On attendait aussi de nous que nous exprimions clairement notre opposition à tous les ennemis du Parti auxquels nous devions être déterminés à faire la guerre. J'étais ébahi par la rapidité avec laquelle les autorités chinoises avaient produit ce petit livre et sa traduction tibétaine. Cela prouvait que la nouvelle campagne devait être prise très au sérieux.
On nous dit aussi que nous pouvions formuler nos doutes et nos critiques. Apparemment, Mao lui-même avait décrété que personne ne serait puni pour avoir exprimé ses vues. L'officier qui nous parlait semblait sincère. En dépit de son ton doux et mélodieux, je n'étais pas convaincu. Je ne cessais de penser au préambule de chaque interrogatoire que j'avais subi : Si tu avoues, on te traitera avec indulgence.
Nous étions si avides de parler librement que cette promesse de clémence incita un grand nombre de prisonniers à exprimer leurs doléances et donner libre cours à des sentiments gardés secrets durant des années. Aucun d'entre nous ne s'était jamais plaint de sa détention, des intimidations endurées durant les réunions hebdomadaires, de la cruauté des chefs de cellule. Avant toute chose, nous voulions pouvoir discuter librement entre nous sans craindre que nos propos fussent interprétés comme des diffamations du socialisme ou du Parti. Cette prétendue indulgence n'était évidemment qu'un piège, une tactique que les Chinois définiraient plus tard par : "comment attirer le serpent hors de son trou par la ruse". Cette promesse marquait le commencement de la révolution culturelle qui, durant les dix années à venir, plongerait le Tibet dans l'enfer."
p193-194

Monsieur Durckheim (2)


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mardi 6 mai 2014

Marcel dans Sud-Ouest

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Dans Sud-Ouest aujourd'hui



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SONJE

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songs
 from the
 bardo

Huit titres, huit chansons superbes que nous écoutons en boucle 
depuis le concert de samedi soir.
 À écouter sans modération.

Pour se procurer le CD de notre ami Pascal écrire à : 



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lundi 5 mai 2014

dimanche 4 mai 2014

Le prince de Jerez

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Cet Après-midi sous le chaud soleil d'Andalousie
le légendaire Valentino Rossi est arrivé premier.......
derrière le jeune prodige espagnol Marc Marquez.
Un jour je vous expliquerai les secrets
de Marc, de vrais secrets de disciple....;-)

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طليت على البئ

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Souad...

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vendredi 2 mai 2014

Lisa Hannigan - Je ne sais pas


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From Mister K


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Jerez de la Frontera



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Le GP Circus est en Andalousie ce WE
Voici Marc Marquez dans ses oeuvres.
Cherchez "l'erreur"

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Paroles de Tibétaines

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Trois récits : 
Ama Adhé, la guerrière khampa, a perdu son petit garçon, subi la torture et les camps de travail, en tout plus de 26 ans en prison.
 Richen Dolma Taring, l'aristocrate en exil depuis 1959 qui a été la première femme à recevoir une éducation hors de son pays.
       Pemala, née sur la route de l'exil, a passé son enfance dans les camps à casser  les cailloux pour construire les routes de l'Inde.

Trois femmes debout, au service de la Paix.

Un très beau livre.



Raku

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Cette petite tortue de la Paix est en soi une très belle idée de Caroline Vernet 
mais voilà que je relis le texte explicatif qui l'accompagne et qui parle du Raku :
" Le Raku  est une technique japonaise utilisée depuis le XVIème siècle pour faire des bols destinés à la cérémonie du thé. 
La technique consiste en la cuisson des pièces jusqu'à 900°-1000°, fusion des glaçures. Les pièces sont ensuite retirées du four à l'aides de pinces et, encore rouges, enfumées dans des récipients contenant des copeaux de bois ou autres végétaux, puis trempées dans l'eau. 
"Il y a toujours une part aléatoire. Ce qui compte, ce n'est pas l'accident, mais le regard sur l'accident."
 Raku en japonais signifie : Aise . Joie . Bonheur . " 


jeudi 1 mai 2014

La Gordini a 50 ans

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Elle vient tout juste d'avoir 50 ans, séquence rétro: comme de nombreux baby-boomers j'ai beaucoup rêvé de la petite bombe bleue aux bandes blanches, la Renault R8 Gordini. Mais je ne suis pas allé plus loin qu'un essai en concession...
Sensations garanties !



Mélodie tibétaine


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Danse sacrée selon l'enseignement de Monsieur Gurdjieff.
Cette démonstration a eu lieu en 2008 à Taipei
lors d'une réunion internationale sur les Constellations familiales
en présence de Bert Hellinger.

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Premier Mai


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Du bonheur pour chacune et pour chacun !

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Himalaya, le village suspendu


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Vu hier soir à partir du site :


Attachant, émouvant, c'est un documentaire très respectueux  de ceux qu'il nous font découvrir. 
Des hommes et des femmes courageux. 
Des images magnifiques.

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