skip to main |
skip to sidebar
"seuls ceux qui sont capables de voir leur vrai visage sans un miroir, seront capables de voir leur vraie nature. Quelle sorte de vision est-ce là ? Voir sans le miroir est voir non pas avec des yeux qui voient des objets mais en tant que CELA qui voit, c'est l'introspection ou inspection de la conscience par elle-même, là où il n'y a personne qui regarde"
Voir vraiment n’est pas seulement un changement dans la direction de la vision, mais un changement en son centre même, dans lequel le voyant lui-même disparaît.
Pour que l’illumination ait lieu le percevant doit juste se retourner et s’éveiller au fait qu’il est "face à face" avec sa propre nature – qu’ IL EST CELA.
Le chercheur spirituel trouve finalement qu’il était déjà à destination, qu’il est lui-même ce qu’il cherchait et qu’il était en fait déjà à la maison. ”
Ramesh Balsekar
envoyé par Julien
.
8 commentaires:
Ce retour à la maison "parait" si simple en fait... :-)
Merci Julien.
"Etre à la maison" : j'en rêve lorsque je suis en exil.
Pourtant, il me suffit de supprimer le rêve et l'exil pour regagner ma demeure. Car sans rêve ni exil, ne demeure plus que "je suis".
C'est vite dit. Et je me surprendrai sans doute longtemps encore à rajouter du rêve et de l'exil à "je suis"...
Isabelle
Petit bouquin. Facile à lire.
Facile à vivre ?
" La vie est un songe."
Pedro Calderon de la Barca
Superbe extrait Julien.
Encore un encouragement pour oser un début de véritable "expérience spirituele".
J-P Visio-petto
Il a une jolie image de la "progression" vers l'illumination Balsekar : un escalier. Il y a ceux qui ont le pied sur l'avant dernière marche...
Et c'est à eux qu'il s'adresse. Ce qu'on appelle l'enseignement ultime. J'ai arrêté de lire Balsekar.
'ai souvent l'impression que je ne suis pas qu'un assemblage de neurones fûssent-ils merveilleusement combinés car ces neurones ne sont que du carbone ,de l'hydrogène, de l'oxygène, des oligo-éléments, de l'électricité etc... et ces éléments là, ça ne pense pas et ce ne sont peut-être alors que des instruments permettant à la Conscience (à Cela) de voir à travers moi.
Gilles
merci Julien pour ces beaux extraits,j'adore Balsekar.Ces extraits la me font aussi penser tres fort a Douglas Harding,que j'aime autant.Il y a des etres qui sont doues de metre en mots ce qui semble tellement difficile a comprendre.Je sens une telle gratitude.Merci Douglas,
Arnaud,Alain...
A Christophe : plus de lecture de Balsekar, parce que l'ultime marche est franchie ?
Enregistrer un commentaire