mercredi 6 octobre 2010

Nouveaux médicaments

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Quatre nouveaux médicaments destinés principalement aux hommes vivant en couple et présentant des difficultés d'adaptation viennent d'obtenir leur autorisation de mise en vente.
Il existe bien sûr une alternative à cette médication, c'est le DVD "Les hommes viennent de mars et les femmes de Vénus" que nous vous avons récemment recommandé.
Merci à Jean-Baptiste pour cette information médicale.
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7 commentaires:

Corinne a dit…

Un léger petit reste de machisme, chers Jean-Baptiste et Alain...?
Nobody is perfect !

dimitri a dit…

Ou alors une marque de sagesse,
constatant que mieux vaut écouter l'esprit féminin.

Catherine Bondy:Psycho-Praticienne et Peintre. a dit…

Corinne,
Il vaut mieux en rire ,non ?
je t'embrasse. catherine.

jean-françois L. a dit…

- j'ai pas tout compris; c'est des remèdes de bonne femme? Sont-ils remboursés par la sécurité sociale,
au moins ?

Christian a dit…

"Évidemment, cette publicité pour ces produits au noms évocateurs (Dicommel, Faicommel, Penscommel et PIFERMLA), est une parodie... Une parodie représentative d'une psychiatrie qui se parodie elle-même à mesure qu'elle se prétend toute puissante et capable de raboter tout ce qui dépasse..."
Voir le blog http://jack-addi-the-blog.over-blog.com/article-nouveau-traitement-contre-le-trouble-conjugal-dysharmonique-57512135-comments.html

Anonyme a dit…

Le trouble conjugal dysharmonique, voilà un terme qui me plait bien. Vite je consulte le DSM V ( ou 6 je ne sais plus ), mais je ne le trouve pas !

Par ailleurs il y a les GIG, les GIC.
Mon père était un G.I.C.

A quand les G.I.P. ? ( Grand Invalide Psychique ), avec macaron à placer sur le tableau de bord ou sur la plaque arrière des 4 et 2 roues à moteur.

gjm

Anonyme a dit…

Plus grave encore que ces pseudos-médicaments :
voir le livre de Christopher Lane 2009 : Flammarion :

" Comment la psychiatrie et l'industrie pharmaceutique ont médicalisé nos émotions. "

DSM 5 Le livre qui rend fou.
Samuel Beckett avait-il raison ?
" On nait tous fous, quelques-uns le demeurent."

gjm