lundi 30 avril 2012
samedi 28 avril 2012
vendredi 27 avril 2012
Lee Lozowick - Please
Please (from album L'Ange Brisé) :
"Things ain't gettin better
Least not that I can see
So much crime and violence
and hate and cruelty
Muslim killin' infidels
Infidels killin' back
Christians cursing everything
Their uptight lives still lack
Please...
All I want's a little change, now
Yeah, just a litttle peace
Please...
All I want's a little change, now
Yeah a litttle sweet release
Hearts are breakin' easier
Learning's gone to hell
Viruses get smarter
Goodness doesn't sell
Sorrow, always so close
Happiness so rare
I'm askin' anyone for help
God or man, I don't care
I don't care who's listenin'
I don't care who's there
Just give me what I'm askin' for
Please it's only fair
I've traveled the world over
Worked and kept on track
All I want's this little thing"
jeudi 26 avril 2012
Jeff Foster
"Our deepest fear is not the fear of death, it is the fear of life. It is the fear of living, really living, of truly being alive and awake and unprotected here and now. For life includes everything, not just the 'good' stuff or the 'positive' stuff. Yes, it's joy and it's bliss but it's also pain and sadness, fear, anger and confusion. To truly be alive is to admit that you cannot protect yourself from any of it. Why do we fear the waves in the ocean when we ARE that very ocean?"
Jeff Foster, 6th April 2012
Notre peur la plus profonde n’est pas la peur de la mort, c’est la peur de la vie.C’est la peur de vivre, de vraiment vivre, d’être réellement vivant et éveillé et sans défense ici et maintenant. Car la vie inclut tout, pas uniquement les ‘bonnes’ choses ou les choses ‘positives’.Oui, c’est la joie et c’est la béatitude mais c’est aussi la douleur et la tristesse, la peur, la colère et la confusion.Etre réellement vivant c’est admettre que vous ne pouvez vous protéger de rien.Pourquoi avons-nous peur des vagues de l’océan quand nous SOMMES précisément cet océan.
Jeff Foster, 6 avril 2012
Olivier (partage et traduction) Merci
mardi 24 avril 2012
La traversée
Les Constellations familiales amènent à prendre conscience de tout ce dont nous héritons de nos lignées. Dans ma famille, il y a le chagrin du départ de l'Algérie. Alors, sur les conseils éclairés de Marie-Thérèse, je lis ce livre. Pas dans une perspective historique, c'était un premier un moyen d'approche, mais simplement pour reconnaître, honorer le poids de ce chagrin et le laisser partir.Je ne l'ai pas encore terminé, je ne sais pas ce qu'il peut dire à ceux qui n'ont pas vécu de près ou de loin ce moment là... Je sais seulement qu'il y a chez l'auteur une grande sincérité émotionnelle et aussi un grand attachement à la souffrance de l'Algérie perdue : tous ses livres parlent plus ou moins de l'Algérie et cinquante ans plus tard, c'est encore le départ qui le hante. Et c'est, avec respect pour sa manière d'être à lui , ce que je ne veux pas pour moi. Il y a deux moyens très efficaces de rester attaché au passé, l'un consiste à ne jamais y revenir, l'autre à y revenir sans cesse. Entre l'oubli et le silence plombé d'un côté et le bavardage incessant de la mémoire de l'autre, il y a une troisième voie. Celle de la traversée, justement. Revenir, revivre, le plus consciemment possible ...et laisser partir.
lundi 23 avril 2012
mercredi 18 avril 2012
Le cuisinier
Merci à Marielle qui m'a conseillé ce livreJe n'ai pas été passionné par l'histoire elle-même, mais vraiment émerveillé par les descriptions de préparations culinaires ayurvédiques dont ce livre est truffé. Si vous doutez encore que l'art culinaire est un très grand art, ce livre est pour vous. Et si vous voulez vous lancer dans l'aventure de la "Love food" vous avez les recettes en annexe à la fin du roman. J'ai envie de partager cette lecture avec vous aujourd'hui car je suis assistant de cuisine pendant quatre jours d"un Chef" de la région. Belle expérience en perspective ;-)
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Royal Enfield s'encanaille !
Au dernier salon auto-moto de New-Delhi, Royal Enfield, la célèbre marque de moto dont nous avons visité l'usine de Chennaï en janvier dernier, a présenté ce tout nouveau modèle : la Continental GT qui devrait être importé en France si toutefois les drastiques normes anti-pollution européennes le permettent.
Un bien joli Café-Racer à l'indienne en tous cas.
Nomade sur la voie d'Ella Maillart
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Pour celles et ceux que fait vibrer la pure poésie du nom des lieux : Irkoutsk, le lac Baïkal, le Xinjiang, Kaboul, Jalalabad, Mazâr-e-Charif, Boukhara, Douchanbé, Samarcande, Tachkent, Gilgit, la chaîne du Karakorum, le désert du Takla Makan, Kashgar, Aksou, Srinagar, Amristar, Lahore, la vallée de Hounza, le Shangri-la....
Et la pure poésie du nom des peuples : les Ouïgours, les Bouriates, les Hans, les Kirghizes, les Pachtounes, les Miaos, les Ouzbeks, les Tadjiks, les Mongols, les Mandchous, les Baloutches, les Aimaks, les Nouristanis, les Turkmènes, les Hazaras...
Et enfin pour les amoureux du nom des langues : le dari, le parsi, l'ourdou, l'hindi, le russe, le chinois, l'ouzbek, le baloutchi, le herati, le pachtou, le hazara, le balti, l'aimak...
De quoi être touchée par l'infinie diversité des humains et arrêter de se prendre pour le centre du monde...
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mardi 17 avril 2012
Kafka sur le rivage
'Kafka sur le rivage' est un roman d'initiation où Haruki Murakami mêle avec adresse le réel, le surnaturel et les traditions japonaises, dans un style particulier fait de réflexions - entre poésie, philosophie et psychanalyse - sur l'amour, la vie, l'au-delà... Le parcours s'avère initiatique tant pour le héros que pour le lecteur. Murakami nous propose un voyage au pays de la littérature japonaise, occidentale, et nous invite à goûter au pouvoir onirique de la musique classique. Dans un style fluide, l'auteur japonais étudie les tourments de l'âme humaine et s'immisce dans nos propres turpitudes. Il se fait habile alchimiste tentant, à travers les mots, de trouver la porte d'entrée - "la pierre de l'entrée" - entre le monde matériel et le monde spirituel. Départ pour un voyage qui se transforme en étrange périple dans une forêt d'outre-tombe, un parcours in-utero. S'ensuivent des séquences troublantes où le temps et l'espace se confondent et où la vie n'est que métaphore. On ressent une grande solitude dans les personnages de 'Kafka sur le rivage', malgré les liens qui se tissent entre eux. Il en ressort que chacun de nous - personnage ou lecteur - est condamné à chercher seul sa vérité, qui lui est propre. Ce roman, d'un genre particulier, laisse une impression ambivalente : un inconfortable sentiment d'incompréhension, de désarroi, mais une irrésistible envie de faire confiance aux rencontres du hasard.
Evene
Ce qui frappe d'abord à le lecture de « Kafka sur le rivage », c'est le nombre impressionnant de genres littéraires qu'on y trouve : le roman historique (l'occupation américaine lors de la seconde guerre mondiale), le conte (il pleut des poissons et des sangsues), le polar (qui a tué cet artiste réputé ?), la tragédie (le personnage central, le jeune Kafka Tamura, est victime de la prédiction funeste programmée par son père), le roman mythologique (référence très forte à Oedipe et ses parents), le roman philosophique (exposé sur le concept du sujet et de l'objet d'Hegel) et enfin le livre d'épanouissement personnel, qui transcende tous ces genres en donnant une unité à ce roman et une finalité à la fugue du jeune Kafka.
Ce qui frappe ensuite, c'est la capacité d'Haruki Murakami à nous faire ressentir les événements qu'il décrit. Son écriture dépouillée et fluide permet d'aller au coeur de l'action et de s'approprier les émotions fortes des différents personnages. Que ce soit de la tristesse, de l'excitation érotique ou encore du suspense, le lecteur vit par moment organiquement ce que vivent les êtres de ce roman. Comme le dit un personnage : « le plus important pour nous, c'est que chacun se laisse absorber par la vie ».
Ce roman invite à l'introspection : « Souvent quand tu mets le pied dans un labyrinthe extérieur, c'est que tu entres aussi dans un labyrinthe intérieur ». Cette métaphore met en relation les deux types de cheminement qu'accomplissent les deux personnages centraux de ce roman : le parcours géographique (une fugue pour Kafka, un premier voyage en dehors de sa ville pour le vieux Nakata suite au meurtre de l'artiste) et le parcours intérieur (se libérer de la terrible prédiction paternelle pour Kafka, remplir le vide qui habite Nakata et qui permet à d'autres de faire ce qu'ils veulent de lui). Ces deux parcours se développent parallèlement, d'abord sans lien apparent, puis les interrelations se font de plus en plus nombreuses. Et comme tout est relié chez Murakami, qui fait dire à un de ses personnages que « la logique, la morale ou la signification n'ont pas d'existence en tant que telles, mais naissent d'interrelations », d'autres mondes se rencontrent dans ce roman (la frontière entre le réel et le surnaturel est supprimée, des personnages du passé côtoient ceux du présent, les chats peuvent communiquer avec certains personnages, etc.).
Roman métaphorique et fantasmagorique, « Kafka sur le rivage » peut désarçonner le lecteur rationnel. En plus de mélanger allègrement les genres littéraires ainsi que les mondes réels et surnaturels, il soulève de nombreuses hypothèses auxquelles aucune réponse claire n'est donnée. Sans doute une invitation à l'exploration des différents mondes dont nous n'avons pas encore trouvé la porte d'entrée.
Jeff sur Amazon
Et dans le mode "critique minimaliste" :
D'abord merci Christian pour m'avoir incité à fréquenter l'univers de Murakami. J'ai bien apprécié " Autoportrait de l'auteur en coureur de fond". Je me suis trouvé certains points communs avec Haruki, ne serait-ce que notre modeste performance sur le marathon. Kafka sur le rivage, c'est envoûtant, décoiffant, mystérieux, à lire comme on regarde un rêve, un rêve initiatique, qui ouvre des portes, qui fait sauter des barrières. Comme pour "1Q84" je me suis trouvé mitigé, une part timide de moi disait : "Arrête de lire ça, ce n'est pas bon pour toi" mais faites attention, quand un livre de Murakami vous attrape, il ne vous lâche plus.
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Herbie Hancock
lundi 16 avril 2012
Don't give up
La citation du lundi
Ce n'est pas vraiment une citation mais un rappel de bon sens salutaire,
entendu ce week-end, que nous avons passé
à consteller avec Marie-Thérèse Bal Craquin :
"N'oubliez pas que face à un précipice, reculer c'est progresser..."
dimanche 15 avril 2012
Divine romance
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Une de mes chansons préférées que je me suis enfin décidé à traduire.
The fullness of Your grace is here with me
The richness of Your beauty’s all I see
The brightness of Your glory has arrived
In Your presence God, I’m completely satisfied
For You I sing I dance
Rejoice in this divine romance
Lift my heart and my hands
To show my love, to show my love
A deep deep flood, an Ocean flows from You
Of deep deep love, yeah it’s filling up the room
Your innocent blood, has washed my guilty life
In Your presence God I’m completely satisfied
La plénitude de Ta grâce est ici avec moi
La richesse de Ta beauté est tout ce que je vois
L’éclat de Ta gloire est arrivé
En Ta présence Dieu, je suis complètement satisfait
Pour Toi je chante, je danse
Me réjouis dans cette divine romance
Mon cœur, mes mains s’élèvent
Pour montrer mon amour, pour montrer mon amour
Un flot profond, un océan de Toi jaillit
D’amour profond, oui, la pièce s’en emplit
Ton sang innocent a lavé ma vie de sa culpabilité
En Ta présence Dieu, je suis complètement satisfait
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vendredi 13 avril 2012
Connaissez-vous Devprayag ?
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C'est le lieu, en amont de Rishikesh où les rivières Alakananda et Bhagirathi se rejoignent pour former The Holy Ganga. Lieu sacré, lieu de pèlerinage où nous irons en octobre avec le prochain groupe. J'adore ce moment de préparation d'un voyage où on sort les cartes et où on rêve sur les noms et sur les photos s'il y en a.....
jeudi 12 avril 2012
Pour Jean-Marie R.
Malgré la nuit
Oh je sais bien la source qui coule et fuit
malgré la nuit.
Cette source éternelle est cachée
oh je sais bien d'où elle surgit
malgré la nuit
Son origine je l'ignore : elle en est libre
mais je sais que toute origine en vient
malgré la nuit.
Je sais qu'aucune chose n'est si belle
et que cieux et terre boivent en elle
malgré la nuit.
Je sais qu'on y trouve aucun sol
et que nul ne peut la guéer
malgré la nuit.
Sa clarté n'est jamais obscurcie
et je sais que toute lueur en jaillit
malgré la nuit.
Je les sais si forts ses courants
baignant l'enfer et les cieux et les gens
malgré la nuit.
Le flot qui nait de cette source
je le sais bien si ample et tout puissant
malgré la nuit.
Le cours qui de ces deux procède
je sais qu'aucune d'elles ne le précède
malgré la nuit.
Cette source éternelle se cache
dans ce pain vivant pour nous donner la vie
malgré la nuit.
On y appelle les créatures
qui de cette eau s'abreuvent même dans l'obscur
car c'est la nuit.
Cette source vive que je désire
moi je la vois dans ce pain de vie
malgré la nuit.Saint Jean de la Croix
Malgré la nuit
Chant de l'âme qui se repose
en connaissant Dieu par la foi.
in Poésies
Ed Mille et une nuits p14-15.
mercredi 11 avril 2012
Léo et Corinne
Bienvenue sur cette Terre à Léo,
fils d'Adrien et Aurélie,
Léo est né hier matin ,
magnifique cadeau pour sa grand-mère
qui fête son anniversaire aujourd'hui
en tenant son premier petit enfant dans les bras.
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mardi 10 avril 2012
lundi 9 avril 2012
La citation du lundi
"La prière et la contemplation spirituelle sont pour la santé spirituelle ce que sont la nourriture et les exercices pour la santé corporelle. Qui désire mener une vie sous le signe de l'esprit doit consacrer chaque jour une partie de son temps à la prière, au japa (1) et à la contemplation. Comment espérer trouver le Seigneur quand on ne peut réserver chaque jour quelques moments pour détourner son mental des affaires mondaines et penser exclusivement à Dieu ?"
(1) Qui équivaut à la prière du coeur chez les chrétiens, ou au rosaire.Chandra Swami Udassin
L'Art de la réalisation
Cité par Nadège Amar, Cheminer avec la méditation Ed du Relié p 103
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samedi 7 avril 2012
Enrico Pieranunzi
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Encore un pianiste que j'aime .. tout en délicatesse ... Enrico Pieranunzi...
Dans un thème très connu de Jérome Kern: Yesterdays
Monique
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vendredi 6 avril 2012
Amitiés afghanes
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"Dix ans après le 11 Septembre et l’entrée en guerre des États-Unis contre l’Afghanistan, on devrait reparler de cette région… et pour une fois, on pourrait envisager de le faire avec une certaine empathie. Loin du discours surplombant des journalistes, sociologues ou essayistes qui ont passé une semaine en Afghanistan et pensent avoir tout compris du pays, loin des théories géopolitiques développées par les diplomates et des récits de soldats engagés sur le terrain, Charlotte Dufour propose un portrait tout en nuances, nourri par dix ans de présence quasi-ininterrompue dans diverses régions afghanes. Jeune humanitaire envoyée étudier les problèmes de malnutrition durant la période talibane, salariée du gouvernement afghan pendant la reconstruction puis mandatée par l’ONU pour y superviser les politiques liées à l’alimentation, elle a pu tisser des liens privilégiés avec ses interlocuteurs et souhaite corriger l’image que nos médias donnent d’un pays trop souvent réduit à la guerre et à l’intolérance des fanatiques religieux. A travers un récit parfois intime, elle raconte sa vie dans les faubourgs de Kaboul, comment elle parvient à entrer en contact avec les femmes afghanes, à entretenir des relations avec les hommes avec lesquels elle travaille et à nouer des amitiés indéfectibles avec les unes et les autres"
J'ai d'abord été dubitative face au récit de l'action des ONG qui m’apparaissait découler à la fois de beaucoup de bonne volonté de la part des acteurs de terrain et en même temps de cette arrogance incroyable de l'Occident qui a la prétention de "comprendre les problèmes " et la suffisance de croire que lui seul détient la solution.
Et puis, j'ai été touchée par l'honnêteté de Charlotte Dufour et son amour authentique pour l'Afghanistan et pour les afghans. Il n'y a que l'amour qui, quelles que soient les conditions dans lesquelles nous nous trouvons, permet de donner et recevoir en équilibre, qui permet d'apprendre de ceux qu'on venait aider, qui permet de comprendre au lieu de juger. De plus en plus l'auteure donne la place et la parole à différents amis afghans. Le dernier mot du livre est "confiance", et ce n'est pas un hasard ! C'est vraiment une belle lecture qui ouvre le coeur..
jeudi 5 avril 2012
Le marsupilami
Ah, toute mon enfance ! quand j'attendais avec impatience
chaque semaine le jour de la parution de Spirou.
Séquence nostalgie
Il est mignon le marsup de Chabat ;-)
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La loi du moindre effort
J’utiliserai la Loi du Moindre Effort
en m’engageant à respecter les étapes suivantes :
1. Je pratiquerai l’Acceptation. Aujourd’hui j’accepterai les gens, les situations et les évènements tels qu’ils se présentent. Je saurai que ce moment est tel qu’il doit être car l’univers entier est tel qu’il doit être. Je ne lutterai pas contre l’univers entier en luttant contre ce moment. Mon acceptation est totale et complète. J’accepte les choses telles qu’elles sont en cet instant, et non comme je souhaiterais qu’elles soient.
2. Ayant accepté les choses telles qu’elles sont, je prendrai la Responsabilité de ma situation et de tous ces évènements que je vois comme étant des problèmes. Je sais que prendre ma responsabilité signifie ne pas jeter la faute sur qui que ce soit ou quoi que ce soit (moi y compris). Je sais également que chaque problème est une opportunité déguisée, et cette vigilance aux opportunités me permet d’accepter ce moment et de le transformer en bienfaits encore plus grands.
3. Aujourd’hui ma conscience restera établie dans la « non défense ». Je renoncerai au besoin de défendre mon point de vue. Je n’éprouverai pas le besoin de convaincre ou de persuader les autres d’accepter mon opinion. Je resterai ouvert à tous les points de vue et ne serai attaché à aucune opinion de façon rigide.
Deepak Chopra
http://www.chopra.com/laws/
mercredi 4 avril 2012
1Q84
Je viens de dévorer en quelques jours les 1500 pages des 3 volumes du dernier livre de Haruki Murakami. Je découvre cet auteur sur une indication de Christian, et j'en suis très heureux. Si vous avez envie de changer un peu de lecture, si le fantastique ne vous rebute pas, si vous ne faites pas le fine bouche sur un beau roman d'amour, si vous aimez être entrainé dans un univers inconnu, alors lisez 1Q84. À certains moments, j'étais un peu mitigé, ce qui faisait rire Corinne, car je n'en continuais pas moins à lire dans tous les moments disponibles. 1Q84 ne m'a pas lâché !
"Une oeuvre hypnotique et troublante, un roman d'aventures, une histoire d 'amour, deux êtres unis par un pacte secret. Dans le monde bien réel de 1984 et dans celui dangereusement séduisant de 1Q84 va se nouer le destin de Tengo et D'Aomamé...
Ceux qui s'aiment ne sont jamais seuls, sous les deux lunes de 1Q84."
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mardi 3 avril 2012
À propos de l’amour...
.Encore un extrait de Three Teachings de Tenzin Palmo que je suis en train de relire.« You see, when we lose something we love, it’s our attachment which is the problem, not the loss. That’s what causes us grief. And that is why the Buddha taught that with attachment comes fear and grief. We have the fear of losing, and then, we have the grief when we lose. Buddha never said that love causes grief .Love is an opening of the heart. It’s like the sun shining. The sun just naturally shines. It doesn’t discriminate, shining on this person but not on that one. It just shines, because it’s the nature of the sun to give warmth. Some people go inside and close the doors and windows ; that’s their problem. The sun is shining anyway. And it’s that quality of heart wich we have to develop. That quality of open, unconditionnal loving, no matter what. »« Vous savez, lorsque nous perdons quelque chose que nous aimons, le problème c’est notre attachement , ce n'est pas la perte. C’est notre attachement qui est la cause de notre souffrance. C’est pourquoi le Bouddha a enseigné que l’attachement engendre la peur et la souffrance. Nous avons peur de perdre ce à quoi nous sommes attachés et nous souffrons lorsque nous le perdons. Le Bouddha n’a jamais dit que c’était l’amour qui était la cause de la souffrance.L’amour est une ouverture du cœur. C’est comme le soleil qui brille. Le soleil brille naturellement. Il ne fait pas de différence, ne brille pas pour une personne et pas pour une autre. Il brille simplement parce que c’est sa nature de répandre de la chaleur. Certains se retranchent à l’intérieur de leur maison et ferment portes et fenêtres ; c’est leur problème. Le soleil n’en continue pas moins de briller. Et c’est cette qualité de cœur que nous avons à développer. Cette qualité d’ouverture, d’amour inconditionnel, quel que soit l’objet de notre amour. »P 67-68.
lundi 2 avril 2012
Renaud Garcia Fons
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Le final du Concert merveilleux de Renaud Garcia Fons
au Creusot en janvier ( après 3 rappels)
Monique
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La citation du lundi
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À une personne se plaignant d’une alternance entre les jours où elle est consacrée à la pratique et se sent bien et les jours où elle va mal et se sent démotivée, voici ce que Tenzin Palmo répond :
« Nobody, including the great saints, were ever or always on an eternal high. Usually great highs are followed by deep lows .
The good practitioner just keeps going. The good practitioner doesn’t get too high when it’s high, and doesn’t get too low whent it’s low. S/he realise that is the nature of Samsara, originating from Samsara. Waves go up and waves come down.
These are just clouds in the nature of the sky- like mind. And a good practitioner just goes on. There are going to be ups and down, there are going to be beautiful meadows and deserts. We just carry on walking. Don’t get too attached to the beautiful meadows and the streams, don’t be disheartened by the deserts. Just keep going, that’s all you can do. »
in Tenzin Palmo
Three Teachings
p25-26
« Personne, y compris les grands saints, ne peut se maintenir éternellement au plus haut sommet. Généralement les grands hauts sont suivis de grands bas.
Le bon pratiquant, c’est celui qui continue. Le bon pratiquant ne s’exalte pas trop lorsqu'il est à un sommet et ne se désespère pas lorsqu'il est au fond du gouffre. Il/elle réalise que cela tient à la nature du Samsara, que cela prend sa source dans le Samsara. Les vagues s’élèvent puis retombent.
Il s’agit simplement de nuages obscurcissant la nature de ciel de l’esprit. Et un bon pratiquant c’est celui qui, simplement, continue à pratiquer. Il y aura des hauts et il y aura des bas, il y aura des prairies verdoyantes et il y aura des déserts. Continuons juste à marcher. Ne soyez pas trop attaché(e) aux belles prairies et aux ruisseaux, ne soyez pas découragé (e) par les déserts. Simplement, continuez d'avancer, c’est tout ce que vous avez à faire. »
Traduction personnelle revue et corrigée par Alain-René que je remercie.
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dimanche 1 avril 2012
Dis, Papa, il te plaît le iPad que nous t'avons offert ?
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Merci à Aurélie, Adrien, Olivier
J'ai enfin compris à quoi sert un iPad
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Synchronicité
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Merci, merci, Jean-François.
C'est la musique qui a accompagné la première Cérémonie de l'Encens à laquelle j'ai participé. Dans la tradition amérindienne, la Cérémonie de l'Encens préside à chaque rencontre, chaque action importante. Elle permet d'ouvrir un espace sacré à l'extérieur et en soi, de se purifier. Non que nous soyons souillés, c'est une idée étrangère aux amérindiens. Nous sommes encombrés de tout un tas de pensées et d'émotions parasites. La Cérémonie de l'Encens nous purifie de tout cela qui n'est pas nécessaire à ce que nous allons entreprendre, elle nous recentre.