lundi 6 décembre 2021

La citation du lundi

 

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" On ne se marie pas parce qu'on aime, 

on se marie pour apprendre à aimer"


Impossible de me souvenir où j'ai lu cette traduction d'un dicton indien...


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8 commentaires:

Anonyme a dit…

Merci Corinne !
Karl

M-Jose a dit…

Touchant de justesse....
Merci

Frédérique a dit…

Comme c’est vrai !!!
Merci 😘

j-p gepetto a dit…

Oui...
JP Gepetto

Jean Louis a dit…

Corinne,
Dans une lettre à Pierre du 26 mars 1999 page256, Arnaud a écrit : "L'amour dans le couple est au coeur du choix: être ou avoir. En Inde, j'ai entendu: "on ne se marie pas par amour, on se marie pour aimer." "

Pour une existence consciente.
Lettres à ses élèves- Editions Accarias L'Originel.

Amicalement,
Jean Louis Tissier

Philippe a dit…

Bonjour,
Yvan Amar l'a souvent évoqué et parlait de ses "trois maîtres", Chandra Swami, la maladie et… son épouse Nadège !
Merci pour ce rappel dans un contexte où la proximité induite peut être un travail !
Philippe

Anonyme a dit…

Franchement désolé mais je vois pas ou est la justesse là dedans. Je sais pas dites çà peut être aux femmes qui sont mariés de force ? Hein. Enfin bref.

Thiabaud Jean Marc a dit…


Bonjour,

Je rajoute un grain de sel, non deux, avec un peu de retard : un extrait de ce billet de volte-espace : http://volte-espace.fr/la-cause-des-humains-marie-balmary/

Retour au commencement : « Ce n’est pas bon pour l’homme d’être seul. Je ferai une aide contre lui. » Genèse, 2, 18

« … Ce n’est pas bien/bon : voilà du nouveau, le divin trouvant une chose pas bonne. Pas bon d’être seul : littéralement être isolé, être à part. … Pas être seul au sens être unique. Mais être privé d’autre. Être sans. Si l’image du divin est la relation humaine différenciée, la solitude de l’homme ne peut pas lui être agréable à voir. [Le Sacrifice Interdit - Freud et la Bible", page 295 de l’édition de poche 1986]

“Une aide contre lui.” Humour d’André Chouraqui. Faut-il en connaître quelque chose, de la relation conjugale, pour dire cela … » [page 296]

Et un peu plus loin, toujours au commencement :
« Élohim dit à Abraham : Saraï, ta femme, Ne clame plus son nom Saraï, ma princesse, Car son nom est : Sarah, la princesse." Genèse, 17, 15

Marie Balmary développe plus longuement cette mutation de Saraï en Sarah dans l’article « Des religions pour les servir ou pour qu’elles nous servent ». Voici juste le cœur de sa découverte :

— “Tu lis la Bible maintenant ?”

— “Oui, dis-je, et ce que je viens d’y lire est incroyable. Connais-tu un dieu qui demande à un homme de ne plus appeler sa femme “ma princesse”, car “la princesse” est son nom ?”

— “Tu veux dire qu’il demande au mari de ne plus considérer sa femme comme sa possession ?”

Je vous souhaite un bon ... couple !

Cordialement

Jean Marc