dimanche 15 mai 2011

Joachim Kuhn (1970)

.


Karl

.

5 commentaires:

jean-françois L. a dit…

Ah, Kühn... C'est un peu un équilibriste lui aussi.
Un début de mélodie très touchante, un peu à la Mac Coy Tyner; et puis des dérapages contrôlés - qui
lui sont propres ( je ne parle pas de l'émission de radio qui surgit un instant ! ).
Merci; ça faisait un moment que je me disais qu'il faudrait que je réécoute ce grand pianiste.

Anonyme a dit…

Je t'avoue Jean François que s'est un peu déroutant pour moi le free jazz mais j'y prends goût ! Je suis allé voir samedi le Sarah Morrow trio avec la merveilleuse batteuse Julie Saury.
L'invité était Jo Ann Pickens qui a mis le feu à la salle ainsi que Sarah Morrow et son trombone.Je ne connaissais absolument aucun d'eux mais ça a été un vrai bonheur. C'est la première fois que je vois une batteuse : elle assure !

jean-françois L. a dit…

Et bé oui ! C'est la fille de Maxime Saury, le clarinettiste de jazz trad; qui est excellent. Ca aide...
Si je peux me permettre, le boulot d'un artiste n'est-il pas aussi de dérouter? Des fois.

dimitri a dit…

J'ai écouté beaucoup de Free-jazz
et je suis allé loin en Électronica ,mais à présent je préfere lorsque c'est structuré ,
bien que l'électroacoustique ,la musique industrielle (l'indus ) ou la Noisy ne me dérange pas -

Il y a meme des albums comme "Loveless" de
My Bloody Valentine qui sont casi-accessibles et auquels je reviens lorsque j'y pense - ;)

yannick a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.