Je ne me rappelle plus de la date exacte... c'était une semaine "Douglas" à Ardenne où nous étions chargés Serge et moi de faire la cuisine pour les stagiaires... c'était génial... d'abord d'être avec Serge qui était un Ami vraiment généreux... et puis de cuisiner dans la cuisine d'Ardenne !
C'était un gros boulot pour Serge et moi cette semaine là... une centaine de repas par jour je crois, pendant une semaine... on a relevé le défis haut la main... et sur la photo nous étions dehors... entre le porche du bas et la maison de Marc...en train de dédicacer le recueil de recettes des repas de la semaine que Valérie avait tapé pour nous sur demande express des stagiaires !!! Chaque stagiaire
a eu sa dédicace... c'était rigolo bien sûr... en tout cas je garde toujours précieusement la dédicace de Serge sur mon feuillet... peut être un de vous a t'il aussi une de ces reliques chez lui ?!
6 commentaires:
oh oui, quel merveilleux souvenir ! Qu'est-ce qu'on s'était régalé, hein ? Dis-donc, ipapy avait une sacrée barbe !!!
C'est émouvant de nous voir assises près de l'Ami Serge...
Bonjour les ami-es, j'ai conservé un exemplaire de "La cuisine de Julie et Serge", semaine du 13 au 17 juillet 1997,fascicule conçu par Valérie.
Julie et Serge m'ont écrit une dédicace.
Je conserve ce "précieux recueil" de recettes en mémoire de cette merveilleuse semaine de partage, d'amitié, de Communion au sein de notre Véritéble Nature.
Je vous embrasse.
Génial !!! Merci pour les dates... Je t'embrasse chaleureusement aussi !
J'y étais!!! eh oui ça fait plus de 11 ans que je partage la vie de ta soeurette... doux souvenirs... c'est vrai, l'ambiance était vraiment chaleureuse. Le futur ipapy m'avait invité officiellement à la semaine Douglas... que de bouleversements pour un jeune de 19 ans. Mais au fait... qui l'a prise cette photo???????
Et oui je viens de revoir l'exemplaire dedicacé par les 2 chefs.
Superbe souvenir.
Merci Julie.
Michèle S
Non je n'ai pas de dédicace, mais le souvenir bien présent de Serge que j'avais rencontré étant visiteur au Bost. Nous logions pas loin du Bost, dans un hôtel peu ordinaire où nous faisions nos lits, participions à volonté à la cuisine ; et dans les champs une ambiance étrange avec de nombreuses vaches mortes, tuées par une très forte tempête.
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