jeudi 31 juillet 2008
mercredi 30 juillet 2008
En Calcat
Nous voilà partis pour le monastère bénédictin d' En Calcat dans le Tarn. C'est la cinquième fois que nous allons animer une retraite là-bas. Nous somme vraiment heureux de retrouver la communauté des moines, frère Daniel, frère Paul-Marie...et de découvrir un nouveau groupe constitué à moitié "d'anciens" et de "nouveaux"... A lundi !!
ps : nous avons programmé à l'avance quelques petites bricoles ...
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Journal d’une apprentie chamane
J’ai au début été un peu agacée par le style « journaliste parisienne » du récit. Il y a cependant dans ce petit livre des passages fort intéressants.
L’auteur, Corine Sombrun, à la suite de la mort d’un proche part au Pérou suivre l’enseignement d’un chaman de la forêt amazonienne : son but est de garder le lien avec la personne aimée. Le mois qu’elle passe à recevoir différentes initiations assez musclées est destiné à savoir si le chaman acceptera de la prendre en tant qu’apprenti chaman…ça vous rappelle quelque chose ???
Tel qu’il est décrit ici le chaman est un guérisseur, mais il y a dans l’exigence de son apprentissage, le but de sa quête et la notion de service qui l’anime tous les ingrédients d’une véritable voie spirituelle.
Francisco, le chaman, explique à moment donné le « cursus » pour devenir chaman…
La consécration nécessaire dépasse largement la demi-heure de méditation quotidienne et la ou les deux semaines de séjour annuelles dans un centre spirituel…C’est une pratique active « full time » !
« Toute personne voulant devenir chaman doit suivre la discipline requise, soit isolement, diète à base de plantes, apprentissage des icaros, prise de plantes hallucinogènes…
Le chaman ne peut soigner qu’en entrant en contact avec le monde des esprits. C’est en effet ce monde des esprits qui va expliquer au chaman comment guérir son patient. Mais pour entrer en contact avec ce monde, le chaman doit prendre des plantes hallucinogènes, plantes qui sont destinées à lui procurer les visions au travers desquelles les esprits vont lui expliquer comment soigner son patient.
Les plantes hallucinogènes les plus utilisées dans cette partie de l’Amazonie sont l’ayahuasca et le tabac. Du tabac pur, pas celui qu’on trouve dans nos cigarettes. Les deux plantes sont préparées en potion afin d’êtres bues.
Pour affiner son interprétation des visions, pour apprendre à soigner, l’apprenti chaman doit également recevoir la connaissance de certaines plantes, dites « plantes maîtresses », représentées par quelques centaines de plantes, dont la liste est établie et seulement connue des maîtres chamans. L’apprenti doit donc apprendre à les reconnaître, apprendre à leur parler en étudiant leur chant et apprendre à les « diéter ».
Diéter veut dire boire la préparation à base de la plante au début d’une période de diète qui va de cinq jours à quatre ans. Cette durée dépend de la plante et de la masse de connaissances qu’elle a à transmettre. Comme les plantes se diètent les unes après les autres selon des ordres précis indiqués par le maître, il faut compter environ quinze années de diètes à un chaman pour terminer son apprentissage.
Après ça, ayant acquis la connaissance de l’ensemble des plantes et des arbres »maîtres », il pourra consacrer sa vie à soigner.
La majorité des chamans ne travaille en général qu’avec les esprits d’un seul des trois mondes, celui de l’eau, de la terre ou de l’air. Les chamans les plus puissants travaillent avec les esprits des trois mondes. On les appelle des Bancos. »
Corine Sombrun
Journal d’une apprentie chamane
Ed Pocket spiritualité p 52-53
Journal d’une apprentie chamane
Ed Pocket spiritualité p 52-53
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mardi 29 juillet 2008
Wall-E
L'idée de départ me paraissait sympa : une romance écolo entre deux gentils robots . Nous sommes sortis de la séance consternés par la pauvreté du scénario. Pauvreté du scénario proportionnelle à la débauche technologique. Le film illustre très bien ce qu'il essaye de dénoncer : un monde fasciné par la consommation et la facilité qui en a oublié de vivre et d'aimer. Désolé Wall-E, désolé Eve............
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film
Préparation
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Nous avons surpris Michel Desveronnière (le pilote) et Renaud de Wouters (le passager) en pleine préparation du GRMH 2009 sur une petite route près de Nantes, chevauchant une Harley Davidson .Mais où sont les équipements de sécurité ? Bon, d'accord, c'était juste pour la photo. Bonnes vacances les amis.....
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Rêve
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Cette photo me fait penser à un rêve de cette nuit.
Impressionnante la photo et rafraichissante.
Ici à Romans on attends l'orage, il fait chaud et lourd.
Cette photo me fait penser à un rêve de cette nuit.
Impressionnante la photo et rafraichissante.
Ici à Romans on attends l'orage, il fait chaud et lourd.
Le surfeur américain Anthony Tashnick durant le concours Big Wave Africa, au large du Cap, en Afrique du Sud, il y a deux jours.
Crédit : REUTERS/Mike Hutchings
.Crédit : REUTERS/Mike Hutchings
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De la prison à l'éveil
Alain, connaissez-vous ce livre? ça a été mon livre de chevet pendant mes vacances, cette année. Je l'ai débuté sur le mode "encore un bouquin sur l'éveil, bah! pourquoi pas?" Et puis j'ai été pris, d'abord parce qu'il m'a fait rire et puis qu'ensuite j'y ai retrouvé quelques accents de "provocation" qui m'ont beaucoup fait réagir chez un certain Alain Bayod. Je vous le recommande.
Laurent Sarthou
Oui, cher Laurent je connais ce livre et je l'ai beaucoup apprécié, je le recommande aussi.
"Condamné à sept ans et demi de prison aux Etats-Unis, Satyam Nadeen passe les deux premières années de sa réclusion dans un quartier de haute sécurité. C'est là, dans les pires conditions de vie, au milieu de la violence quotidienne, qu'il a soudain la conscience, vaste et lumineuse, de ce qu'est la vraie réalité. Dans un style drôle et incisif, l'auteur nous raconte comment il est passé de la vision étriquée de Monsieur Tout-le-monde, avec ses préjugés, à la vision transcendante qui permet de voir les choses telles qu'elles sont dans leur clarté essentielle. Il explore au passage les thèmes communs à toute recherche spirituelle, quelle que soit la tradition où elle s'inscrit : le libre arbitre, la prière, l'amour, la compassion, le rôle de l'instructeur... Il sait se montrer tendre, mais aussi impitoyable, avec les idées reçues qui ont fait l'âge d'or du New Age. Satyam Nadeen enseigne actuellement aux USA."
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Laurent Sarthou
Oui, cher Laurent je connais ce livre et je l'ai beaucoup apprécié, je le recommande aussi.
"Condamné à sept ans et demi de prison aux Etats-Unis, Satyam Nadeen passe les deux premières années de sa réclusion dans un quartier de haute sécurité. C'est là, dans les pires conditions de vie, au milieu de la violence quotidienne, qu'il a soudain la conscience, vaste et lumineuse, de ce qu'est la vraie réalité. Dans un style drôle et incisif, l'auteur nous raconte comment il est passé de la vision étriquée de Monsieur Tout-le-monde, avec ses préjugés, à la vision transcendante qui permet de voir les choses telles qu'elles sont dans leur clarté essentielle. Il explore au passage les thèmes communs à toute recherche spirituelle, quelle que soit la tradition où elle s'inscrit : le libre arbitre, la prière, l'amour, la compassion, le rôle de l'instructeur... Il sait se montrer tendre, mais aussi impitoyable, avec les idées reçues qui ont fait l'âge d'or du New Age. Satyam Nadeen enseigne actuellement aux USA."
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Spiritualité
Le grand feuilleton de l'été (13e épisode)
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Il y a eu lors de ce dernier cours un moment sympa. Je venais d'effectuer plusieurs parcours rapides que le moniteur chronométrait assis dans sa voiture. Il m'a fait signe de m'arrêter et c'est approché de moi lentement, le visage fermé. J'ai eu le temps de me dire: bon, qu'est-ce qu'il vient m'annoncer avec une tête pareille ? que tout est foutu ? Qu'il vaut mieux laisser tomber?
Le héros du feuilleton, ipapy himself continue son inexorable (mais lente ) progression vers le Graal du Permis A. Même que Monsieur Legendre avare de paroles, comme vous le savez, a laissé tomber ce soir : "Nous tenons le bon bout" .
Il y a eu lors de ce dernier cours un moment sympa. Je venais d'effectuer plusieurs parcours rapides que le moniteur chronométrait assis dans sa voiture. Il m'a fait signe de m'arrêter et c'est approché de moi lentement, le visage fermé. J'ai eu le temps de me dire: bon, qu'est-ce qu'il vient m'annoncer avec une tête pareille ? que tout est foutu ? Qu'il vaut mieux laisser tomber?
Non. Il venait m'annoncer que j'étais descendu pour la première fois sous les 22 secondes. C'est-à-dire un bon temps pour l'examen ! Ah,cette manie du mental d'interpréter au lieu de voir simplement la réalité...
Oui "on tient le bon bout" mais la galère du lent n'est pas terminée. Corinne m'a donné une explication astrologique. D'accord. Pourtant ça coince toujours....
Allez, prochain épisode le 4 aout............
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Moto
lundi 28 juillet 2008
dimanche 27 juillet 2008
A la recherche du post perdu
Salut,
Il est possible d'ajouter un moteur de recherche pour ces blogs directement dans la barre de recherche de votre navigateur Firefox ou IE7.
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Si vous souhaitez ajouter plein d'autres moteurs de recherche, c'est très simple : allez sur http://www.searchplugins.net/
Recherchez le mot 'TEST' sur le site que vous souhaitez ajouter à votre barre de recherche, Copiez l'adresse URL de cette recherche dans le champ 'Search URL' puis le nom du site dans le champ 'Search plugin title' du formulaire de searchplugin.net et validez.
Un lien pour l'installer vous est proposé sur la page suivante, cliquez dessus, et hop c'est fait!
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samedi 26 juillet 2008
Gamelle au lent
Douzième cours de plateau ce matin de 8h à 10 heures après une nuit plutôt courte.
Pas mal, des progrès sur le lent et une plus grande aisance sur le rapide même si le chrono n'a pas changé.
Par contre, sur la fin du cours, une jolie petite gamelle au lent, un couché de moto instantané, j'ai rien vu venir.
Mon pantalon de motard a bien rempli son office pour le genou mais pas pour le tibia.
Gros bleu en perspective, mais Monsieur Legendre a l'air (malgré tout) content de son "vieux".
C'est la moto ci dessus que j'utilise, mais en gris.....!
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Pas mal, des progrès sur le lent et une plus grande aisance sur le rapide même si le chrono n'a pas changé.
Par contre, sur la fin du cours, une jolie petite gamelle au lent, un couché de moto instantané, j'ai rien vu venir.
Mon pantalon de motard a bien rempli son office pour le genou mais pas pour le tibia.
Gros bleu en perspective, mais Monsieur Legendre a l'air (malgré tout) content de son "vieux".
C'est la moto ci dessus que j'utilise, mais en gris.....!
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Moto
Jeunes motards heureux
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Nos amis Ulrich et Catherine avec leur Kawasaki 500n, un bien beau custom.
C'est une reprise pour Ulrich qui n'avait pas fait de moto depuis près de trente ans.
Direction Saint-Jean de Luz et les Pyrénées, que du bonheur, Ulrich a vite retrouvé ses sensations. Félicitations à vous deux, vous allez être prêt pour le GRMH*2009
C'est une reprise pour Ulrich qui n'avait pas fait de moto depuis près de trente ans.
Direction Saint-Jean de Luz et les Pyrénées, que du bonheur, Ulrich a vite retrouvé ses sensations. Félicitations à vous deux, vous allez être prêt pour le GRMH*2009
*GRMH : Grand Rassemblement des Motards Hautevillien
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vendredi 25 juillet 2008
- de 23
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Reprise des cours de moto ce soir. Vous êtes en vacances, je ne vais pas trop vous bassiner avec mes "exploits" et puis je n'ai pas beaucoup de temps, puisque nous nous apprêtons à fêter les anniversaires de Romane et d'Adrien. Mais quand même il me paraît de la plus haute importance de vous annoncer que votre ipapy est descendu sous les 23'au parcours rapide ! Plus qu'une seconde à gagner...
Reprise des cours de moto ce soir. Vous êtes en vacances, je ne vais pas trop vous bassiner avec mes "exploits" et puis je n'ai pas beaucoup de temps, puisque nous nous apprêtons à fêter les anniversaires de Romane et d'Adrien. Mais quand même il me paraît de la plus haute importance de vous annoncer que votre ipapy est descendu sous les 23'au parcours rapide ! Plus qu'une seconde à gagner...
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Moto
jeudi 24 juillet 2008
mercredi 23 juillet 2008
Alela Diane
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Découverte par Guyom au Festival Rock d'Angoulème, la Nef Garden Party.
Il est tombé sous le charme de cette belle améridienne aux allures de pocahontas.
Allez enjoy, bonne journée les amis....
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Découverte par Guyom au Festival Rock d'Angoulème, la Nef Garden Party.
Il est tombé sous le charme de cette belle améridienne aux allures de pocahontas.
Allez enjoy, bonne journée les amis....
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musique
mardi 22 juillet 2008
Vieux flat
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Toujours avec un grondement sourd
sauf les rares fois au dessus de 120
tu traînes ta vieille et lourde caisse
avec des démarrages parfois brutaux
et la béquille latérale tombant dito
tu as été réparée,rafistolée,remorquée
à Avignon, Marseille ou Sausset
avec tes supensions dures pour le dos
c'est avec toi que j'ai repris la moto
attentif aux bruits sortant de tes flancs
m'étonnant de te voir hoqueter au départ
ou bien t'arrêter le matin avec starter
le gros flat me vaut les salutations des BM
tout en peinant à accélérer quand même
ta batterie est un trésor bien caché
d'une accessibilté faisant pâlir un japonais
le compteur kilométrique ne tourne plus
peut être allergique aux 100 000 bien sonnés
R 45 née en 1980 un an de moins
que l'âge de mon fils Guilhem
qui roule sur des 650 ou 1000
notre parcours commun va se terminer
mais tu continueras à te faire remarquer
Loup des steppes productions
Ledenon 14/07/08
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PS: c'est notre ami Jean-Baptiste qui a crée cette rubrique "médit à 110" et qui l'alimente régulièrement. Voici un texte de Jean qui nous parle joliment de sa belle et vénérable Béhem. Allez les autres bikers a vos claviers.
Libellés :
médit à 110
J.O par Ariane (1)
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Le Théâtre du Soleil, la célèbre troupe d'Ariane Mnouchkine – dont on ne finira jamais de louer la verve et les engagements –, a décidé de marquer les esprits à trois semaines du début des Jeux Olympiques de Pékin, en réalisant trois petits clips vidéos saisissants.
Voici le premier, je publierai les autres demain et après-demain.
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Voici le premier, je publierai les autres demain et après-demain.
Lee Lozowick Project
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Si vous voulez suivre la tournée de Mister Lee en France et en Europe, voir de magnifiques photos et écouter de la bonne musique...
Une seule adresse :
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musique
lundi 21 juillet 2008
C'est les vacances, ça y est !
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Valérie : Tout le monde est arrivé... La semaine tant attendue peut enfin débuter ! C'est toujours un grand plaisir de se réunir... Cet été, il y a même un nouveau vacancier ; Gabin, qui l'été passé était encore dans le ventre de sa maman ! Le programme, c'est bien sûr plaisir et détente... et quelques courses de voitures obligatoires bien entendu ! Joseph a scotché sa cousine Romane dès son arrivée et c'est à nouveau une grande joie de les voir jouer ensemble...
Julie : Lee Lozowick en fond sonore... l'apéro est sur la table... un immeuble il faut au moins ça pour toute la famille... on s'affaire dans tous les sens... oui c'est les vacances... mais comme dis Romane "quelque part on est toujours libre d'être en vacances"... bon temps à vous aussi !
iPapy: un peu débordé mais si heureux de revoir tous les enfants et petit-enfants. Que du bonheur. Gabin craquant, Joseph adorable et Romane de plus en plus belle. J'ai quasiment pas pensé au blog aujourd'hui c'est vous dire......
Corinne : si heureuse aussi les retrouver tous et de sentir les liens entre les enfants, les petits, les conjoints...Il commence à y avoir des souvenirs communs puisque c'est la troisième année que nous nous retrouvons. Il y a eu Reillanne , Saint-Seurin d'Uzet et cette année Romans. Gabin a plein de nounous, Joseph plein de partenaires de jeu. Simon est allé chercher ses voitures à la cave. J'ai toujours rêvé de ça ...
Guillaume : Bon alors faisons le point... Une maison à 3 étages de Bonheur, des sourires familiers, des rires alcoolisés... Wouaip on va passer de bonnes vacances. Oh, y a même une guitare à ma disposition chez la très sympathique Angélique (c'est la voisine qui nous prête son appart) COOOOOOOOLLLL !!!!!
Adrien : Tout juste arrivé, et déjà dans le bain... petit porto et discutions avec Guyôm, Julie, Mathilde, etc. Même équipe, nouvelles vacances: On ne change pas une équipe qui gagne, un nouveau venu tout de même: Gabin! Manque encore Simon et surtout Tiphaine, ils arrivent tout à l'heure... On va se régaler!
Mathilde : Super semaine qui s'annonce, de vraies vacances comme chaque année depuis trois ans. Heureuse de retrouver tout le monde et de voir de bons moments en perspective... Bref une super semaine s'annonce pour nous tous, bonnes vacances !
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Valérie : Tout le monde est arrivé... La semaine tant attendue peut enfin débuter ! C'est toujours un grand plaisir de se réunir... Cet été, il y a même un nouveau vacancier ; Gabin, qui l'été passé était encore dans le ventre de sa maman ! Le programme, c'est bien sûr plaisir et détente... et quelques courses de voitures obligatoires bien entendu ! Joseph a scotché sa cousine Romane dès son arrivée et c'est à nouveau une grande joie de les voir jouer ensemble...
Julie : Lee Lozowick en fond sonore... l'apéro est sur la table... un immeuble il faut au moins ça pour toute la famille... on s'affaire dans tous les sens... oui c'est les vacances... mais comme dis Romane "quelque part on est toujours libre d'être en vacances"... bon temps à vous aussi !
iPapy: un peu débordé mais si heureux de revoir tous les enfants et petit-enfants. Que du bonheur. Gabin craquant, Joseph adorable et Romane de plus en plus belle. J'ai quasiment pas pensé au blog aujourd'hui c'est vous dire......
Corinne : si heureuse aussi les retrouver tous et de sentir les liens entre les enfants, les petits, les conjoints...Il commence à y avoir des souvenirs communs puisque c'est la troisième année que nous nous retrouvons. Il y a eu Reillanne , Saint-Seurin d'Uzet et cette année Romans. Gabin a plein de nounous, Joseph plein de partenaires de jeu. Simon est allé chercher ses voitures à la cave. J'ai toujours rêvé de ça ...
Guillaume : Bon alors faisons le point... Une maison à 3 étages de Bonheur, des sourires familiers, des rires alcoolisés... Wouaip on va passer de bonnes vacances. Oh, y a même une guitare à ma disposition chez la très sympathique Angélique (c'est la voisine qui nous prête son appart) COOOOOOOOLLLL !!!!!
Adrien : Tout juste arrivé, et déjà dans le bain... petit porto et discutions avec Guyôm, Julie, Mathilde, etc. Même équipe, nouvelles vacances: On ne change pas une équipe qui gagne, un nouveau venu tout de même: Gabin! Manque encore Simon et surtout Tiphaine, ils arrivent tout à l'heure... On va se régaler!
Mathilde : Super semaine qui s'annonce, de vraies vacances comme chaque année depuis trois ans. Heureuse de retrouver tout le monde et de voir de bons moments en perspective... Bref une super semaine s'annonce pour nous tous, bonnes vacances !
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dimanche 20 juillet 2008
samedi 19 juillet 2008
Coeur d'enfant
Histoire de la photo :
dans l'escalier, le soleil en passant par
je ne sais quel petit trou a projeté
la forme d'un coeur sur le mur...
Joseph, émerveillé, m'a tout de suite prévenue
et l'on s'est rendu compte que la course du soleil
n'a rendu ce petit signe possible que l'affaire de
quelques minutes...
Et Joseph était là pour le remarquer !
Valérie.
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Famille
vendredi 18 juillet 2008
La danse des grands-mères
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Un livre inclassable, magnifique, de Clarissa Pinkola Estés. Cette femme, psychanalyste, ethnologue, conteuse, née aux États-Unis dans une famille d’origine hongroise a écrit le très célèbre « Femmes qui courent avec les loups ».
Voici deux extraits :
Un livre inclassable, magnifique, de Clarissa Pinkola Estés. Cette femme, psychanalyste, ethnologue, conteuse, née aux États-Unis dans une famille d’origine hongroise a écrit le très célèbre « Femmes qui courent avec les loups ».
Voici deux extraits :
Prières de gratitude
envers les dangereuses vieilles femmes
et leurs filles sauvages et sages
que nous apprécions tant.
envers les dangereuses vieilles femmes
et leurs filles sauvages et sages
que nous apprécions tant.
Pour toutes les aïeules du monde, celles que les vagues ont bercées et celles qu’orages et tempêtes ont à moitié fait couler, celles qui se sont accrochées à l’épave suffisamment longtemps pour parvenir à mi parcours et de là ont pu toucher terre…Pour les anciennes qui leur diversité avec leurs peines et leurs talents divers, sont maintenant timides ou assurées, à demi échevelées ou impeccables, mais ont néanmoins les hanches larges et l’allure fière… Pour les tribus de grandes aïeules…avec tous leurs pelages et leurs plumes, avec toutes leurs feuilles, leur peau, leurs jupes, et toutes leurs ropas guerreras, leurs tenues de combat, avec leurs ailes, leurs ceintures, leurs châles, leurs broches et leurs colliers de cérémonie, leurs bâtons de chef, avec toute leur fierté tendre et athlétique, avec leurs becs et leurs queues, leur tulle et leur toile qui paradent et flamboient, avec leurs déambulations et leur sensualité, avec tous leurs comportements imprévus et scandaleux, leurs excentricités, leurs dentelles et peintures tribales, avec tous les insignes de pouvoir et les couleurs de leur clan, avec leur sang féroce et doux et leurs yeux qui brillent, pour toutes leurs mœurs traditionnelles et généreuses…pour leur façon suprême de veiller à ce que le respect, la vie créatrice et l’attention à l’âme ne disparaissent pas de la face de la terre…pour toute cette beauté bénie qui est en elles…
À leur intention, prions…
Que la force et la guérison
Imprègnent à jamais leurs os courageux.
Que la force et la guérison
Imprègnent à jamais leurs os courageux.
Pour toutes les aînées pleines de sagacité qui sont en train d’apprendre quand le moment est venu de s’affirmer et non pas de se taire, ou de se taire quand le silence est plus éloquent que la parole. Pour toutes les femmes en train de devenir des anciennes, qui apprennent à être gentilles quand il serait si facile d’être cruelles…qui voient qu’elles peuvent être tranchantes quand cela s’impose, et trancher proprement…qui s’entraînent à dire la vérité avec miséricorde. Pour toutes celles qui ne respectent pas les conventions et serrent la main de personnes étrangères, en les accueillant comme si elles les avaient élevées et connues depuis toujours…pour toutes celles qui apprennent à rapprocher les os, à secouer l’embarcation et aussi le lit, comme à apaiser les tempêtes… pour celles qui veillent sur l’huile de la lampe, qui maintiennent le calme chaque jour…pour celles qui préservent les rituels qui n’ont pas oublié comment faire du feu avec du silex et de la bourre…pour celles qui disent les anciennes prières, qui se souviennent des symboles, des formes, des mots, des chants, des danses, et de ce que les rites eurent pour but d’instaurer à une époque…pour celles qui bénissent souvent et aisément les autres…pour ces aînées qui n’ont pas peur – ou qui ont peur – et qui agissent avec efficacité de toute manière…
Pour elles…
puissent elles vivre longtemps,
fortes et en bonne santé,
et en déployant une immense énergie vitale.
puissent elles vivre longtemps,
fortes et en bonne santé,
et en déployant une immense énergie vitale.
Clarissa Pinkola Estés
La danse des grands-mères
Ed Grasset p 97-100
La danse des grands-mères
Ed Grasset p 97-100
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A lire
jeudi 17 juillet 2008
mercredi 16 juillet 2008
mardi 15 juillet 2008
Mettre au monde
Patrice Van Eersel avait écrit le fameux livre « La source noire » en 1986 où il explorait les mystères de la mort. Voici un extrait de son nouveau livre « Mettre au monde » dont, assez logiquement le sous-titre est : " enquête sur le mystères de la naissance".
L’auteur au cours de cette enquête interroge des sages femmes, Catherine Dolto qui pratique l’haptonomie, le psychanalyste Didier Dumas…
Le livre est passionnant. J’ai choisi un extrait qui m’a beaucoup touchée.
Il s’agit d'une réponse du pédiatre qui dirige l’unité de néonatologie de l’hôpital de Port Royal à Paris. Dans un séminaire, au cours d’un dîner,une femme lui raconte qu’après avoir vécu le « calvaire » de la procréation médicalement assistée elle avait mené presque à terme une 6ème tentative. Ses jumelles sont mortes peu avant l’accouchement. Cette femme, très émue, finit son récit en disant : « Je ne sais pas si je m’en remettrai un jour, monsieur, perdre son enfant à la naissance est la tragédie la plus absurde qui puisse exister. » Elle ajoute : « Je suis venue ici pour savoir quoi faire avec le terrible sentiment d’inutilité qui depuis ce drame, me ruine. »
Voici la réponse du Pr Jean-Pierre Roulier :
« Voyez-vous, madame, commença-t-il en souriant très légèrement, vu du dehors, vu par vous, et par nous tous ici, vos petites filles ont passé dans votre ventre neuf mois ou huit mois ou sept, peu importe, disons trois dizaines de semaines. Mais cela reflète une vision extrêmement relative, incomplète de la réalité, et je dirais même fausse, totalement fausse. Vu du dehors, c’est à dire de notre point de vue, dans notre échelle temporelle, votre grossesse a duré huit ou neuf mois. Mais pour vos jumelles, il en a été tout autrement. Vu du dedans, c’est à dire de leur point de vue à elles, madame, vos filles ont passé en vous…je dirais entre un et deux milliards d’années ! […] C’est le temps qu’il a fallu à la vie pour évoluer des premières cellules vivantes jusqu’à l’humain. Vous le savez sans doute : chacun de nous, après sa conception, a parcouru en accéléré dans le ventre de sa mère toutes les étapes de l ‘évolution. Nous sommes partis du minéral, pourrait-on dire, pour aboutir à ce que nous sommes aujourd’hui. Extraordinaire, incroyable, fabuleux voyage ! Nous croyons savoir comment cela se passe, mais en réalité, nous fanfaronnons ! Nous n’en savons vraiment pas grand-chose et même quasiment rien. Nous croyons savoir ce qu’est le temps, et nous disons, très sûrs de nous : « une grossesse dure neuf mois. » Mais ce qui se passe réellement à l’intérieur d’un ventre de femme, l’invraisemblable magie qui s’y déroule pendant la durée d’une grossesse, cette alchimie qui d’un ovule et d’un spermatozoïde va conduire à un être ultrasophistiqué, au fond, tout cela aucune science ne sait le comprendre ni l’expliquer. Le saurons-nous jamais ? J’affirme que ce n’est pas une simple liberté poétique que je prends quand je dis que vos filles ont fait en vous qui étiez accompagnée de leur père, ce fabuleux voyage de plusieurs centaines de millions d’années. Pour elles, cela s’est réellement passé ainsi. […]
Maintenant, je vais vous dire, madame, ce que personnellement, je crois. D’abord, je pense qu’au cœur de chacun de nous palpite une âme et que cette âme voyage. J’ignore tout des lois qui régissent ce voyage. Ce que nous savons, c’est que parfois, une âme vient prendre forme dans le ventre d’une femme. Un jour, deux âmes, dont nous ne savons à peu près rien, ont ainsi élu domicile en vous pour quelque mystérieuse raison, peut être liée à une évolution qui échappe à notre espace-temps, ces âmes jumelles avaient envie, ou besoin, de vivre quelques centaines de millions d’années en vous. Là, bien installées dans votre giron, elles ont traversé tous les états qui vont de l’être unicellulaire à l’être humain. Ce fut forcément une expérience extraordinaire. Forcément une expérience incroyable qui les a nourries, qui les a aidées à avancer plus loin sur leur chemin. Seulement voilà : pour des raisons que j’ignore toujours, et vous aussi semble-t-il, la suite de l’histoire, l’étape suivante, celle que nous appelons fièrement « vie humaine » n’était pas inscrite dans leur programme, ou peut-être ne les intéressait pas. Après avoir vécu un milliard d’années en vous, ces âmes sœurs ont tiré leur révérence. Elles s’en sont allées voir ailleurs, en quête d’aller savoir qu’elle étoile. Elles sont parties et vous et votre mari n’avez pas entendu qu’elles vous remerciaient du fond du cœur, qu’elles vous bénissaient secrètement. N’entendant rien, vous avez eu au contraire la sensation que toute cette aventure avait été absurde, inutile, qu’elle n’avait servi à rien. Et vous êtes tombés dans un grand désarroi, dont vous avez pu avoir l’impression que vous ne sortiriez jamais. Ce qui est tout à fait normal. Et pourtant, ma vieille expérience (voilà 35 ans que sont passés entre mes mains des milliers de bébés, souvent minuscules, pesant moins d’un kilo, à la croisée des chemins entre la vie et la mort), ma vieille expérience m’autorise à vous le dire avec une grande confiance : non, cette aventure n’était pas absurde, madame. Ce fut une grande histoire d’amour, qui a eu un sens très important, pour vous et pour vos deux enfants. Ce sens vous échappe. Il m’échappe aussi. Mais il existe. Nous devons faire confiance à la vie, même si elle nous dépasse infiniment. »
La réponse de la dame est celle que nous pouvons faire aussi à cet homme :« Je vous remercie. »
L’auteur au cours de cette enquête interroge des sages femmes, Catherine Dolto qui pratique l’haptonomie, le psychanalyste Didier Dumas…
Le livre est passionnant. J’ai choisi un extrait qui m’a beaucoup touchée.
Il s’agit d'une réponse du pédiatre qui dirige l’unité de néonatologie de l’hôpital de Port Royal à Paris. Dans un séminaire, au cours d’un dîner,une femme lui raconte qu’après avoir vécu le « calvaire » de la procréation médicalement assistée elle avait mené presque à terme une 6ème tentative. Ses jumelles sont mortes peu avant l’accouchement. Cette femme, très émue, finit son récit en disant : « Je ne sais pas si je m’en remettrai un jour, monsieur, perdre son enfant à la naissance est la tragédie la plus absurde qui puisse exister. » Elle ajoute : « Je suis venue ici pour savoir quoi faire avec le terrible sentiment d’inutilité qui depuis ce drame, me ruine. »
Voici la réponse du Pr Jean-Pierre Roulier :
« Voyez-vous, madame, commença-t-il en souriant très légèrement, vu du dehors, vu par vous, et par nous tous ici, vos petites filles ont passé dans votre ventre neuf mois ou huit mois ou sept, peu importe, disons trois dizaines de semaines. Mais cela reflète une vision extrêmement relative, incomplète de la réalité, et je dirais même fausse, totalement fausse. Vu du dehors, c’est à dire de notre point de vue, dans notre échelle temporelle, votre grossesse a duré huit ou neuf mois. Mais pour vos jumelles, il en a été tout autrement. Vu du dedans, c’est à dire de leur point de vue à elles, madame, vos filles ont passé en vous…je dirais entre un et deux milliards d’années ! […] C’est le temps qu’il a fallu à la vie pour évoluer des premières cellules vivantes jusqu’à l’humain. Vous le savez sans doute : chacun de nous, après sa conception, a parcouru en accéléré dans le ventre de sa mère toutes les étapes de l ‘évolution. Nous sommes partis du minéral, pourrait-on dire, pour aboutir à ce que nous sommes aujourd’hui. Extraordinaire, incroyable, fabuleux voyage ! Nous croyons savoir comment cela se passe, mais en réalité, nous fanfaronnons ! Nous n’en savons vraiment pas grand-chose et même quasiment rien. Nous croyons savoir ce qu’est le temps, et nous disons, très sûrs de nous : « une grossesse dure neuf mois. » Mais ce qui se passe réellement à l’intérieur d’un ventre de femme, l’invraisemblable magie qui s’y déroule pendant la durée d’une grossesse, cette alchimie qui d’un ovule et d’un spermatozoïde va conduire à un être ultrasophistiqué, au fond, tout cela aucune science ne sait le comprendre ni l’expliquer. Le saurons-nous jamais ? J’affirme que ce n’est pas une simple liberté poétique que je prends quand je dis que vos filles ont fait en vous qui étiez accompagnée de leur père, ce fabuleux voyage de plusieurs centaines de millions d’années. Pour elles, cela s’est réellement passé ainsi. […]
Maintenant, je vais vous dire, madame, ce que personnellement, je crois. D’abord, je pense qu’au cœur de chacun de nous palpite une âme et que cette âme voyage. J’ignore tout des lois qui régissent ce voyage. Ce que nous savons, c’est que parfois, une âme vient prendre forme dans le ventre d’une femme. Un jour, deux âmes, dont nous ne savons à peu près rien, ont ainsi élu domicile en vous pour quelque mystérieuse raison, peut être liée à une évolution qui échappe à notre espace-temps, ces âmes jumelles avaient envie, ou besoin, de vivre quelques centaines de millions d’années en vous. Là, bien installées dans votre giron, elles ont traversé tous les états qui vont de l’être unicellulaire à l’être humain. Ce fut forcément une expérience extraordinaire. Forcément une expérience incroyable qui les a nourries, qui les a aidées à avancer plus loin sur leur chemin. Seulement voilà : pour des raisons que j’ignore toujours, et vous aussi semble-t-il, la suite de l’histoire, l’étape suivante, celle que nous appelons fièrement « vie humaine » n’était pas inscrite dans leur programme, ou peut-être ne les intéressait pas. Après avoir vécu un milliard d’années en vous, ces âmes sœurs ont tiré leur révérence. Elles s’en sont allées voir ailleurs, en quête d’aller savoir qu’elle étoile. Elles sont parties et vous et votre mari n’avez pas entendu qu’elles vous remerciaient du fond du cœur, qu’elles vous bénissaient secrètement. N’entendant rien, vous avez eu au contraire la sensation que toute cette aventure avait été absurde, inutile, qu’elle n’avait servi à rien. Et vous êtes tombés dans un grand désarroi, dont vous avez pu avoir l’impression que vous ne sortiriez jamais. Ce qui est tout à fait normal. Et pourtant, ma vieille expérience (voilà 35 ans que sont passés entre mes mains des milliers de bébés, souvent minuscules, pesant moins d’un kilo, à la croisée des chemins entre la vie et la mort), ma vieille expérience m’autorise à vous le dire avec une grande confiance : non, cette aventure n’était pas absurde, madame. Ce fut une grande histoire d’amour, qui a eu un sens très important, pour vous et pour vos deux enfants. Ce sens vous échappe. Il m’échappe aussi. Mais il existe. Nous devons faire confiance à la vie, même si elle nous dépasse infiniment. »
Patrice Van Eersel
Mettre au monde
Ed Albin Michel p333-335
Mettre au monde
Ed Albin Michel p333-335
La réponse de la dame est celle que nous pouvons faire aussi à cet homme :« Je vous remercie. »
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lundi 14 juillet 2008
Je Suis
"Je suis la voie, le chemin et la vie, nul ne vient au Père que par moi". J'ai finalement compris que Jésus faisait référence au "Je Suis" en chacun d'entre nous. C'est l'Existence ressentie comme l'Inconnu dans notre expérience d'être. On le ressent comme l'Inconnu, un Silence, une Paix de façon objective. Quand Jésus dit cela, il ne parle pas de lui comme corps et mental, mais plutôt comme le "Je Suis" de notre être, cette paix et ce silence qui ous habitent intérieurement. Il y a un intérêt pour les chrétiens à étudier l'Ancien Testament. Dieu se définit lui-même comme "Je Suis" à Moïse et ce "Je Suis" c'est aussi Jérusalem ( Jeru Shalom) la ville de la Paix, dont l'Ancien Testament parle comme de l'Epouse de Dieu. Dieu est aussi Mère. Dés que Dieu, qui est UN, se manifeste, il doit passer par "Je Suis" c'est le sens réel de l' "Immaculée Conception". Ce qui nous éveille à la Vérité, autrement dit ce qui nous ramène au Père, c'est la pratique de la Présence de ce "Je Suis". Si vous regardez l'espace inconnu dans votre Être et que, comme un enfant, vous acceptez que c'est Dieu, alors votre vision du monde change et tout ce que vous voyez comme le monde extérieur est spontanément reconnu comme participant de cette réalité intérieure qui est l'essance unique de tout cet univers, de même que l'eau est l'essence unique de l'océan.
Mais c'est aussi une Intelligence cosmique, non conditionnée par le temps tet l'espace comme le sont les yeux, le nez, les oreilles ou même le mental et ses différentes fonctions. Nous participons de ce "Je Suis" et telle doit être notre foi. Alors ce qui en nous Est, se révèle spntanément en toute simplicité. Faites un espace dans votre Être pour ce "Je Suis" avec la foi que cette simple existence est l'infini? Laissez vous apprivoiser par cette immensité et n'ayez plus peur. La peur, c'est l'identification de soi-même avec le corps et le mental, une mauvaise position à partir de laquelle ce "Je Suis" est interprété comme une grande peur : l'inconnu du lendemain, l'inconnu de la mort, une immensité qui fait peur. Vous pouvez comparer cela à une vague qui, toute sa vie, s'identifie à l'idée de n'être qu'une vague et, dans la mesure où elle ne fait aucun espace pour la réalité, d'être l'eau, cette eau, l'essence même de la vague fait peur car c'est une immensité inconnue de la vague. Si par contre, nous faisons un espace pour cette réalité en nous d'être "Je suis", graduellement, spontanément, celle-ci nous libère et nous révèle que nous sommes Libre et Un avec l'Être Divin. Tel est l'Enseignement Universel que j'ai appris des sages de l'Inde.
Mais c'est aussi une Intelligence cosmique, non conditionnée par le temps tet l'espace comme le sont les yeux, le nez, les oreilles ou même le mental et ses différentes fonctions. Nous participons de ce "Je Suis" et telle doit être notre foi. Alors ce qui en nous Est, se révèle spntanément en toute simplicité. Faites un espace dans votre Être pour ce "Je Suis" avec la foi que cette simple existence est l'infini? Laissez vous apprivoiser par cette immensité et n'ayez plus peur. La peur, c'est l'identification de soi-même avec le corps et le mental, une mauvaise position à partir de laquelle ce "Je Suis" est interprété comme une grande peur : l'inconnu du lendemain, l'inconnu de la mort, une immensité qui fait peur. Vous pouvez comparer cela à une vague qui, toute sa vie, s'identifie à l'idée de n'être qu'une vague et, dans la mesure où elle ne fait aucun espace pour la réalité, d'être l'eau, cette eau, l'essence même de la vague fait peur car c'est une immensité inconnue de la vague. Si par contre, nous faisons un espace pour cette réalité en nous d'être "Je suis", graduellement, spontanément, celle-ci nous libère et nous révèle que nous sommes Libre et Un avec l'Être Divin. Tel est l'Enseignement Universel que j'ai appris des sages de l'Inde.
Swami Muktananda
p 46-47 n° 64 de Terre du Ciel
juillet/aout 2003
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Spiritualité
dimanche 13 juillet 2008
Buell XB12Scg
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Une américaine inquiétante, sulfureuse et rugueuse,
Pour les petits gabarits qui n'ont pas froid aux yeux.
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Pour les petits gabarits qui n'ont pas froid aux yeux.
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Moto
Baschung aux Franco de La Rochelle
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Alain Bashung, prince de la nuit, apparaît dans les tumultes du Vieux Port de La Rochelle pour les éternelles Francofolies. Il a mis une casquette de marin à la place du chapeau qu'il porte désormais en scène pour cacher les faiblesses de sa santé. Lunettes noires, redingote, et quelle ardeur !
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Alain Bashung, prince de la nuit, apparaît dans les tumultes du Vieux Port de La Rochelle pour les éternelles Francofolies. Il a mis une casquette de marin à la place du chapeau qu'il porte désormais en scène pour cacher les faiblesses de sa santé. Lunettes noires, redingote, et quelle ardeur !
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news
samedi 12 juillet 2008
Wall-E
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Andrew Stanton, scénariste et réalisateur oscarisé (Le Monde de Nemo) et l’imagination virtuose des magiciens des studios d’animation Pixar nous transportent cette fois dans une galaxie pas très lointaine pour une comédie sidérale et sidérante.
Faites la connaissance de Wall-E : le dernier être sur Terre est…un petit robot! 700 ans plus tôt, l’humanité a déserté notre planète laissant à cette incroyable machine le soin de nettoyer la terre. Mais au bout de ces longues années, Wall-E a développé un petit défaut technique : une personnalité. Extrêmement curieux, très indiscret, il est surtout un petit peu trop seul… Cependant, sa vie s’apprête à être bouleversée avec l’arrivée d’un robot chercheur bien caréné prénommé Eve. Alors qu’il cherche un sens à sa vie, Wall-E tombe amoureux d’elle et va tout mettre en œuvre pour la séduire. Et lorsqu’ Eve est rappelée dans l’espace pour y terminer sa mission, Wall-E n’hésite pas un seul instant : il se lance à sa poursuite… Hors de question pour lui de laisser passer le seul amour de sa vie… Pour être à ses côtes, il est prêt à aller au bout de l’univers et vivre la plus fantastique des aventures!
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Faites la connaissance de Wall-E : le dernier être sur Terre est…un petit robot! 700 ans plus tôt, l’humanité a déserté notre planète laissant à cette incroyable machine le soin de nettoyer la terre. Mais au bout de ces longues années, Wall-E a développé un petit défaut technique : une personnalité. Extrêmement curieux, très indiscret, il est surtout un petit peu trop seul… Cependant, sa vie s’apprête à être bouleversée avec l’arrivée d’un robot chercheur bien caréné prénommé Eve. Alors qu’il cherche un sens à sa vie, Wall-E tombe amoureux d’elle et va tout mettre en œuvre pour la séduire. Et lorsqu’ Eve est rappelée dans l’espace pour y terminer sa mission, Wall-E n’hésite pas un seul instant : il se lance à sa poursuite… Hors de question pour lui de laisser passer le seul amour de sa vie… Pour être à ses côtes, il est prêt à aller au bout de l’univers et vivre la plus fantastique des aventures!
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vendredi 11 juillet 2008
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