Un cadeau de Jean-François
ps: ce post musical est le 500e sur le iPapy
Merci à tous nos programmateurs et programmatrices
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"Awake! The time is running out. Remember the Divine. Realize the Truth before life passes into death." Chandra Swami Udasin
.Nos voyageurs sont en mode départ. Comment faire rentrer dans les valises les trésors achetés pour les amis? L'avion du retour part de Chennai à minuit heure locale. Arrivée à Lyon Saint-Exupéry demain dans la matinée. Je prépare les vêtements chauds. Il a neigé cette nuit, ça va leur faire un écart d'au moins 30° !
Allez, une petite bière pour fêter le dernier jour !(merci Djamila)
« Le changement radical consiste à reconnaître que le changement est la loi de la vie. Le seul choix dont nous avons l’absolue liberté, c’est d’être « synchro » avec le changement du monde, accordé ; là est la grande surprise : se retrouver d’un coup dans le chant joyeux de l’univers et, merveilleusement, n’en rien savoir !
Le mystère ineffable et la seule différence est qu’avant on le contemplait de l’extérieur et on en avait peur, alors que soudain on est dedans, on est soi-même le mystère.
Connaître le mystère, c’est être un avec le mystère vécu comme joie, comme intelligence et comme création continue, comme invention continue… On n’appelle plus cela le devenir, mais le « Dieu-venir »…»
(Yvan Amar)
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Le cristal prend la couleur du support sur lequel on le pose, qu'il soit blanc, jaune, rouge, ou noir.
De façon analogue, la direction que prendront votre vie et votre pratique sera pour une grande part déterminée par l'influence de ceux qui vivent avec vous, que cette influence soit positive ou négative.
Passer votre temps avec d'authentiques amis spirituels vous emplira d'amour pour tous les êtres et vous aidera à voir combien l'attachement et la haine sont négatifs.
Vivre avec de tels amis et suivre leur exemple vous imprégnera naturellement de leurs qualités, de la même façon que les oiseaux qui volent autour d'une montagne d'or baignent dans sa lumière dorée.
Dilgo Khyentsé Rinpoché
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Je viens d'avoir nos voyageurs au téléphone. Ils sont de retour à Chennaï pour accompagner ce soir Mathilde à l'aéroport. Destination : l'Australie où elle va terminer son séjour "linguistique" d'un an.
Ils sont en pleine forme, les yeux et le coeur plein de belles choses et aussi d'aspects plus dérangeants. L'Inde est un pays de contrastes, comme beaucoup d'autres, le meilleur côtoie le pire mais n'est-ce pas partout pareil.
Corinne, Adrien et Simon restent encore deux jours à Chennaï. Nous n'auront plus de photo d'ici leur retour car un ordinateur indien (un PC bien sûr) a sournoisement infecté le disque dur portable d'Adrien. Il a limité les dégats au prix de quelques vidéos et photos.
Il me reste à préparer l'accueil pour lundi. 10h30 Choc thermique garantie à tous les niveaux ;-) Le compte à rebours est commencé : J - 4
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Le Saint-siège trouve que le film est à la limite de l’apologie du culte païen de la nature.
Selon Radio Vatican, le film est en plein dans ce mouvement qui voudrait transformer l’écologie en religion. Au cœur de la polémique : la relation fusionnelle entre les habitants de Pandora et leur environnement.
Mais ce n’est pas tout, après avoir consacré trois articles à Avatar, le journal du Vatican résume le film en quelques mots : « tant de technologie stupéfiante, enchanteresse, mais si peu d’émotions véritables. »
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Avatar : rien d'autre qu'une bête justification de la guerre !
par Pierre Desjardins
Naïvement, beaucoup ont vu dans le film de James Cameron Avatar un film antimilitariste, voire même pacifiste et écologiste. Pourtant, il n'en est rien ! Bien au contraire, ce film se veut l'éloge de la violence et de la guerre. Il est vrai qu'en inversant les rôles et en caricaturant l'armée américaine, ce film vient brouiller les cartes et en a confondu plus d'un. Mais, sous ses décors champêtres idylliques, ce film dissimule toutefois un discours éminemment corrosif : celui de la justification de la guerre pour les paisibles Occidentaux que nous sommes !
Rappelons d'abord la scène de cet arbre énorme qui tombe avec fracas au milieu d'une population désemparée. Comment ne pas y voir l'analogie avec la chute des tours du World Trade Center ? D'ailleurs, à partir de cette scène grandiose, tout se verra justifié pour le peuple d'indigènes sauvagement attaqué sur sa propre planète. Et c'est nul autre qu'un marine américain, Jake, le héros du film, qui proposera aux autochtones de s'unir ensemble (les forces alliées), pour réprimer et tuer ceux qui, tels des terroristes, les ont lâchement attaqués. C'est à ce moment qu'apparaîtra à l'écran dans toute sa splendeur l'aigle impérial américain (sous le couvert d'un dragon géant à la Transformers) que chevauchera hardiment notre héros américain pour mener les indigènes jusqu'à la victoire finale.
Ce héros, un simple soldat américain éclopé de la guerre, revampé dans un corps neuf, va reprendre du service mais pour une bonne cause cette fois-ci ! A ce titre, il est l'illustration parfaite de l'Américain moyen, c'est-à-dire un innocent qui ne veut pas de la guerre mais qui, pour les besoins de la cause, va finir par se transformer en un combattant enragé exhortant même la population indigène à le suivre dans le combat. Lorsqu'on est attaqué, il faut savoir se défendre. C'est là un droit absolu. Tel est le message central de cette superproduction américaine de 300 millions de dollars qui se veut l'expression de l'idéologie guerrière, c'est-à-dire celle de la guerre dite juste ou, si l'on veut, celle du bien contre le mal…
Car le film fait le partage entre les bons guerriers (les Na'vi) et les mauvais guerriers (les GI's). Mais on le sait, il n'y a pas de bons et de mauvais guerriers. Toute guerre, même celle qui semble la plus insensée, se fait toujours pour des motifs dits justes parce que de défense (ce n'est pas pour rien que l'on parle de ministère de la défense). Rappelons que même pour Hitler, la guerre était juste : il s'agissait d'élargir le territoire allemand pour assurer la survie de son peuple. On ne part pas en guerre pour se battre, vous dira d'ailleurs n'importe quel belligérant, mais pour se défendre ! C'est là l'essence même de la guerre et c'est cette essence fondamentale que veut remettre au goût du jour le film Avatar. Le mot même d'avatar, qui vient du sanskrit, désigne un envoyé de Dieu qui assure le combat du bien contre le mal.
Notons par ailleurs comment plusieurs scènes de combat dans la jungle sont un rappel de ce que fut pour les Américains la guerre du Vietnam où, malgré l'utilisation de napalm, la puissance américaine fut piétinée et humiliée. A pareille humiliation, propose subrepticement ce film, il faut désormais savoir riposter intelligemment. Non pas effrontément en écrasant tout sur son passage ou en employant bêtement du gaz toxique, mais en ciblant avec précision l'ennemi, et cela de concert avec les autres nations menacées. Ne trouve-t-on pas là la justification parfaite de la guerre en Afghanistan ?
Et, comme toujours, les indigènes nous sont présentés comme des êtres attachés à des rites dépassés et que doit guider vers le combat le héros intelligent du film. Armé d'une mitraillette pour anéantir l'envahisseur, ce Na'vi d'un type nouveau à l'allure d'un féroce exterminateur donnera l'exemple en montrant à ces pauvres indigènes comment combattre sans pitié et établir leur suprématie. Cela n'est pas sans rappeler les westerns américains où, presque toujours, un vaillant cowboy finissait par s'associer aux Indiens pour les inciter à se battre à mort contre l'armée américaine. En servant ainsi de justicier, pareil héros participait subtilement à une déculpabilisation nécessaire quant au génocide des peuplades d'Amérindiens.
De la même façon, ce film permet de redéployer l'aigle américain avec fierté et noblesse. Son réalisateur, James Cameron, aura sans doute compris mieux que tout autre cinéaste que pour qu'un film plaise, il faut savoir réconforter le public dans ses convictions. Tuer, oui, mais tuer uniquement ceux qui menacent la sécurité de nos pays ! Voilà qui est rassurant et sécurisant. Grâce à ce film, la formule si vis pacem, para bellum ("Si tu veux la paix, prépare la guerre") peut donc reprendre du service. Le seul hic toutefois avec cette vieille et ridicule formule est qu'elle est valable pour tout peuple qui se sent menacé…
Et dommage en terminant qu'un film qui, outre ses prouesses techniques, n'apporte rien de neuf sous le soleil, aille par ailleurs chercher tous les hommages. Se situant quelque part entre un film de Walt Disney et un épisode des Transformers ou encore, entre Jurassic Park et Terminator, Avatar va dans toutes les directions. Par exemple, la formule simpliste d'animaux amis des bons et ennemis des méchants est plus que désolante. Mais pour un pays où les problèmes environnementaux ne sont pas encore pris au sérieux, c'est sûrement amplement suffisant ! Et sans nul doute qu'avec des formules aussi racoleuses, le roi du monde, comme aime se nommer James Cameron, saura plaire à un très large public et sera, une fois de plus, couronné de tous les honneurs !
Pierre Desjardins est auteur et professeur de philosophie au collège pré-universitaire Montmorency (Québec).
Le Monde de mardi
Après un excellent séjour dans les montagnes du Kérala autour de Munnar, nos voyageurs sont de retour à Fort Cochin avant le départ prochain pour Chennaï. C'est Mathilde qui quittera l'Inde la première direction l'Australie. Nous devrions avoir des photos aujourd'hui. En tous cas J-5 pour iPapy
Il a neigé cette nuit sur la Vallée de L'Eyrieux !
iSlate,l'ardoise électronique d'Apple qui pourrait bien révolutionner notre utilisation de l'informatique devrait être présentée aujourd'hui par le charismatique patron de la firme de Cuppertino : Steve Jobs himself. Cible probable, tous ceux qui ne veulent pas s'encombrer d'un matériel gros et compliqué mais qui souhaitent utiliser l'internet. Nous en saurons plus ce soir.
Les océans sont en quelques décennies devenues des décharges. Nous y déversons 6 millions et demi de tonnes de déchets par an, 80% sont en plastique.
Chaque kilomètre carré de mer ou d'océan sur la planète contient des milliers de bouts de plastique. Ces plastiques tuent et mutilent des milliers de mammifères et d'oiseaux marins chaque année.
De la Méditerranée à la Mer du Nord, de l'Atlantique au Pacifique, du continent américain à l'Inde, des scientifiques alertent sur l'ampleur de la pollution.
Aux Pays-Bas un scientifique a découvert que 95% des fulmars -un oiseau commun du Nord de l'Europe- avaient du plastique dans l'estomac. Des micros-particules de plastiques sont retrouvées sur les plages du monde entier.
Une zone d'accumulation des déchets a été récemment découverte en plein Pacifique. Une "soupe" de plastique ingérée par les poissons et même le plancton, la base de toute la chaîne alimentaire.
Ces plastiques libèrent dans l'environnement des produits chimiques, des perturbateurs endocriniens, dont on commence à peine à découvrir les effets sur les animaux et les hommes.
Merci Karl, très impressionnant et très inquiétant!
Si vous renoncez un peu,
Vous aurez un peu de bonheur.
Si vous renoncez beaucoup,
Vous aurez beaucoup de bonheur.
Si vous renoncez totalement,
Vous serez libre.
Ajan Chah
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Sur la photo en arrière plan, c'est bien l'Abbaye de Sénanque. J'ai fait un aller et retour aujourd'hui pour y rencontrer un ami motard. Je suis assez fier de moi, 300km en moto à cette époque de l'année, faut quand même le faire, surtout la route du matin avec 3 ou 4° .Bon, je vais aller prendre un bon grog, je suis un peu congelé.
.Après Kochi et les backwaters, nos courageux voyageurs en Inde du Sud sont maintenant à Mounar, une petite ville de montagne au milieu des plantations de thé. Enfin, je présume car le téléphone portable de Corinne ne répond plus. Merci à Anne-Laure Besse du guide du Routard pour cette photo prise de Mounar en 2007.
Communiqué de presse
Jeudi 7 janvier à 8h45, 3 voitures déboulaient à toute allure dans la cour d’honneur du Domaine – avant de repartir vers les bureaux.
À 9h précise, une vingtaine d’hommes intimaient au personnel l’ordre de ne plus toucher à rien – ni papier, ni ordinateur, ni téléphone – tandis que 2 fourgons bleus de la gendarmerie se positionnaient devant les 2 entrées du Domaine, et qu’en descendaient des hommes armés, en treillis d’opération militaire : défense d’entrer et de sortir. C’était une perquisition.
Il y avait là des hommes et femmes de la brigade de recherche, brigade financière, Urssaf, inspection du travail – avec un spécialiste de l’informatique et – ce qu’on découvrira à la fin - un médiateur psychologue.
L’ambiance fut celle d’une véritable opération militaire qui mit tout le monde en situation d’hors-la-loi et créa une ambiance de culpabilité traumatisant l’ensemble du personnel pour plusieurs jours.
La perquisition dura de 9h à 18h sans interruption. La moindre pièce et le moindre placard furent visités et fouillés. Des cartons de dossiers furent mis sous scellés et emportés, tous les ordinateurs – (sauf un sauvé in extremis) – soit 16 appareils – furent débranchés et emportés, ainsi que le serveur central, les sauvegardes, les disques durs annexes et tous les logiciels.
Chaque membre du personnel était en permanence encadré de 3 personnes et harcelé de questions ou de remarques ironiques :
Est-ce qu’on vous oblige à porter un uniforme ?
Est-ce qu’on vous oblige à faire de la gymnastique ?
Les repas sont-ils végétariens ? Sont-ils bons ?
D’où viennent les stagiaires ?
À l’évidence, les gendarmes avaient une idée bien précise derrière la tête : nous n’étions pas une entreprise classique et il y avait un « big boss » tout puissant sur les corps et les esprits.
Quelques incidents cependant ébranlèrent leur conviction :
- dans la bibliothèque, il y avait des livres sur toutes les traditions et sur tous les sujets. Cela les étonna.
- ils trouvèrent chez le gérant 2 petites salles de méditation : « Oui, car mon mari et moi, nous ne suivons pas la même voie ». Le gendarme resta très perplexe sur cette réponse. Cela ne cadrait pas avec le monolithisme culturel et intellectuel supposé du lieu.
Les années précédentes, nous avions déjà eu 2 contrôles fiscaux, 2 contrôles URSSAF et une visite de l’inspection du travail. C’étaient des contrôles « civilisés » où l’on se quittait sur une poignée de mains. Ce fut, cette fois, une opération militaire.
Pourquoi cette différence ? La nature des questions posées et des remarques rend la réponse très claire : les contrôles précédents concernaient une entreprise. Cette fois, il s’agissait d’une « secte », le grand satan de la société actuelle. Les gendarmes ont cherché partout de la drogue, ouvrant et reniflant tous nos flacons de pilules ayurvédiques et d’huiles essentielles, ils ont cherché des virements à l’étranger citant l’Inde à plusieurs reprises, peut-être ont-ils aussi cherché des armes ?
Je crois qu’ils ont été impressionnés par le calme et la dignité de l’ensemble du personnel. Leur psychologue, censé travailler sur ceux qui « pètent les plombs » dans une telle situation, n’a pas eu à intervenir. Tous ses collègues le blaguèrent à ce sujet à la fin de la visite.
On peut penser qu’une telle opération militaire est parfois nécessaire. L’était-elle en ce qui nous concerne ? Ce présupposé manifeste de « secte dangereuse » est-il justifié par les faits ? Pourrait-on alors comprendre l’amitié et la collaboration régulière de tant de personnalités du monde de la culture, des sciences et des arts ? Peut-on comprendre le partenariat officiel que nous accorde la NEF, fondateur de la future « banque éthique européenne » ? Peut-on comprendre l’amitié profonde qui nous lie à de si nombreux religieux de tous bords : catholiques, protestants, orthodoxes, musulmans, bouddhistes, hindouistes et autres ? Terre du Ciel est au contraire bien connu pour sa large ouverture, son désintéressement et son haut niveau d’exigence en terme de qualité de programmes.
L’un des hommes de la perquisition sauva peut-être l’honneur du groupe. S’adressant à Evelyne : « Je regrette, Madame, d’avoir à faire mon travail dans de telles circonstances ».
Un fait demeure : la gendarmerie a emporté tous les ordinateurs, tous les fichiers, tous les carnets d’adresses, beaucoup de dossiers en cours, et beaucoup d’argent provenant du règlement des stages et des abonnements aux revues, et en instance de partir à la banque. Nous sommes pratiquement dans l’impossibilité de continuer à travailler. Nos programmes d’été doivent être bouclés dans un mois. Si ce n’est pas fait nous frôlons la catastrophe, et aujourd’hui nous ne pouvons rien faire. Aucune date ne nous a été donnée pour la restitution du matériel : « l’enquête prime ». Une requête en restitution a été introduite auprès du procureur et nous sommes dans l’attente d’une suite. Nous avons proposé que tous les fichiers soient copiés et sommes prêts à collaborer avec la justice sur ce point.
Je pose la question : l’État français peut-il tuer légalement une entreprise et mettre au chômage 18 salariés avant que celle-ci ne soit jugée ? Est-ce cela l’État républicain, démocratique et laïque dont on nous demande d’être fier ? Est-ce cela la justice de notre pays ? Un état, qui se dit de droit, peut-il bafouer délibérément la présomption d’innocence ?
J’en appelle à l’opinion publique.
Chardenoux, le 19/01/2010
Alain Chevillat
Gérant
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Savoir que l'amour et le pardon sont possibles ne suffit pas. Encore faut-il apprendre à les rendre concrets dans notre vie.
La vérité, c'est que nous ne sommes pas encore libres ; nous avons simplement obtenu la liberté d'être libres.
Nelson Mandela
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"Ce qu'il faut revendiquer ce n'est pas l'égalité qui est illusoire. Ce qui est nécessaire, c'est la solidarité.""Il y a deux choses que l'on ne doit pas rater dans sa vie. Aimer et mourir."
L'Abbé Pierre (un partage de Jepetto)
Les Backwaters ou Backwaters du Kerala sont une série de lagunes et de lacs d'eau saumâtre parallèle à la mer d'Oman, paysage typique de l'État du Kerala .
Le réseau, constitué de quelque 1 500 kilomètres de canaux, tant naturels qu'artificiels, inclut plusieurs grands lacs. S'étendant sur pratiquement toute la longueur de la côte du Kerala, il est alimenté par une quarantaine de fleuves côtiers. Les lagunes ont été constituées par l'action des vagues et des courants côtiers créant une barrière d'îles basses aux embouchures des fleuves .
Reliées par les canaux creusés par la main de l'homme, les lagunes forment un réseau de transport de marchandises largement utilisé par l'économie locale.
Les Backwaters sont aussi l' importante attraction touristique du Kerala et ils sont au programme de nos valeureux voyageurs.
Merci Wikipédia
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