samedi 23 janvier 2010

Si...


Si nous pouvions lire
l'histoire secrète de nos ennemis,
nous y trouverions
assez de peine et de souffrance
pour désarmer toute hostilité


Henry Wadsworth Longfellow
cité par Jack Kornfield dans le livre présenté
hier
.

5 commentaires:

Christian a dit…

Oui. Tant qu'on ne pardonne pas, on est dans le reproche, le regret, la négation de ce qui fut. Le pardon, c'est un début d'ouverture du coeur, un pas vers la compassion et qui sait l'amour.
Christian Le D.

Anonyme a dit…

Pourquoi une personne heureuse irait chercher querelle ou se comporterait méchamment ? je suis persuadé que l'hostilité, la négativité cachent bien des souffrances. Merci
Karl

Acouphene a dit…

OUi j'adhère !

Anonyme a dit…

Un témoignage direct :
un soir je regardais un reportage sur Arte à propos de la vie d'Hitler au quotidien, via les lettres et témoignages de quelques proches; à un moment j'ai ressentie de la peine en ressentant qu'il "ne pouvait" ouvrir son coeur...
Je n'oublierai jamais ce vécu.
Non pas que je sois dans le pardon et la bonté, ma femme peut souvent témoigner du contraire.
Simplement, parfois en étant naturellement ouvert le ressenti de la souffrance de l'autre quel qu'il soit se manifeste.
J-P vérito-petto

Berit a dit…

C'est bien vrai,une fois qu'on connait quelqu'un assez bien
on ne peut pas etre hostile envers lui ou elle.
Meme avec Hitler on peut ressentir de la peine,je suis d'accord avec toi J-P verito-petto.