jeudi 31 mai 2007

Le scaphandre et le papillon

5 commentaires:

Anonyme a dit…

un si bel et bon acteur, pour une chose si triste...
une question de mon enfant intérieur qui me taraude quand même
faut-il en arriver à de grandes souffrances pour éroder l'ego ?
ou encore
la souffrance endurée est-elle proportionnelle à la résistance de l'égo ?
______ encore ?
--- bon d'accord encore la vieille question du pourquoi
--je laisse tomber
bonne nuit
Martine

Anonyme a dit…

Très beau film.

Anonyme a dit…

Petite déception quand même... Car après la bande annonce évoquant la découverte de "sa vraie nature", et le parti pris cinématographique de la caméra subjective (personnage sans tête dans une bonne partie du film) je m'attendais, je l'avoue, à plus que la réflexion sur ce qui fait de nous des humains (mémoire et imagination). Mais bon, ce film reste émouvant et fort.

Anonyme a dit…

Etre lourd et léger,être enraciné et ouvert.La vie est parfois absurde et la grâce?

Catherine Bondy:Psycho-Praticienne et Peintre. a dit…

en étant spectatrice ,ce film m'a donné l'occasion de revivre une période difficile... et le film parle bien de ce paradoxe : qd le corps est immobile et impuissant , la conscience et le coeur peuvent s'ouvrir comme jamais ...
pour ma part , je n'ai pas encore réussi à retrouver cet émmerveillement dans la simplicité depuis que je suis de nouveau en santé ... la question reste vaste !