C’est un très court texte de Pierre Rabhi que je vous invite à lire. Quarante-six pages d’intelligence humaine….(éditions de l'aube Poche éssai)
Quelques extraits…
La quatrième de couverture qui pose les questions auxquelles le texte répond à la fois par l’analyse des disfonctionnements de notre société en rupture avec la nature et la vie et par des propositions concrètes de changement de perspective :
" Comment se fait-il que l'humanité, en dépit de ressources planétaires suffisantes et de prouesses technologiques sans précédent, ne parvienne pas à faire en sorte que chaque être humain puisse se nourrir, se vêtir, s'abriter, se soigner et développer les potentialités nécessaires à son accomplissement ? [...] Comment se fait-il que nous n'ayons pas pris conscience de la valeur inestimable de notre petite planète, seule oasis de vie au sein d'un désert sidéral infini, et que nous ne cessions de la piller, de la polluer, de la détruire aveuglément au lieu d'en prendre soin et d'y construire la paix et la concorde entre les peuples ? ".
La légende amérindienne qui a donné son titre au livre :
« Un jour , dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés et atterrés observaient, impuissants, le désastre. Seul le petit colibri s’active, allant chercher quelques gouttes d’eau avec son bec pour les jeter sur le feu. Au bout d’un moment, le tatou, agacé par ses agissements dérisoires, lui dit : - Colibri ! Tu n’es pas fou ? Tu crois que c’est avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ? - Je le sais, répond le colibri, mais je fais ma part. »
Le dernier paragraphe :
« Il nous faudra bien répondre à notre véritable vocation qui n’est pas de produire et consommer jusqu’à la fin de nos vies mais d’aimer, d’admirer et de prendre soin de la vie sous toutes ses formes. »
" Comment se fait-il que l'humanité, en dépit de ressources planétaires suffisantes et de prouesses technologiques sans précédent, ne parvienne pas à faire en sorte que chaque être humain puisse se nourrir, se vêtir, s'abriter, se soigner et développer les potentialités nécessaires à son accomplissement ? [...] Comment se fait-il que nous n'ayons pas pris conscience de la valeur inestimable de notre petite planète, seule oasis de vie au sein d'un désert sidéral infini, et que nous ne cessions de la piller, de la polluer, de la détruire aveuglément au lieu d'en prendre soin et d'y construire la paix et la concorde entre les peuples ? ".
La légende amérindienne qui a donné son titre au livre :
« Un jour , dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés et atterrés observaient, impuissants, le désastre. Seul le petit colibri s’active, allant chercher quelques gouttes d’eau avec son bec pour les jeter sur le feu. Au bout d’un moment, le tatou, agacé par ses agissements dérisoires, lui dit : - Colibri ! Tu n’es pas fou ? Tu crois que c’est avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ? - Je le sais, répond le colibri, mais je fais ma part. »
Le dernier paragraphe :
« Il nous faudra bien répondre à notre véritable vocation qui n’est pas de produire et consommer jusqu’à la fin de nos vies mais d’aimer, d’admirer et de prendre soin de la vie sous toutes ses formes. »
8 commentaires:
C'est ça !
Dans ce monde au bord de l'absurde,
je me sens colibri !
Dysfonctionnement un mot d'abord employé par les médecins, passé dans le jargon des qualiticiens, puis dans le public.
Panne le remplace souvent bien.
gjm
On était dans la voiture, il y a qq jours, et m'est tombée dessus cette phrase que je ressentais ds le ventre, en regardant les détritus jetés au bord de la route: "tu te rends compte, si on mettait tous notre énergie à nous occuper bien de nous et de notre terre, sur quelle planète on vivrait?"...
Allez, haut les coeurs et les colibris!
Il me donne une bien belle leçon, le colibri, moi qui me sens souvent impuissante et découragée par rapport à ce problème!
Oui Laurence... on se dit toujours : "comment faire ? oh, le peu qu'on fait ! c'est si peu !" etc etc.
Alors cui cui à tous les petits colibris, d'ici et d'ailleurs.
Annonçons le printemps.
Cui cui !
et.... merci à nous tous réunis.
ah Pierre Rabhi, un vrai sage comme il en existe bien peu ... qui sème des vrais oasis de vie là où il passe, avec humilité et humanité, sans se poser la question de savoir qui il est et si son mental le trompe ou non. Il agit simplement
Si l'on écoutait plus Pierre Rabhi... que de bienfaits !
Colibri, bri,bri,bri,bri,bri,bri,bri, décolle...
J-P ailes-petto
Merci Corinne pour ce partage... je vais lire cet essai sans attendre.
Enregistrer un commentaire